NC (-16) | Avatar réel | Pas d'activité minimum | 150 mots mini IRP
Umbra Noctis Movens est un forum RPG, bien sûr, mais pas que. Il vous propose un système d'évolution. Gagner des exp en faisant vos RPs, en participant à la vie du forum, ect... Et monter de niveau pour développer vos maîtrises et skills de sorcier ! Plus encore, chaque personnage à une réelle influence sur les intrigues qui se jouent façon « roman dont vous êtes le héros ». Avec des fins alternatives à chaque épisode et chaque saison ! Vous pourrez aussi dès le niveau 10 avoir votre propre familier et le faire grandir, choisir de vous faire aimer par votre animal magique, ou au contraire le faire obéir par la peur. Vous collectionnerez les dragées surprises de Bertie Crochue pour vous en servir comme monnaie au marché noir, vous pourrez aussi remplir votre compte en banque pour faire du shopping à la boutique... En bref, UNM avec ses quêtes, classes, boss et j'en passe, c'est un habile mélange entre le forum RPG tel que nous le connaissons et le « mmo rpg » !
Nous sommes actuellement entre le 1er Janvier 2025 et le 30 Avril 2025. Voir le calendrier | Le Forum a été créé par Kassie (contexte, le système de jeu, intrigues, les annexes, etc...) et lui appartiens entièrement. NC(-16) présence de propos caractère hérotique et/ou violent, cb interdite aux mineur à partir de 00h.
Deux décennies après la guerre des sorciers, des groupes extrémistes menacent la paix magique. Vous incarnez les différentes factions sur un forum RPG et serez amenés à choisir votre camp lors du conflit qui s'annonce. Préparez-vous à prendre position et à influencer le destin du monde magique.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Chris Hemsworth Niveau : 87/100 Points d'Exp : 25660 Health Point : 4 950 PC (compétences) : 10/70 PC (caractéristiques) : 00/70 Scolarité et Métier : J'ai étudié à BEAUBATONS, et maintenant je suis prof de MST et directeur adjoint de l'académie française.
▬ Dans les brumes matinales de l'académie Beaubâtons, où l'air était imprégné de mystère et de savoir, le nom d'Etienne Ballessaim résonnait avec une réverbération particulière. Sorcier français éminent, descendant d'une lignée vénérable de sang pur, il était le visage éclairé de la haute noblesse magique. Les contours du château, ornés de tours majestueuses et de jardins enchanteresses, semblaient s'animer à son passage, comme pour témoigner du respect silencieux qu'inspirait son nom. D'une prestance singulière et d'une érudition inégalée, Etienne arpentait les couloirs ancestraux de Beaubâtons avec une élégance naturelle. Son titre de professeur y était une empreinte solennelle, mais cette année marquait une métamorphose dans sa trajectoire. En effet, pour la première fois, il endossait le rôle de directeur adjoint, inscrivant son nom dans les annales de l'école en tant que plus jeune sorcier à accéder à ce prestigieux poste. Les yeux étincelants, l’ainé Ballessaim avait le don de captiver ses élèves par sa maîtrise sans faille de sa matière, qui pour d’autre école en regroupais deux -et demi- et sa bienveillance. Ses connaissances outrepassaient les livres, s'épanouissant dans l'art subtil de transmettre le savoir tout en cultivant l'audace de questionner les frontières connues de la magie.
Il était l'écho d'une époque révolue, le dépositaire d'une sagesse ancestrale, mais aussi le phare d'une nouvelle ère, illuminant de sa vision les horizons encore inexplorés de la magie. Son histoire ne faisait que commencer, gravant déjà son nom dans les constellations de l'académie Beaubâtons, annonçant l'avènement d'une ère où le passé et le futur se rejoignent dans le sillage d'un sorcier hors du commun. -Vous l’avez l’égo du Ballessaim y’a dix ans ?- Etienne, à peine âgé d’une trentaine d’années, brillait déjà tel un astre montant dans le ciel magique. Sa jeunesse n'était pas une tache dans son récit, mais plutôt la lumière vive qui illuminait son ascension vertigineuse au sein du monde des sorciers. Malgré son jeune âge, sa sagesse dépassait de loin les limites du temps, et son talent éclipsait souvent ceux de générations plus âgées. C'était là une marque indélébile de son prodige, une évidence palpable dans chacun de ses pas dans les couloirs chargés d'histoire de Beaubâtons. Son érudition, sa maîtrise de la magie et sa capacité à se connecter avec ses élèves faisaient de lui un professeur exceptionnel, dépassant largement les attentes. -et là, vous l’avez ?-
Sa jeunesse n'était pas un fardeau, mais plutôt le ferment de sa force. Elle lui conférait une vitalité unique, un élan, une fraîcheur d'esprit qui insufflait un vent nouveau dans les traditions immémoriales de l'école. Etienne représentait cette révolution douce, cette réinterprétation éclairée des savoirs anciens, une renaissance dans l'enseignement magique. Sa précocité, bien loin d'être un obstacle, était une évidence que le destin avait tracée pour lui. Elle était l'écho d'une destinée prometteuse, annonciatrice d'accomplissements bien au-delà de son temps. Chaque jour passé à Beaubâtons ne faisait que renforcer la conviction que son jeune âge n'était pas un détail, mais une caractéristique essentielle de sa magie. Ainsi, bien qu'encore jeune, trônait déjà dans les cercles de la magie avec une grâce et une maîtrise qui dépassaient de loin les frontières de l'âge. -tes chevilles Etienne putain… tu vas plus rentrer dans mon cerveau-
Être nommé directeur adjoint pour la prochaine rentrée voulait aussi dire qu’il incombait à Etienne, cette année, d’allée chercher les petites têtes blondes qui, jusque-là, n’avait pas eu de lien avec le monde de la magie et des sorciers. Les né moldus, ceux dont les parents et familles n’avait aucune connaissance de l’étendu de l’univers qu’il partageait avec les sorciers. Ce n’était pas une mince affaire, d’ailleurs, que de les convaincre ou bien de leurs faire comprendre ce qu’étaient leurs enfants et là où Etienne proposait de les scolarisés. Mais il le fallait bien. Après tout, personne ne veut voir renaitre les Obscurial en Occident ! Et outre les né moldu, il y avait aussi les orphelins bien sûr. Mais nous y reviendrons plus tard.
Dans les ruelles ancestrales de Prague, Etienne plongea dans une atmosphère mêlant l'ancien et le mystérieux. Les pavés usés par l'histoire et les façades baroques étaient le théâtre où les secrets de l'alchimie et de la magie semblaient danser dans une harmonie insoupçonnée. C'est là, dans une modeste demeure aux volets ternis par le temps, qu'il rencontra une jeune fille nommée Anna, née-moldue, aux yeux pétillants d'une curiosité débordante pour un monde qu'elle ne connaissait pas encore. Milan offrit à l’homme un paysage urbain riche d'une culture vibrante et d'une sophistication éternelle. Parmi les ruelles pavées de la vieille ville, il découvrit le foyer d'un garçon nommé Matteo. Ce jeune sorcier né-moldu, lui aussi, aux mains agiles et au sourire empreint de rêves, se révéla être un esprit libre, éveillé aux mystères de la magie qui transposaient les frontières de son existence quotidienne. Barcelone, vibrant mélange de modernité et de tradition, révéla à Etienne une petite sorcière nommée Sofia. Nichée au cœur d'une maisonnée baignée de soleil méditerranéen, elle était l'incarnation d'une passion, sa joie de vivre éclatant à travers chaque sortilège espiègle qu'elle tentait en secret. La Suisse, avec ses sommets majestueux et ses vallées verdoyantes, fut le lieu de la rencontre avec un jeune garçon du nom de Gabriel. Issu d'une famille moldue également, ses yeux reflétaient la profondeur des montagnes environnantes, cachant une fascination inépuisable pour les possibilités infinies que la sorcellerie offrait.
Ces rencontres, ces foyers où la magie naissait, étaient autant de tableaux uniques dans la quête du professeur pour dénicher les talents inexploités, révélant ainsi la richesse et la diversité de la jeunesse sorcière de l'Europe de l'Ouest. Chaque maison visitée, chaque sourire émerveillé, était une note ajoutée à la symphonie envoûtante de la magie. Et enfin, dans les méandres de la banlieue parisienne, là où la grisaille des immeubles se mêle à la vie trépidante des quartiers, il trouva refuge dans une maison modeste, pourtant riche en chaleur et en affection. Un couple de cracmols, adeptes de l'art de l'accueil, ouvrait ses portes à plusieurs enfants sorciers orphelins, offrant un havre où ils pouvaient trouvés refuge. Trois jeunes âmes attendaient les bras ouverts de la destinée magique. Chacun de ces jeunes sorciers, avec son propre univers intérieur et ses talents singuliers, rejoindrait bientôt les bancs de l’académie, puisque leur onzième anniversaire aurait sonné entre le premier septembre dernier et le trente et un aout de cette année.
Accueillit dans le foyer, Madame lui servit un café. Il l’accueillit avec un sourire, même si à l’odeur il doutait de la qualité des grains. Ce qu’il se garderais bien de dire, gentleman qu’il est. Serrant les fesses quand il se força à prendre une gorgée, car tel est la normalité quand on est invité si l’on ne veut pas passer pour rustre. Et pendant ce temps, Monsieur était parti chercher les trois jeunes gens auquel Etienne devait s’introduire. Deux garçons et une fille. Et pour chacun d’entre eux, Etienne avait un dossier de parchemin avec une petite photo dans l’en tête sous la main gauche, celle tourné vers le bureau des propriétaires quand l’autre tient la tasse de café près de ses lèvres. 2981 12289 0
The spectacle before us was indeed sublime
(c)ambrose
Magdalena A. Depaul
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Ashley Benson Niveau : 30/100 Points d'Exp : 6864 Health Point : 1 500 PC (compétences) : 09/09 PC (caractéristiques) : 09/09 Scolarité et Métier : Septième Année à Beauxbâtons.
C'est quand j'ai fini par le rencontrer, peut-être pas la première fois, que j'ai eu l'impression de pouvoir enfin quitter ce hall de gare. Cette zone d'attente où j'avais été déposée il y a des années et où je voyais les âmes aller et venir au fil du temps. Je ne l'ai pas identifié tout de suite, cet homme qui faisait tâche dans la maison où nous vivions. Comme si il y avait une erreur dans la matrice où qu'il n'était pas à sa place. Il y en avait eu un autre à venir l'année d'avant, et celle d'avant aussi. A chaque fois à la même période. Ce moment où j'avais fini par comprendre que les gens allaient commencer à quitter le hall pour se trouver une nouvelle vie. Je ne sais pas combien son venus, combien sont partis ni depuis combien de temps ça dure. Mais quand notre figure paternelle était entrée dans la pièce, qu'il avait eu quelques mots accompagnés de ce sourire rassurant, j'avais sûrement compris sans comprendre que c'était mon tour maintenant. Notre famille d'accueil nous l'avait déjà expliqué, dans les grandes lignes, eux qui avaient l'habitude depuis les années et qui les auraient sûrement encore pendant un temps. Jusqu'à ce qu'ils se décident à adopter définitivement les deux garçons qui m'accompagnaient depuis tant d'années maintenant. Des âmes laissés dans le hall de cette gare et qui avaient fini par cesser de le faire. A l'inverse de moi qui regardait par-delà cette vitre invisible et qui rêvait toujours de ce moment où la vie changerait. Ou une aventure quelconque viendrait prendre le contrôle de mon corps, de mon cœur et de mon esprit. Bien entendu, dans le passé, ça aura été décrit avec des mots d'enfants, avec beaucoup plus d'hésitations que je pourrais en avoir ce jour. Mais il est bien plus simple pour moi de me fondre dans un récit avec les mots de la jeune adulte que je suis.
Ce jour, le plus particulier d'entre tous, je pourrais m'en souvenir toute ma vie. Comme si c'était hier. Comme si il avait lieu chaque jour depuis cette fameuse journées. Je me souviens avoir regarder notre père adoptif avant de fermer le livre de conte que j'avais entre les mains. Je m'étais lentement levée du lit sur lequel j'étais assise pendant qu'Eden commençait à traîner des pieds non sans grogner qu'il n'en avait strictement rien à carrer de ce qu'un vieux con pourrait avoir à lui raconter. Je n'ai jamais compris pourquoi notre famille d'accueil le regardait avec un sourire mystérieux dans ces moments là. Sûrement qu'ils comprenaient des choses que je ne comprends toujours pas ou que je ne comprendrais jamais. C'est avec une grimace presque obscène qu'il m'avait ensuite observée avant de me laisser passer devant lui. Et devant Adam très certainement. Ces deux là, de toute façon, ça faisait des années que personnes n'arrivait à les séparer. Pas même quand on étaient tous arrivés ici, plus ou moins en même temps. Et que le calvaire d'années d'enfance avait continué. C'est que j'en parles très peu maintenant, mais vivre avec ces deux là... Ça n'a jamais été ce qu'il y a de plus simples. Même en les connaissant un peu, même en les comprenant sûrement. Nos choix de vie son différents, nos façons de voir le monde l'étaient tout autant. Et si, pour moi, découvrir le nouvel arrivant était une chance qui faisait naître la curiosité que j'essayai pourtant d'enfouir profondément. Pour Eden c'était plutôt une tête de con qui venait le sortir d'un endroit qui, malgré ses paroles et son comportement, lui plaisait bien.
Et autant dire qu'en descendant les marches pour arriver au salon, ça ne s'améliora pas du côté de ce jeune homme là. Qui, une fois dans la pièce était resté dans l'encadrement de la porte, le dos résolument tourné vers l'homme et les yeux posés sur l'escalier. En clair, il ne le remerciait pas de venir lui apporter nouvelles ou surprises quelconque ; il n'aimait visiblement pas ça. Et c'est toujours le cas. Moi, en revanche, j'étais entrée pour l'observer. Pas trop loin de la porte non plus histoire de pouvoir fuir si je sentais le moindre danger. Un vieux réflexe certainement, où une manière de me protéger. Je l'ai regardé longtemps sans rien dire, celui que je verrais comme un sauveur un peu plus tard. Mon livre serré contre ma poitrine pendant que je tenais un doudou dans l'autre main. Ou ce qu'il en restait plutôt, vu l'état de décomposition de la chenille jaune -mille-pattes- aux milles chaussures et aux antennes ourlées de perles qui menaçaient toute de tomber. C'est qu'en vérité, toute curieuse que j'étais, il y avait tout de même une forme d'appréhension, qui ne disparut pas lorsque j'allais m'asseoir sur une chaise autour de la table pour poser le livre devant moi avant de poser ma main dessus.
Je ne sais plus vraiment qui nous a présenté, les deux garçons et moi. Sûrement notre mère adoptive ou bien notre père. Même si ce n'était peut-être pas nécessaire ? A vrai dire, je ne savais pas trop à ce moment là, j'étais comme dans un nouveau hall de gare. Ou alors sur le quai du train, à attendre de voir si il allait vraiment me prendre ou pas. Si j'allais pouvoir monter dedans pour m'envoler dans de nouvelles contrées ou si mes idées allaient simplement être tuées dans l’œuf finalement.
« Qu'est-ce que c'est ? »
Les petits papiers sous sa main. Moi, c'était un livre que j'avais. Mais lui, il avait quoi dedans ? Bonjour ? Ca viendrait sûrement un peu après, parce que je ne savais pas si le jour allait être bon. Ou si j'aurais mieux fait de rester dans le couloir, derrière les deux garçons. Après tout, aussi désagréables savent-ils l'être, ils sont aussi de très bon barrages à toutes les formes d’agressions.
Des livres, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, tous les genres. Et rien d'étonnant après tout : les gens aussi, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, tous les genres. Il est bien normal que chacun souhaite lire ce qui lui plaît.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Chris Hemsworth Niveau : 87/100 Points d'Exp : 25660 Health Point : 4 950 PC (compétences) : 10/70 PC (caractéristiques) : 00/70 Scolarité et Métier : J'ai étudié à BEAUBATONS, et maintenant je suis prof de MST et directeur adjoint de l'académie française.
▬ Le professeur Ballessaim, tasse de café fumante entre les mains, dossier coincé sous son aisselle observa l’arrivée des trois jeunes gens, adolescent en devenir. Il ne pu réprimer un sourire à voir le premier lui tourner résolument le dos, échangeant un regard avec le père de cette maisonnée comme pour valider qu’il d’agissais du jeune Eden dont le dossier faisait parti de ceux garder sous son bras. Le second garçon ne lui tournait pas complètement le dos, mais adosser à l’encadrement de porte il faisait plutôt face au profil de son frère, mes bras résolument croiser sur sa poitrine et avec l’air d’avoir été grandement déranger. Et puis il y avait la petite fille, celle qui tenait un livre et qui avait finir par s’asseoir en posant les pages vieillit devant elle tout en tenant une vielle peluche toute rapiécée. Lui donnant un petit air attachant. C’est aussi elle qui brisa le silence de la pièce et laissa s’entamer la conversation. C’est avec autant de douceur que de pédagogie que le professeur lui répondit. Laissant les oreilles des deux autres trainé à leurs bon vouloir.
- Ce sont vos dossier, et des lettres d’acceptation au sein de l’académie où je suis professeur. Je suis le professeur Ballessaim, j’enseigne la métamorphose, sortilège et transmutation au sorcier de demain à Beauxbâtons. Et j’y suis aussi directeur adjoint. L’été avant la rentrée, je rend visite à tous les jeunes sorcier qui n’ont pas grandi dans ses familles de sorcier et qui ont fêté leurs onze ans pour les invités à venir étudier à l’école.
L’homme posa la tasse de café sur la table pour aller chercher les dossiers sous son bras. Plutôt que d’apporter leurs lettres aux garçons bornés, il les confia à l’un de leurs parents pour qu’il soit porteur de la missive. En revanche, prenant place sur la chaise non loin de celle de la demoiselle, il lui tendit l’enveloppe kraft portant son nom et son adresse, avec une précision anormale, écrite à l’encre noir d’une typographie élégante et légèrement italique. Il déposa ensuite les trois dossiers devant lui.
- Et toi, qu’est-ce que tu lisais ?
Une petite curiosité avec douceur qu’il posera là, pendant que les trois jeunes gens découvrirons -ou pas- le contenue de leurs enveloppe respective. 2981 12289 0
The spectacle before us was indeed sublime
(c)ambrose
Magdalena A. Depaul
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Ashley Benson Niveau : 30/100 Points d'Exp : 6864 Health Point : 1 500 PC (compétences) : 09/09 PC (caractéristiques) : 09/09 Scolarité et Métier : Septième Année à Beauxbâtons.
Je ne me souviens pas vraiment de ce que j'ai ressentie quand les dossiers ont été évoqués pour la première fois. Quand, dans ma tête de jeune enfant, j'ai eu cette impression un peu étrange qu'on empiétait sur une partie de ma vie privée. Je me souviens pas contre assez nettement de ce bruit de chaussure qui racle le sol, comme pour décoller une saleté persistante ou quelque chose qui dérange. Si je me regardais à travers un filtre, je me verrais sûrement quitter la table des yeux pour les tourner vers Eden et Adam, observer le plus petit des deux imprimer la gomme de ses chaussures sur le lino, y laissant une trace noire qu'il essayait de faire disparaître l'instant d'après. Ma lèvre inférieure c'était sûrement avancée à ce moment là, dans un petite moue dubitative avant que je resserre un peu l'emprise sur mon livre et la peluche vieillie que j'avais entre les mains. Ma voix a dû sembler lointaine quand j'ai rouvert la bouche après être retournée à mon observation de l'homme. Des traits de son visage qui semblaient rassurant même si il parlait de choses un peu étranges pour moi. Je me demandais ce qu'était la métamorphose, ce que l'on pouvait changer en l'utilisant, si ça allait plus loin que la matière et que ça pouvait agir sur la vie aussi, ou le destin ? De petites utopies dans mes rêves d'enfants, des pensées que peu ont eu sûrement mais qui traduisent assez bien le fait que j'ai grandis assez rapidement.
Et tout comme j'avais observé les deux orphelins qui partageaient cette maison avec moi, j'avais observé leurs lettres passer entre les mains de notre famille d'accueil. Dans un énième raclement de semelle, Eden avait finalement attraper la sienne non sans hausser les épaules tout en se raclant la gorge d'un air que j'imaginais bougon malgré le fait que son visage me soit invisible. Et puis, j'ai finalement attrapé la mienne du bout des doigts, laissant le papier glisser entre mes mains d'enfant avant d'approcher l'enveloppe de mon visage comme pour mieux y lire ces lettres qui formèrent des mots. Une adresse d'une étrange précision alors que mon regard commença à quitter l'encre noire pour observer notre petite maison. Ces étages perdus plus loin, au bout des escaliers, l'endroit où se trouvait nos chambres. Si j'avais été plus vieille, j'aurais même pu penser qu'il ne manquait plus que le détail des couleurs de ma couverture pour me conforter dans l'idée que c'était vraiment bizarre de trouver autant de choses sur une simple enveloppe.
« Vingt mille lieues sous les mers. Mais je ne comprend pas tout au fil de l'histoire et je ne suis pas certaine d'aimer le fond. »
Je n'avais pas ouvert l'enveloppe, quittant mon observation pour en revenir au visage de l'homme avant de pousser le livre vers lui, dévoilant une couverture usagée de celles qui ont été malmenées un peu trop souvent ou usées par des yeux avides.
« Vous connaissez ? J'aime Le Petit Prince aussi, je crois que c'est mon livre préféré. »
Mes jambes ont sûrement commencées à se balancer sous moi à ce moment là. Juste avant que je ne sursaute en manquant de froisser l'enveloppe fermée que je tournais maintenant entre mes mains. Il faut dire que la bruit de papier que l'on déchire avec force avant de balancer l'enveloppe en direction de la table... J'aurais pu m'y attendre venant d'Eden. Lui qui enfonça ses mains dans ses poches avec un air mauvais avant de se retourner vers notre père pour le regarder d'un air de défi. Il m'a fait de la peine à ce moment précis. Si bien que je me suis levée pour aller récupérer les morceaux de l'enveloppe avant de les lui apporter à nouveau. Un sourire sur les lèvres bien que la seconde d'après il m'arrache la lettre des mains, non sans me pousser en arrière, sa main posée sur mon épaule.
« J'en veux pas. » Et vu le regard qu'il aura eu là... On ne doute pas que c'est vrai. Mais est-ce si étonnant que ça ? Car l'air qu'il affiche sur son visage en regardant ceux qu'il nommera bientôt adoptants... « Mais tu n'as même pas lu ce qu'il y a dedans ! » « J'en veux pas ! »
J'en ai dégluti avec un peu trop de force sûrement avant de me mordre la lèvre inférieure et de retourner près de la table. Il n'a pas toujours été comme ça, Eden. Il était différent avant.
« Qu'est-ce qu'il y a dans nos dossiers ? »
Des mots sur les vies qu'ils ont eu ? Le nombre de fenêtres brisées par Adam, toutes les fois ou ils ont disparus sans laisser de trace dans les couloirs de notre école moldue ? Les annotations de notre petite enfance, les examens sur nos états respectifs. Ou bien c'était juste des cases à cocher pour pouvoir s'inscrire dans cette école ? J'avais beaucoup de questions sur ce sujet. Même si j'avais fini par rejoindre la table alors que notre figure maternelle se rapprochait d'Eden pour lui tendre sa lettre déchirée à nouveau et, sûrement, l'empêcher de quitter la maison par la même occasion. Ou d'aller s'enfermer dans la chambre du haut. Ce genre de petites interactions arrivaient souvent, si bien que je m'étais contenter de m'asseoir à nouveau dans le fond de la chaise, croisant les pieds tout en recommençant le balancement de mes jambes avant de passer mes doigts sur le cachet de cire qui scellait toujours mon enveloppe. Je me souviens qu'il était très beau et qu'il sonnait comme le verrou d'un trésor qui ne demandait qu'à être ouvert.
« Qu'est-ce qu'on apprend d'autre dans votre école ? »
Ma curiosité était réelle, même maintenant elle est toujours réelle. C'était aussi un moyen de voir ce que le monde extérieur pourrait avoir à offrir. Ce qui serait différent et qui pourrait être mieux, j'avais besoin de savoir ce qui, précisément, dérangeait Eden. Le changement.
Des livres, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, tous les genres. Et rien d'étonnant après tout : les gens aussi, il en existe de toutes sortes, dans tous les formats, tous les genres. Il est bien normal que chacun souhaite lire ce qui lui plaît.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Chris Hemsworth Niveau : 87/100 Points d'Exp : 25660 Health Point : 4 950 PC (compétences) : 10/70 PC (caractéristiques) : 00/70 Scolarité et Métier : J'ai étudié à BEAUBATONS, et maintenant je suis prof de MST et directeur adjoint de l'académie française.
▬ Il lève un sourcil, à l’énonciation du nom de la lecture qu’a la demoiselle. Il observe la couverture usée du livre. Un sourire doux anime son regard. Il est surpris, quelque part, qu’une si jeune personne de cette génération, s’intéresse à quelques lecture plus savante -peut-être- que la plupart d’autre de son âge.
- Le petit prince est aussi l’un de mes livres favoris…
Il allait sûrement ajouter quelque chose, peut-être un conseil d’une autre lecture. Mais aura été interrompu par les bruits de papier kraft déchiré ou de parchemin froissée. Et des mots qui suivrons. Il observe la petite scène entre ses enfants. Le petit blond dans son rejet ne l’étonne pas, dans les orphelins ou bien les né moldus, il n’est pas le premier à montrer ce genre de réaction, il y a souvent deux catégories de ses enfants, ceux qui font un rejet. Et ceux qui vois en la missive un nouvel espoir, un nouveau chemin. Le troisième, enfant, un autre garçon un peu plus grand et au cheveux noir reste silencieux, sourcils froncés en regardant l’adresse sur l’enveloppe. Il a l’air de réfléchir, ou de peser un pour et un contre qui échappe à Etienne, après tout, il n’est pas omniscient.
- Dans vos dossier il y a vos information, prénom, nom, âge. Vos résultats à l’école moldu, les dossiers de vos écoles primaire et maternelle en somme. Ce que, en tant qu’école nous avons besoin de savoir et rien de plus.
Donc effectivement, on doit y trouver le nombre de fenêtre brisée par Adam, à l’école. Adam qui aura posé une main sur l’épaule de son frère en échangeant un regard avec lui dans le silence. Comme pour pouvoir aider leurs mères à le retenir.
- Vous y apprendrez l’histoire de la magie, bien sûr. Mais aussi a contrôler et utiliser vos pouvoir magique au quotidien. On a des cours de potions, de sortilèges, de vol sur balais. A partir de la troisième année vous pourrez choisir de nouvelles options, comme les arts ou la mode magique, l’alchimie, et bien d’autre chose.
Etienne porte la tasse qu’on lui avait confier à ses lèvres, le garçon brun a fini par ouvrir sa lettre et parcours visiblement la liste des fournitures scolaires qu’on demande et qui révèle bon nombre de matières enseignée aux premières années de l’école.
- On est censé les trouvé où tous ses truc ? Gants en peau de Dragon ? - A paris, nous avons un quartier sorcier avec tout ce qu’il vous faudra. - Et avec quel argent ? - Vous êtes tout les trois boursiers, ce qui veut dire que vos fournitures scolaire seront payer par l’école.
Le petit brun s’enferme à nouveau dans le silence, non sans chercher a croiser le regard du petit blond.
- On a, sit u veut, une immense bibliothèque avec des ranger des livres jusqu’au plafond, je te la ferais visité si tu veux quand tu feras ta rentrée ?
Ajoute Etienne avec douceur à la petite blonde, décidant que peut-être, il est judicieux de laisser les deux jeunes hommes décider de leurs sentiments entre eux.
- Vous pourrez revenir ici pendant les vacances scolaire à Halloween, ou Noël, Pâque… Et bien sûr pendant les vacances d’été. Mais pendant les trimestres, vous serez a l’école car c’est un internat. Vous serez répartis dans l’un de nos ordres, puis dans un dortoir qui sera le vôtre pour les cinq ou sept années à venir.
De sa pochette, il sort quelques papier supplémentaire, brochure visiblement qui montre plusieurs clichés de l’école. Que ce soit l’extérieur du château, son parc, son réfectoire. Des exemples de dortoir des deux ordres. Mais aussi de plusieurs autres salles, comme celle de potion. Ou l’emplacement du club de duel, chose qu’il n’a toujours pas évoqué. Mais ça fait beaucoup d’informations d’un coup, non ? 2981 12289 0
![[2017.08.08] France | Etienne et Magdalena Giphy](https://media.giphy.com/media/v1.Y2lkPTc5MGI3NjExMGI5NWIyYmNlNjA4NDhkMGZjMjRlMDIzNTU4MjM5ZGE5NWUwYjA4YiZlcD12MV9pbnRlcm5hbF9naWZzX2dpZklkJmN0PWc/r8FQLaE4TL37dYsb52/giphy.gif)
![[2017.08.08] France | Etienne et Magdalena Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif)
![[2017.08.08] France | Etienne et Magdalena 1704541266-ashley-benson](https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2024/01/6/1704541266-ashley-benson.gif)
