▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

• Reparo,
• Hyacinthum flamma,
• Lumos,

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

• Art obscure et combat → argent
• Sortilège → argent
• Métamorphose → bronze
• Potion et Élixir → Or
• Botanique → bois

• Option de 3è année :

• Arts magiques → Argent

• 6è & 7è année :

• Art obscure et combat → argent
• Sortilège → argent
• Métamorphose → bronze
• Potion et Élixir → or
Options :
• Arts magiques → Argent

Tu as toujours été une demoiselle pleine et entière. Petite, on te voyait rêveuse, très souvent à ta fenêtre, à lire quelques romans d'aventure, de capes et d'épée, mais surtout et toujours avec le point culminant, celui qui te faisait regarder par-delà les paysage avec un air rêveur : la promesse de l'amour. Le grand, avec un A majuscule en gras, italique et taille 72. On l'aura devinée, tu es quelqu'un de romantique, peut-être à outrance ? Il faut dire que ta mère ta longtemps bassinée avec cette idée de Prince charmant, de mariage de conte de fée et de princesse en devenir. Et même si jusque-là tu n'as connu que des crapauds, tu ne désespères pas de voir un jour ta patience récompensée. Aussi naïves qu'amoureuse de l'idée même de l'amour, tu surprends parfois par ta candeur et ta capacité a toujours vouloir voir le verre à moitié plein. La beauté est pour toi quelque chose d'important, autant que ta manucure et pédicure. Mais ce n'est pas tout.

Car, si beaucoup de tes camarades te prenne pour une poupée blonde sans cervelle, être dans la moyenne en ce qui concerne l'école ne projette pas du tout l'image de toi qui se reproche de plus de la réalités. Vive d'esprit, tu n'as pas ta langue dans ta poche. Et bien que douce, ça ne t'empêche pas d'avoir un côté harpie au caractère bien trempé. Après tout, c'est bien connu que les vélanes ont le sang chaud. Et autant dire que tu ne fais pas exception, loin de là. Ne manquant pas de ressources, tu parviens souvent, si ce n'est toujours, à trouver des solutions sorties d'on ne sait où mais, qui semble fonctionner. Car, prendre le chemin détourné auquel on n'aurait pas nécessairement pensé, c'est justement ta spécialité.

Têtue comme une bourrique, pour te faire changer d'avis c'est particulièrement difficile et quand tu as une idée en tête, aussi mauvaise soit-elle, tu ne l'as pas ailleurs. Il est d'ailleurs très difficile de t'empêcher de foncer dans les murs quand tu as décidé que ça serait ta direction. Bien au contraire, tu es plus le genre de personne qui ira se prendre les briques en pleine face et aura trop d'orgueil pour demander de l'aide, mais qu'on relèvera quand même parce que finalement tu n'es qu'une enfant boudeuse, un poil capricieux. Une princesse, poupée de porcelaine fragile et qui ne sait pas grand-chose si ce n'est que tu sais autant faire preuve d'empathie et de générosité que d'antipathie surtout quand tu joues de ce côté pestouille dont chaque princesse digne de ce nom aura hérité.

Ta tête d'ange et ta sensibilité font de toi quelqu'un de délicat mais également de fragile. Et même si tu joues les grandes et essaie d'être aussi forte qu'Aleksandra ou mature que Melissandre, tu es finalement la benjamine de cette fratrie et tu ressens encore le besoin de te faire choyer, pouponner, comme ta mère l'a toujours fait avec toi avant qu'elle ne parte prématurément. Peut-être que ça te passera, ou peut-être pas. Dans tous les cas tu réclame de l'attention même sans le savoir, même sans forcément le vouloir. Et c'est ce qui fait de toi, quelqu'un d'aussi attachant qu'agaçante.

L’histoire de ta naissance est un véritable cliché. Celui qui retranscrit l’histoire d’une femme un peu trop facile, un peu trop volage, déjà mère de deux enfants ; tes ainés Melissandre et Aleksandra. Demi-Vélane elle-même, cette femme aura eu trois filles de trois pères différents. Le tiens de père apparait sur l’acte de naissance comme étant Lazar Romanov, frère de Dragomir Romanov actuel directeur de Durmstrang. Si seulement la vérité avait été là, tout aurait sans doute été beaucoup plus simple. Car même si née hors mariage, tu aurais bénéficier d’un statut de noblesse et d’une vie bien plus facile.

Or, bien que ta mère fût à cette époque la compagne d’un Romanov, elle eu la bonne idée de poursuivre un adultère neuf mois avant ta naissance. Le nom de ton vrai père n’a pas d’importance ici, il en prendra plus tard quand tu voudras partir à sa recherche pour renouée avec tes origines. Ce qui importe cependant c’est la réaction de Lazar qui déjà heureux de devenir père et fournir une héritière à un nom aussi ancien que renommé, fini par apprendre la vérité. Malheureusement pas de la bouche de ta mère qui fus alors rapidement bannis. Retournant à son statut de mère célibataire quand son aînée, elle, commençais à vivre une vie d’adolescente entre les murs de Durmstrang. Ne laissant plus que toi et Aleksandra pour lui tenir compagnie.

Tu l’aimais ta mère, elle te traitait comme une poupée, une princesse. Elle t’habillait toujours de jolie robe. Te coiffais toujours de beau serre-tête. T’a appris l’importance de la beauté et du paraitre dans le seul but de te donner l’envie de trouver ton prince charmant, celui qui t’emmènerais dans son château et t’offrirais la vie d’une reine. Education particulière pour une croqueuse de diamant qui n’avait finalement réussit à survivre que par ses mœurs légères et apprendrais bientôt à sa benjamine à suivre ses traces. Car peu importe le caractère aussi difficile soit-il d’un homme, tant qu’il vous apporte le bien matériel pas vrai ? De même que l’amour est synonyme de torture, il deviendra aussi ton rêve.

Fort heureusement pour toi cependant, ta sœur ainée Aleksandra n’avait pas les idées de votre mère. Elle t’aura appris à affuter son esprit, épongé tes larmes trop sensibles mais aussi appris que finalement, il n’y a que sur elle que tu pourras réellement compter dans le futur. Trop sans doute aux vues des demandes extravagante et continuelle dont tu fais preuve, être capricieux que tu es aujourd’hui. Votre vie à toutes les trois, ne comptons pas Melissandre qui n’était jamais là, fus simple, pauvre surtout. Ton enfance ne fut pas bien différente de celle d’un autre dans la campagne Bulgare. Si ce n’est que la nourriture ne venait pas facilement sur la table. Et que ta mère, bien qu’absolument formidable, était quelqu’un d’irresponsable qui ne savait ni gérer son argent, ni subvenir aux besoins de ses enfants. Si bien que sans t’en rendre compte, tu voyais Aleksandra devenir l’adulte de la famille, elle qui s’occupait de toi et d’elle, elle votre mère-adolescente.

Quand tu entrais à Durmstrang pour la première fois, ta sœur aînée Aleksandra avait déjà bien commencer ses études. La rentrée, l’acceptation au sein de l’école ne furent pas simple. Faute à ce nom de famille que tu portais en disgrâce. Et si les apparences étaient maintenues pour ne pas tâché le nom des Romanov, la réalité était tout autre quand les descendants de cette famille te reprochaient constamment ton existence. La tromperie dont tu étais innocente et pourtant qu’on te faisait payer par l’humiliation et l’insulte. Autant dire que ses premières années, elles ne furent pas simples, pas joyeuse non plus. Mais elles s’améliorèrent avec le temps et surtout avec les changements qu’apporte l’adolescence. En quelque sorte du moins. Car demi-vélane que tu étais, tu n’as jamais su contrôler ton côté hybride. La faute sans doute à une trop grande sensibilité qui aura fait apparaître l’aura de la Vélane aux moments les plus… cocasse dirons-nous. Créant parfois des situations complexe.

C’est l’été de tes quinze ans cependant que tu connu le plus gros changement et drame de ta vie. La mort d’une mère. Devenir orpheline -en partie- à cet âge-là est quelque chose de compliqué à gérer. Surtout quand on vous oblige à partir vivre dans un autre pays avec une sœur qui n’aura jamais été réellement présente. Et que la seconde abandonne ses ambitions pour suivre, ne pas te laisser seule. Créant un sentiment de culpabilité qui te fera te ronger les sangs.

Suffisamment pour te motivée à concourir lors de ta sixième année et mettre ton nom dans cette coupe de feu. Pour elles, mais aussi pour lui. Lui dont le nom t’a été révélé par nul autre que ta mère sur son lit de mort, que tu te rendes compte ou pas pour le moment de ce que ça impliquait. Bien sûr, tu ne fus pas choisi, ce fus un autre dont le nom sorti de la coupe de feu le trente et un octobre deux mille vingt-deux. Un septième année que tu ne connaissais que de nom ou de réputation. Ce qui ne t’empêcha pas de profiter de cette année à parcourir les couloirs de Poudlard et découvrir d’autre culture, ce qui facilitait aussi ton intégration chez Melissandre qui était professeur dans cette école et habitais le village voisin. Chaumière qui devint également la tienne.

La fin d’année eu également son lot de surprise, d’autres morts, d’autre tragédie. Proche ou pas des victimes, tu pleurais les défunts car ta sensibilité t’y obligeais. L’été fus rude, tant par le soutien que vous deviez apporter à la meilleure amie de Melissandre que par les rumeurs qui courraient les pages de la gazette. Et finalement, regagner les couloirs de Durmstrang pour ta septième année avait quelque chose de libérateur. Une année elle aussi loin d’être calme, entre les attentats du ministère que te firent croire avoir une fois de plus perdu une figure maternelle quand ton aîné tarda à en sortir. Pire encore : la mort d’Iris qui était devenue comme une quatrième sœur et habitais avec vous depuis tant de mois, apprentie de Melissandre qui rendra son dernier souffle de vie en mars de cette année. Autant dire que la maîtrise de tes capacités se faisait de plus en plus complexe, tout comme la dégringolade de tes notes en cours qui te valait d’être rétrogradé au rang de « bronze » à l’école. Tu n’avais jamais eu l’acabits d’une section Or, mais de là à rejoindre le rang des bronzes… Bien que ta dernière année touchât à sa fin, les inquiétudes ne faisait que commencer. Entre le doute sur tes capacités face aux ASPIC et ceux concernant un avenir qui se dessinais comme incertains, tu n’étais plus qu’une petite poupée de marbre fissurée, les yeux plein de questions et où naissais un peu plus chaque jour la peur.