▬ Mes 3 premiers sortilèges :

Ils sont à choisir dans la liste de sorts proposée par le forum, dans ceux de niveau 1 (puisque vous commencez niveau 0 donc maîtrise de sort 1).

• Revigor
• Lumos
• Nox

▬ Ici vous allez nous renseigner sur votre moyenne ou vos notes aux buses/aspics afin que nous ayons une petite idée de votre niveau scolaire, évidement les surdoués qui aurons des "0" ou des "E" dans toutes les matières ne seront pas admis. Car personne n'est parfait.

• De la 1è à la 5è année :

- Astronomie : Effort Exceptionnel
- Botanique : Optimal
- Défense contre les forces du Mal : Effort Exceptionnel
- Histoire de la magie : Optimal
- Métamorphose : Optimal
- Potions : Optimal
- Sortilèges : Optimal

• Option de 3è année :

- Aritmancie : Optimal
- Etude des moldus : Acceptable
- Etude des runes : Effort Exceptionnel

• 6è & 7è année :

- Histoire de la magie : Optimal
- Potions : Optimal
- Sortilèges : Optimal
- Métamorphose : Optimal
- Défense contre les forces du Mal : Optimal
- Etude des runes : Effort Exceptionnel

• Etude à Grimardent :

→ Défense en principal (pour devenir auror)
→ Politique en second (parce que son père à insisté)

Je suis quelqu’un de très droit. J’ai toujours vécu dans le paraitre, principalement car je devais toujours être justement cette petite miss parfaite, celle qui a les meilleures notes de la classe, celle qui ne hausse jamais la voix, celle qui fait preuve de maturité et de responsabilité. Pour autant, je ne suis pas quelqu’un qui manque de profondeur. J’ai toujours fait preuve d’une grande intelligence et de beaucoup d’imagination. Je peux me montrer rêveuse, mais seulement avec moi-même quand personne d’autre ne vois. En revanche, je n’ai jamais manqué de courage et l’ont reconnu souvent mon tempérament chevaleresque à toujours vouloir sauver tout le monde. Manie d’ailleurs qui me mène souvent à mettre le bout de mon nez là où il n’a rien à faire. Je suis également une donneuse de leçon née et quelqu’un de très exigeant, autant avec moi-même qu’avec les autres. J’ai une certaine force de caractère qui accompagne ma discipline, mais également une forme de bravoure car je ne suis pas de ceux qui baisse les bras et s’avoue vaincue facilement. Je travaille énormément, bien qu’ayant des facilités qui me permettent d’apprendre très vite. On me qualifie souvent d’une grande sagesse mais également d’individualisme, en effet, je préfère de loin travailler seul car j’aime le contrôle et je ne supporte pas les facteurs inconnus qui ont tendance à m’angoisser. On peut dire que je n’étais pas une très bonne partenaire de TD, Matthew pourra vous le dire. Mais attention, car bien que calme et réservé, je ne manque pas d’esprit. Et ma langue pourra ce montré particulièrement acérée face à ceux qui parvienne à piqué mon intérêt de façon plus ou moins négative.

Quand on s’appelais Weasley, fus un temps où nous étions vues comme des traitres à leurs sang. Aujourd’hui ? Le nom Weasley raisonne en écho avec celui de Potter, malgré la fracture de nos famille. Une famille déjà grande dans les années 1990 qui comptais aujourd’hui encore d’avantage de sorciers et sorcières sur qui reposais tout le poids d’une histoire héroïque, dont on oublis souvent l'importance. Entre un père haut responsable au ministère, deux oncles célèbres pour leurs farces et attrape, un autre à Gringotts, et j'en passe, porter ce nom était une pression dont seuls ceux qui faisait partie de notre clan pouvais comprendre.

Mais ce que peut savais, c’est que quand on était fille de Perceval Weasley et de sa femme Audrey, une sorcière peu connue lors de la guerre, il fallait répondre à certaines attentes. C’est ainsi que je fus construite, moi Molly II Weasley. Je porte le prénom de ma grand-mère, ce qui est un grand honneur bien sûr, mais jamais au grand jamais ne deviendrais-je femme au foyer comme elle avait pu l’être, aussi redoutable qu’elle pouvait être. Sa participation à la seconde guerre relevant de la légende héroïque de la femme au foyer et redoutable sorcière qu’elle était.

Petite, j’étais petite miss parfaite. Jamais un mot de trop, toujours impeccable. J’avais même suivi l’école moldu pour commencer à me socialiser, ayant toujours d’excellent résultat, pleurant si mes notes allaient en dessous du 18 sur 20, ce qui n’arrivais jamais. Je devais être aussi la grande sœur idéale, un modèle, une nounou, tous ce que mes parents voulaient en fait. J’étais très proche de mon père et de ma tante que je mettais sur un piédestal. Il n’était pas rare de me voir les accompagner au ministère pour apprendre, toujours et observé.

Puis vins l’heure de mes études à Poudlard, célèbre école de sorciers et sorcière. Un collège de renom où toute ma famille avait fait ses études. Il ne fut d’aucune surprise de me vois envoyé à Gryffondor. Bien que le choix peau eu un moment d’hésitation avec Serdaigle, je le priais de m’envoyer dans l’illustre maison où mes alleux avaient eux-mêmes fait leurs études, et comme s’il m’avait écouté, c’est ce qu’il fit. À l’époque, j’étais terrifier à l’idée d’atterrir ailleurs, et si je décevais mon père ? Et si j’étais une honte pour la famille à terminer ailleurs que chez les rouges et ors ?

En classe, j’étais celle qui levais toujours la main en premier. J’avais toujours de très, très bonne note dans tous les cours. À l’exception près du vol sur balais qui était un véritable cauchemar pour moi en première année. On ne pouvait pas dire que le sport était véritablement ma tasse de thé. En troisième année je commençais alors l’étude des moldu, l'étude des runes et l’arithmancie, ce qui rendais mes alleux encore plus fiers. J’obtenu toutes mes BUSES avec mention et continuais vers un chemin qui semblais tout tracé. J’avais des amis bien sûr à Poudlard, mais ma vie sociale n’était pas véritablement ma priorité, encore moins les garçons car toutes distraction pourrais me coûter mon avenir. Cependant, c'est avec honneur que j'acceptais l'insigne de préfète en 5è année.

En sixième et septième année cependant, je commençais à apprendre à allier mes excellents résultats, mon poste de directrice du club d’échec et de l’AEAE avec une vie sociale un peu plus présente, me faisant amie avec certaines Serpentard plus jeunes que moi et d’autres filles et garçons de ma maison et d’autres maison. Après tout, nous avions enterrée les haches de guerre et de clans après la seconde guerre des sorciers. Et là-dessus aussi, je me voulais exemple. Qui plus est, le tournois des trois sorcier me permis d'agrandir mon réseau. J'avais mis mon nom dans la coupe bien sur, voulant porter de nouveau la gloire à ma famille, en concurrence avec Lily Potter.

Je passais mes ASPIC avec le même brio que mes BUSES, rendant mes parents fiers bien sûr, mais sans aucune surprise cependant. C’était ce qui était attendus de moi, c’était devenue la normalité. Je devais toujours être parfaite en tout point. C’est l’image que je donnais de moi, quitte à sacrifier mes rêves et aspirations que j’enfermais dans un tiroir de ma tête, tel un volcan prêt à rentrer en ébullition.

L’année de mes ASPIC cependant ne fus pas de tout repos. Devenue préfète en chef, le tournois ajouta un cran à la pression. Et à la fin de l'année, l’ombre planais de nouveau sur le monde de la magie et je me sentais d'une mission de garder les plus jeunes dans les rangs, d'être héroïque en tant difficile. Et entre l’assassinat de Minerva McGonagall et d'Oriana Slughorn ainsi que l’apparition d’une nouvelle marque des ténèbres, tout le monde ne parlais plus que de ça. Que ce soit à Poudlard ou à la maison. Le drame qui survint en juin, alors même que nous étions en train de fêté la fin du tournois, ce fus sans doute la plus rude épreuve que nous avons eu à subir ses vingt dernières années. Minerva McGonagall était comme une tante pour nous, la tante badass qui était souvent invité à notre table à Noël quand la famille se réunissais, partager entre son affection pour notre famille et nos grand-parent et celle qu'elle témoignais au Potter. J’en ai beaucoup souffert cet été. Me plongeant jusqu’au cou dans le travail, ayant obtenue un stage au ministère, dans le cabinet même du ministre. Certaines mauvaises langues vous diront que c’est grâce à mon père, non j’estime que je travail et donne suffisamment de ma personne pour le mérité.

Quoi qu’il en soit, les bruits de couloirs au ministère n’étaient pas là pour me rassurer et même à la maison, papa et moi parlions souvent de l’enquête et des éléments toujours plus étranges qui frappais l’Angleterre. Nous taisions nos chuchotements pour ne pas effrayer ma petite sœur bien sûre, mais ça n’empêchait pas que nous eussions peur, peur que tout recommencer. Mais comment cela serait-il possible ? Alors même que le Lord et ses principaux partisans étaient mort ou enfermé à Azkaban ? Le ministère faisait surveillé secrètement les familles qui avait servis autrefois de vassaux à celui-dont-on-ne-prononcera-pas-le-non. Mais quelque chose semblait échappé à l’attention des haut dirigeant de notre état. Sans que personne ne mette le doigt sur quoi.


Quand la rentrée arriva, je choisi de commencer une formation d'auror. Voulant mettre ma baguette au service du plus grand bien, bien trop orgueilleuse et me sentant invincible. J'y fis la rencontre d'une sorcière étrangère venue, à peu de chose près, pour les même raison. Ensemble, nous devenions un binôme ayant pour ambition de protéger la communauté magique, d'Angleterre et d'ailleurs.