NC (-16) | Avatar réel | Pas d'activité minimum | 150 mots mini IRP
Umbra Noctis Movens est un forum RPG, bien sûr, mais pas que. Il vous propose un système d'évolution. Gagner des exp en faisant vos RPs, en participant à la vie du forum, ect... Et monter de niveau pour développer vos maîtrises et skills de sorcier ! Plus encore, chaque personnage à une réelle influence sur les intrigues qui se jouent façon « roman dont vous êtes le héros ». Avec des fins alternatives à chaque épisode et chaque saison ! Vous pourrez aussi dès le niveau 10 avoir votre propre familier et le faire grandir, choisir de vous faire aimer par votre animal magique, ou au contraire le faire obéir par la peur. Vous collectionnerez les dragées surprises de Bertie Crochue pour vous en servir comme monnaie au marché noir, vous pourrez aussi remplir votre compte en banque pour faire du shopping à la boutique... En bref, UNM avec ses quêtes, classes, boss et j'en passe, c'est un habile mélange entre le forum RPG tel que nous le connaissons et le « mmo rpg » !
Nous sommes actuellement entre le 1er Janvier 2025 et le 30 Avril 2025. Voir le calendrier | Le Forum a été créé par Kassie (contexte, le système de jeu, intrigues, les annexes, etc...) et lui appartiens entièrement. NC(-16) présence de propos caractère hérotique et/ou violent, cb interdite aux mineur à partir de 00h.
Deux décennies après la guerre des sorciers, des groupes extrémistes menacent la paix magique. Vous incarnez les différentes factions sur un forum RPG et serez amenés à choisir votre camp lors du conflit qui s'annonce. Préparez-vous à prendre position et à influencer le destin du monde magique.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Danielle Rose Russell Niveau : 37/100 Points d'Exp : 9034 Particularité : loup-garou palier 5/7 Health Point : 1 850 PC (compétences) : 13/13 PC (caractéristiques) : 13/13 Scolarité et Métier : J'ai étudier à Poudlard dans la maison Gryffondor jusqu'à la 5è année quand j'ai eu mes BUSE. Après quoi je fus forcée d'arrêté mes études en raison de ma condition de Loup-Garou. Je travail maintenant au Chaudron Baveur, pub qui est tenu par ma mère à Londres.
Jeu 8 Juin - 17:43
Trois nuits par semaine.
Douleur, colère, frustration. Un mélange détonnant à mon âge paraît-il. Et pourtant qui est devenue mon quotidien trois nuit par semaine. La cinquième année, année de tournois des trois sorciers, comme mon père avant moi, ma mère et leurs amis qui avaient eux aussi connus la compétition entre les trois plus grandes écoles Européenne au même âge. J’envoyais de longue lettre à mes parents, leurs détaillant avec le plus de précision possible la dernière tâche du tournois à laquelle nous avions assisté quelques jours plus tôt. Assise en tailleur sur le sol de pierre froide de la volière, suçotant ma plume en réfléchissant à la tournure de mes phrases, alors que le vent s’engouffrais par les fenêtres de la pièce. Il ne pleuvait pas, pas aujourd’hui. Mais nous étions tout de même en plein mois de février, l’hiver avait été rude. Pas autant que chez nos nouveaux amis de l’est apparemment. Et pourtant, c’était bien la chair de poule qui se dessinais le long de mes bras. Car même si le printemps ce dessinais et voulais bientôt laisser place à l'été au mois de juin, les nuits restaient fraîches.
Il faut dire aussi que je me sentais fiévreuse depuis mon réveil. Et pour cause, la pleine lune battrait son plein cette nuit. On pouvait devinée par les grosse poches sombre sous mes yeux la fatigue que je ressentais. Je redoutais chaque pleine lune, chaque changement. Et ce, depuis cinq ans maintenant que j’avais été contaminée par le gène du loup-garou. Je redoutais la douleur de la transformation, j’avais peur de la solitude, j’étais effrayée par cette bête que je devenais sans jamais pouvoir la contrôlé, sans jamais me souvenir de ce qu’elle avait fait. Elle qui me souillait, me volais ce que j’avais de plus précieux, mon corps, mon identité. Me donnant même un air de malade au teint pâle sans même être encore en possession de mon corps.
Et puis il y avait la colère, grandissante et incontrôlable. Celle qui faisait de moi une fille irritable, sensible -voire hypersensible- et névrosée trois nuit par semaine. Cette personne que je devenais et qui, frustrée, ne cessais de me décevoir. J’avais appris à prendre sur moi, je m’isolais. Fort heureusement j’avais ma plume, mes rouleaux de parchemin et quelques petites passions pour m’occuper l’esprit pendant que je me punissais. En me séparant des autres, de la « meute ». S’isoler pour être sûr de ne pas causer de tors, à soit même ou aux autres. M’isoler pour ne pas effrayer alors même que les mœurs évoluaient progressivement, du moins, d’après papa.
Aujourd’hui en étant un bon exemple, alors que j’endurais le froids ce l’hiver dans cette tour venteuse, avec pour amie cette lettre que j’écrivais à mes parents. Revoyant les trois compétiteurs en pleine action, la victoire de l’un d’eux, les sourires, le bruit, la belle ambiance. Des pensées positive. Voilà ce dont j’avais besoin, désespérément besoin. Car si la malédiction s’accompagnait de la dépression, le remède était alors la force, les bons souvenir. Finalement, la bête était bien similaire aux détraqueur, ses montres ignobles qui mange votre bonheur, vos bons souvenirs jusqu’à faire de votre corps une coquille vide car votre âme leurs aura servis de quatre heures. Megan… On à dit des pensées positive ! Je me ressaisis et replonge dans ma lettre, chassant à coup de balais l’image même des détraqueurs.
Loup-Garous - Palier #2
the "she" wolf.
Who was I kidding? Curses don’t just evaporate, and I would need to deal with this sooner rather than later. I only hoped sooner meant not immediately.
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Jeu 8 Juin - 17:43
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Megan A. Londubat
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Jeu 8 Juin - 17:50
Graouuu fait le loup, partie 1.
Deux pleines lunes de plus, c’est ce que je m’étais dit pendant les deux mois qui avait suivis le réconfort que m’avait apporté Lily. Je ne sais pas pourquoi, quel avait été l’élément déclencheur, mais j’avais l’impression que ma condition s’améliorais petit à petit. Mes jours à être malade comme un chien c’était réduit, et j’arrivais de mieux en mieux à contrôler mes émotions.
Je parlais souvent de mes progrès par courrier à mes parents, ma mère était d’un grand soutient, m’encourageant, me rassurant. De même que Miss Vablatsky, mon ancien professeur de potion ne manquais jamais de me préparer des potions tue-loup à l’approche de la pleine lune. Elle était aussi une oreille attentive, à l’écoute. Me permettant de me sentir comprise, surtout qu’elle-même avait une condition d’hybride bien que ce ne soit pas tout à fait la même chose.
Quoi qu’il en soit, aujourd’hui devait être la première lune pleine du cycle de trois jours. J’avais été envoyer à Sainte Mangouste, prise de vomissement pendant mon service. Les regards de dégoût de nos clients n’ayant pas aidé. De même que les rires de quelques-uns. La réaction de ma mère et celle de Lily qui était en visite au pub, avait eu quelque chose de rassurant.
À l’hopital, on était venue m’apporter ma potion, je l’avais bu d’une traite quand bien même le goût m’avait donné de nouveau l’envie de rendre mon petit déjeuner, ou du moins ce qu’il en restait. Elle avait passée quelques minutes à me rassurer avant de partir. Allonger sur le lit d’un blanc immaculée, je contemplais le plafond, pensive. Inspirant et expirant doucement pour ralentir les battements de mon cœur qui avait toujours tendance à martelée de plus en plus à mesure que l’horloge tournais et que la nuit approchait.
Inspire, expire, inspire, expire… Respire. L’heure tourne, le soleil commence à ce coucher. Au loin j’aperçois la grande horloge de notre capitale : Big Ben. La nuit s’annonce tumultueuse, le vent souffle si fort que je vois presque certains arbres se courber. Je ne sais pas, je n’en aurais aucun souvenir. Car bientôt, l’humain laissera place à la bête. Me faisant pensée à un conte moldu pour enfant.
Vers vingt heure, l’infirmière m’apporte mon diner, je l’avale sans grande conviction. Puis, le cortège habituel. On m’emmène jusqu’à un lieu sécurisé où l’on m’enferme par magie. Entre la potion et les sortilèges, je ne pourrais pas en sortir. Chaque mois pourtant, je culpabilise autant que j'ai la boule au ventre du "et si". Et si... Moi je n’y ai que comme souvenir l’attente, puis rien, rien d’autre que l’éveil du lendemain.
Je m’installe sur le canapée défoncée du salon de l'endroit. Les yeux tournés vers le plafond je ne peut pas voir la lune monter dans le ciel, les fenêtres ayant été barricadé par d’épaisse planches de chênes bien avant ma naissance. Pas besoin de contemplé les étoiles cependant, car dans ma solitude je sens petit à petit mon cœur s’accéléré de nouveau, comme si j’avais couru un marathon. C’est l’heure.
La douleur n’est plus celle que j’ai pu connaître par le passé. Chaque os brisé, chaque tendon tordu, chaque luxation deviens plus facile à chaque fois. Je me cambre et je me courbe, position improbable aux sons de craquement terrifiant. Une larme roule sur la joue alors que d’épais poil gris commence à apparaître sur mon visage. Mes yeux se ferme, quand ils s’ouvrent à nouveau c’est un jaune pétillant qui en ressort. Des canines semblent percer ma gencive, mes mains ce courbe. Je roule de côté et je disparais.
Je disparais car il n’y a plus d’humanité, plus de conscience, plus de Megan. Plus rien d’autre qu’une bête terrifiante, grognant de colère d’être diminué, contenue dans une prison. Plus rien, jusqu’au lendemain. Celui où mes infirmier me retrouveront nue, recroquevillée sur moi-même à l’étage. Tomber de fatigue après une nuit posséder par un démon. Une nuit de plus, dans la vie d’un lycantrope.
Loup-Garous - Palier #3
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Jeu 8 Juin - 17:50
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'Echec/Reussite' :
Megan A. Londubat
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Jeu 8 Juin - 18:38
Graouuu fait le loup, partie 2.
Depuis tous ses mois, presque rien n’avait changer. À chaque pleine lune, la douleur, la crainte, les pleurs et… la solitude. Et toujours aucun souvenir de ses nuits passée sous une forme bestiale. Je ne m’attendais pas à ce que celle-ci soit bien différente. Prenant la potion que me tendais miss Vablatsky, mon professeur de potion je m’apprêtais à me faire accompagner par ma mère, au cœur d'une maison désaffectée du village où elle m’enfermerait toute la nuit pour s’assurer que je ne serais ni un danger pour les autres, ni pour moi.
Elle déposa un baisé sur mon front, tentant de me rassurée avant de partir, elle avait toujours se regard presque triste lors des nuits de pleine lune quand elle devait m’abandonnée. Ça me fendait le cœur autant que ça me rongeait de culpabilité à chaque fois. Je baissais donc les yeux, mais pas avoir de lui avoir souris timidement. Elle ferma la trappe qui menait à la cave et me laissa ainsi, seule.
Une odeur pestilentielle flottait dans la maison, j’avais l’habitude de son odeur d’humidité et de renfermé. Mais cette fois c’était presque autre chose, bien plus prenant. Ça ne m’empêcha pas de m’installer sur le sofa défoncer du coin gauche en attendant les premiers éclairages de la lune qui passerais bientôt à travers les lattes défoncer dont on avait barricadé toutes les ouvertures de la vielle maison hantée.
Je ne prenais jamais de livre ou autre divertissement quand je passais la nuit ici, pas même de quoi grignotée à vrais dire. D’une part je n’avais pas faim du tout, d’autre part je ne voulais pas risquer de déchiqueter mes ouvrages. Le lendemain cependant, j’étais généralement affamée, maman y penserais sûrement, elle y pensait toujours.
C’est au milieu de ce méli-mélo de pensée que je commençais à sentir mes entrailles se tordre. Levant les yeux vers la fenêtre du salon, mon visage fus éclairé par la pleine lune qui avait commencé son ascension dans le ciel. Ce ne serait plus très long maintenant. M’agrippant aux coussins éventrés sur lesquels j’étais allongée, petit à petit chaque os de mon corps se mis à craquer. C’était bien moins douloureux avec le temps. Mais ça n’était pas plus agréable pour autant.
***
Il ne suffit que de quelques minutes pour que les yeux d’un jaune brillant ne s’ouvrent dans la cabane. Plus de présence humaine, un animal simplement, grognant, féroce et frustrée qui se redressa pour hurler à la lune avant de renifler, chercher et casser. Tout détruire, les chaines, les meubles. Arrachée encore un peu plus les tissus des assises et déversée sa colère, le loup voulait être libre.
***
La nuit passa en un éclair, et pour cause puisque je n’eu aucun souvenir d’avoir repris forme humaine. C’est nue, mes vêtements en lambeau que je m’étais évanoui sur le parquet inconfortable de la maisonnette.
Ma conscience qui s’échappe, mon esprit qui se ferme. Je n’étais plus humaine, je n’étais plus moi-même. Même mon corps ne m’appartenait plus pendant ses longues nuits de pleines lunes où je vivais sous la forme du loup. Hurlant à la lune, griffant, brisant le bois des chaises qu’ils fallait à chaque fois réparer, tentant de m’enfuir en arrachant les planches qui recouvrait les fenêtres, sans jamais y parvenir car les choses avaient été bien pensée, bien avant ma naissance et pour un autre. Je savais que mon parrain m’attendait, à l’autre bout du tunnel et qu’à mon réveil, je ne serais pas seule. C’était bien la pensée positive qui m’encourageais à chaque fois a passer la nuit, jusqu’à l’endormissement de la bête qui sommeillais en moi et ne se réveillais que quelques nuits par mois.
Ce matin ne fis pas exception. Endormis à même le sol, mes vêtements ayant voler en éclat pendant que la transformation opérait. Mes muscles étaient endoloris, courbaturée mais j’en avait l’habitude, moi qui pourtant n’était pas bien sportive. Des petites claques vinrent me tirer de mon sommeil et je grommelais. Il pourrait quand même éviter ce geste, ce n’était franchement pas le plus agréable des réveils. Après tout, la perte de connaissance après la transformation était naturelle et se transformais bien vite en un sommeil des plus naturelle. Il aimerait lui, que je le réveille à coup de giffle ?
Docile cependant, je ne dis rien alors que je me relevais, tirant le plaide pour me couvrir, me cacher complètement. L’odeur des gâteaux me chatouillant les narines alors que je m’étirais en poussant mes bras jusqu’à mes genoux. Je clignais des yeux une fois, deux fois, avant d’intégrés la question et d’y répondre dans un bâillement à m’en décrocher la mâchoire. Si les cernes qui marquais mon visage n’était pas assez explicite sur mon état de fatigue, ce simple geste devrait se suffire à lui-même.
Loup-Garous - Palier #4
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Jeu 8 Juin - 18:38
Le membre 'Megan A. Londubat' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
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Megan A. Londubat
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Sam 26 Aoû - 22:52
Une des malédictions de la solitude, c'est qu'elle vous contraint à penser excessivement à vous-même.
Les éclats de lune baignaient la vieille cabane abandonnée, diffusant une lueur fantomatique sur les murs craquelés et le sol poussiéreux. Megan, vêtue d'un simple plaide pour dissimuler les restes de ses vêtements déchirés par la transformation, se tenait debout au milieu de la pièce, les yeux rivés sur la fenêtre barricadée. La pleine lune montait dans le ciel, son éclat argenté éveillant en elle un mélange de crainte et d'anticipation. Les battements de son cœur semblaient s'accélérer au rythme de la progression de la lune, comme une horloge macabre annonçant l'arrivée imminente de la bête en elle. Les souvenirs de nuits passées sous la forme du loup étaient des lacunes troublantes dans son existence. Elle se souvenait du craquement des os, des douleurs lancinantes, mais tout s'effaçait lorsque la bête prenait le contrôle. La transformation était devenue moins douloureuse avec le temps, un pâle réconfort dans une situation qui restait terrifiante. Sa mère l'avait escortée jusqu'à cette cabane, veillant à ce qu'elle soit en sécurité, enfermée par magie pour que la bête ne puisse pas causer de tort à elle-même ou aux autres.
Les prémices de la transformation la saisirent, faisant crisser ses os et pliant son corps dans des directions anormales. La douleur était une vieille compagne, une part inéluctable de cette malédiction. Megan se cramponna aux coussins déchirés, les ongles s'enfonçant dans le tissu usé alors que les grognements de la bête s'échappaient de sa gorge. Les yeux jaunes luisants de férocité et de frustration, elle fixait la fenêtre, obsédée par la lune en train de monter dans le ciel. Lorsque les premiers rayons lunaires se faufilèrent à travers les lattes barricadées, son corps commença à changer. Les membres se déformaient, une fourrure grisâtre émergeait sur sa peau, les griffes sortaient de ses doigts, et les canines acérées perçaient sa gencive.
Et puis, elle disparut dans la tempête intérieure, submergée par l'instinct primal du loup. Les grondements devinrent des hurlements à la lune, sa forme animale se déchaînant dans une rage frénétique. Les meubles étaient renversés, les chaînes brisées, les murs rayés par les griffes puissantes. C'était une décharge d'énergie sauvage, une catharsis brutale dans l'obscurité de la cabane.
La nuit passa dans un éclat de fureur et d'agonie, et au matin, tout était calme. Les premiers rayons du soleil filtrèrent à travers les lattes, éclairant le corps recroquevillé de Megan sur le sol. Des lambeaux de vêtements jonchaient le sol, témoignant de la métamorphose nocturne. La poussière flottait dans l'air immobile, et le silence régnait. Son souffle était apaisé, le rythme de son cœur lentement revenu à la normale. Une série de petites claques tira Megan de son sommeil. Grommelant, elle s'étira avec l'agilité d'une personne fatiguée mais familière avec la sensation de muscles endoloris. L'odeur des gâteaux chatouilla ses narines, la tirant de son semi-sommeil pour la ramener à la réalité. Elle se leva avec précaution, tirant le plaide autour d'elle, se cachant dans son cocon improvisé. Son regard se posa sur @Lily L. Potter, sa meilleure amie, dont la présence offrait un réconfort immédiat malgré l'épuisement qui imprégnait chaque fibre de son être.
Un simple sourire, un geste de tendresse familiale qui ne nécessitait pas de mots. Le regard triste de son amie, sa compréhension silencieuse face à la réalité cruelle qui rythmait la vie de Megan. Le lien entre elles était plus fort que jamais dans ces moments où les paroles semblaient superflues. Megan laissa échapper un sourire timide avant de replonger sous le plaide, cherchant à chasser le froid résiduel qui s'était insinué dans ses os durant la nuit.
Les jours après la pleine lune étaient une période de récupération physique et émotionnelle. Megan se sentait vidée, comme si la bête en elle avait drainé toute son énergie. Les cernes sous ses yeux témoignaient de la nuit agitée, et son corps portait les marques discrètes de la transformation. Pourtant, il y avait aussi un sentiment de calme, une lueur d'espoir dans la répétition cyclique de cette malédiction. Miss Vablatsky, son ancienne professeure de potions, était un pilier de soutien essentiel. Non seulement elle lui fournissait les potions tue-loup pour atténuer les effets de la transformation, mais elle lui offrait aussi une oreille compatissante. Elle comprenait les luttes de Megan d'une manière que peu de gens pouvaient. C'était une alliée précieuse dans cette bataille contre les forces obscures de sa propre nature.
Les nuits de pleine lune étaient l'équivalent d'une épreuve, une plongée dans l'inconnu où Megan devenait une étrangère pour elle-même. Mais chaque matin, après que la bête se soit apaisée et que Megan reprenne forme humaine, elle trouvait une lueur d'espoir dans la continuité de sa propre histoire. Chaque fois qu'elle affrontait la bête intérieure, elle gagnait en force et en contrôle, un pas de plus vers l'acceptation de ce qu'elle était devenue. Lentement mais sûrement, elle apprenait à vivre avec ce don maudit. Les nuits de pleine lune restaient un défi, une épreuve de sa volonté et de son courage, mais elles devenaient aussi une occasion de grandir et de se découvrir. Dans l'obscurité de la cabane, Megan faisait face à la bête qui était en elle, luttant pour maintenir son identité au milieu du chaos intérieur. Chaque lune était un combat, mais chaque matin était une victoire. Et dans ces moments de clarté, elle trouvait la force d'écrire son propre récit, de façonner son destin malgré les épreuves qu'elle devait affronter.
La cabane avait fini par devenir un sanctuaire de transformation pour Megan. Les murs fissurés et le plancher poussiéreux portaient les cicatrices de ses métamorphoses mensuelles. Chaque coin de la pièce était imprégné de son essence, de sa lutte intérieure. Pourtant, malgré les souvenirs douloureux qui y étaient associés, c'était aussi un lieu où elle se sentait liée à elle-même, où elle affrontait sa propre nature avec une détermination sans faille. Le plaide usé et les coussins déchirés étaient devenus des alliés silencieux dans son combat. Elle se blottissait dedans comme dans une armure, s'agrippant aux tissus pendant que les premières secousses de la transformation la prenaient. Les grincements et les craquements de ses os semblaient résonner avec les grognements de la bête en elle. Chaque fibre de son être était tendue, prête à céder sous la pression, mais elle se refusait à se laisser submerger.
Dans la danse chaotique de la transformation, Megan trouvait une étrange connexion avec la lune. Elle ressentait le tiraillement entre son humanité et son animalité, comme si la lune exerçait une force magnétique sur son âme. Les rayons lunaires étaient à la fois réconfortants et terrifiants, rappelant à Megan le dualisme qui la définissait désormais. La bête en elle était une furie inarrêtable, une force de destruction qui ne demandait qu'à être libérée. Les meubles étaient jetés, les murs éraflés, et l'air résonnait des hurlements de la bête. Dans cette frénésie de chaos, Megan ressentait une perte momentanée de contrôle, une soumission à des instincts primaires. C'était une lutte constante pour conserver sa propre identité, sa propre humanité, au milieu de ce tourbillon de férocité.
La nuit passait dans un éclat d'émotions contradictoires. Il y avait la peur, la douleur et la colère, mais il y avait aussi un étrange sentiment de libération. Peut-être que c'était la bête qui laissait échapper sa propre frustration, ses propres désirs refoulés. Quand les premières lueurs du jour perçaient à travers les lattes barricadées, tout était calme. La bête se retirait, laissant Megan épuisée mais toujours debout. Hannah, sa mère, était toujours là au petit matin. Un réconfort constant dans un monde de chaos. Ses yeux tristes témoignaient de l'inquiétude qu'elle ressentait à chaque transformation. Mais Megan ne se sentait pas seule, pas complètement. Il y avait une équipe de soutien autour d'elle, des personnes qui comprenaient sa lutte et la tenaient debout.
Après chaque nuit de pleine lune, Megan trouvait un sentiment de calme intérieur. Les jours qui suivaient étaient des jours de récupération, de guérison. Le corps endolori, l'esprit épuisé, elle reprenait peu à peu des forces. Elle observait les marques sur son corps, les griffures et les ecchymoses, comme des preuves tangibles de sa persévérance. La cabane était comme un témoin silencieux de son voyage. Chaque transformation laissait sa marque, mais chaque transformation était aussi un pas de plus vers l'acceptation. Megan avait appris à apprivoiser sa bête intérieure, à naviguer dans les eaux troubles de sa nouvelle réalité. Et chaque mois, au cœur de cette nuit sombre et tourmentée, elle trouvait une parcelle de sa propre lumière.
Loup-Garous - Palier #5
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Megan A. Londubat
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Sam 9 Sep - 20:09
Quête #1 : Acquisition de l’œuf.
Megan Londubat, une jeune fille au caractère enjoué, pleine de patience et d'optimisme, se retrouva un jour à Mont de Toupet, en France, pour une randonnée dans la chaîne des Belledone. Une escapade loin de son quotidien, de la morosité qui s'était installée depuis qu'elle avait dû abandonner l'école de sorcellerie de Poudlard. Mais il était temps de changer d'air et de se ressourcer dans la nature. Alors qu'elle marchait, le regard tourné vers les sommets enneigés, elle entendit un bruit étrange, un cri perçant. Intriguée, elle suivit le son jusqu'à découvrir une maman Veaudelune blessée, gisant sur le sol. Megan, courageuse comme son père Neville, se précipita pour aider la créature, mais malheureusement, il était trop tard. La Veaudelune était gravement blessée, et malgré tous ses efforts, Megan ne put la sauver.
La jeune fille se sentit triste pour la créature en détresse, mais le sarcasme qui faisait partie intégrante de son caractère ne tarda pas à refaire surface. "Eh bien, c'est une belle journée pour une randonnée", murmura-t-elle avec un sourire aussi ironique que triste. Alors qu'elle s'apprêtait à quitter les lieux, une découverte inattendue la fit s'arrêter net. Sous la mère Veaudelune, elle découvrit un œuf, soigneusement couvé. "Oh, regardez ça ! Une surprise de dernière minute !" lança-t-elle avec une pointe d'humour, sachant très bien que l'élevage d'un Veaudelune ne serait pas de tout repos.
Megan, loup-garou de naissance, était désormais confrontée à une nouvelle aventure : prendre soin d'un Veaudelune. Elle se demanda comment sa mère réagirait en apprenant cette nouvelle. Elle avait déjà assez de soucis avec la gérance du Chaudron Baveur, mais maintenant, elle aurait une petite surprise à gérer. Avec précaution, Megan prit l'œuf du Veaudelune et le plaça dans son sac à dos, près de son cœur. Elle savait que cette créature magique avait besoin de chaleur pour se développer. Elle savait aussi que ce serait un défi de taille, mais Megan ne reculerait pas devant l'adversité. Elle était persévérante et déterminée, même si elle manquait parfois de confiance en elle.
Alors, avec un sourire mélangeant humour et détermination, Megan poursuivit sa randonnée dans les montagnes françaises, l'œuf de Veaudelune à ses côtés. Elle savait que cette nouvelle aventure serait pleine de surprises et de défis, mais elle était prête à les affronter, en gardant son optimisme et son sens de l'humour bien ancrés en elle. Après tout, elle était Megan Londubat, et rien ne pouvait la décourager, même pas l'élevage d'un Veaudelune.
Février 2025
the "she" wolf.
Who was I kidding? Curses don’t just evaporate, and I would need to deal with this sooner rather than later. I only hoped sooner meant not immediately.
Code par cassou
Megan A. Londubat
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Danielle Rose Russell Niveau : 37/100 Points d'Exp : 9034 Particularité : loup-garou palier 5/7 Health Point : 1 850 PC (compétences) : 13/13 PC (caractéristiques) : 13/13 Scolarité et Métier : J'ai étudier à Poudlard dans la maison Gryffondor jusqu'à la 5è année quand j'ai eu mes BUSE. Après quoi je fus forcée d'arrêté mes études en raison de ma condition de Loup-Garou. Je travail maintenant au Chaudron Baveur, pub qui est tenu par ma mère à Londres.
Sam 23 Sep - 19:29
Quête #2 : Recherches et Éclosion de l’œuf.
Megan Londubat, la jeune lycanthrope au cœur courageux et optimiste, se trouvait désormais confrontée à un défi inattendu. Alors qu'elle se trouvait en plein cœur des montagnes françaises, une randonnée paisible avait pris une tournure surprenante lorsqu'elle avait découvert une mère Veaudelune mourante, laissant derrière elle un œuf soigneusement couvé. Megan savait qu'elle devait agir rapidement pour prendre soin de cet œuf et donner une chance à la vie qui s'y trouvait.
De retour chez elle, au Chaudron Baveur, où elle travaillait aux côtés de sa mère, Megan décida de se lancer dans des recherches approfondies sur l'œuf de Veaudelune. Elle avait toujours été curieuse et avide de connaissances, et cette fois-ci ne faisait pas exception. Elle savait que pour donner à cet œuf la meilleure chance d'éclore, elle devait en apprendre autant que possible sur les soins à lui prodiguer. Elle commença par consulter des livres de créatures magiques, espérant y trouver des informations sur les Veaudelunes et leur processus d'éclosion. Elle découvrit que ces créatures magiques étaient extrêmement rares et qu'il existait peu de renseignements à leur sujet. Cependant, elle finit par tomber sur un texte ancien qui mentionnait le rituel nécessaire pour faire éclore un œuf de Veaudelune grâce à @Lorcan Scamander venu un soir travailler tranquillement à l'ombre des chandelles du pub.
Selon le texte, l'œuf devait être placé dans un Vasque en marbre spécialement enchanté. Ce vase devait être exposé à la lumière des trois pleines lunes consécutives. L'éclosion devait avoir lieu avant que la troisième lune ne disparaisse de la vue, sinon l'œuf resterait stérile. Megan nota soigneusement chaque détail du rituel, sachant qu'elle devrait maintenant se préparer pour les trois prochaines pleines lunes. Elle se mit donc à la recherche d'un Vasque en marbre approprié, et après avoir visité plusieurs boutiques magiques, elle en trouva finalement un qui convenait. Elle installa l'œuf de Veaudelune avec précaution à l'intérieur du vase et le plaça dans un endroit où il serait exposé à la lumière de la lune pendant les trois prochaines nuits.
Les nuits suivantes furent remplies d'attente anxieuse pour Megan. Elle se leva chaque soir pour s'assurer que le Vasque en marbre était bien positionné sous la lueur argentée de la pleine lune. Elle sentait le poids de la responsabilité sur ses épaules, sachant que la vie d'une créature magique était entre ses mains. Enfin, la troisième pleine lune arriva, et Megan attendit avec impatience l'éclosion de l'œuf. Alors qu'elle observait attentivement, elle vit un léger frémissement à l'intérieur du vase. Son cœur battait la chamade alors qu'elle assistait à l'éclosion tant attendue. L'œuf se fissura doucement, laissant apparaître une petite créature aux ailes argentées.
Le Veaudelune naissant était magnifique, avec ses ailes scintillantes et son regard curieux. Il s'étira gracieusement dans le vase, puis se posa sur le rebord, fixant Megan de ses grands yeux. La jeune lycanthrope ne pouvait s'empêcher de sourire, la fierté et la joie remplissant son cœur. Elle avait réussi à faire éclore cet œuf et à donner une chance à cette magnifique créature de vivre. Megan savait que la route serait longue et qu'elle devrait apprendre à prendre soin de son nouveau compagnon. Mais elle était prête à relever ce défi, avec son optimisme, sa patience et sa détermination habituels. Elle avait gagné la confiance du Veaudelune en l'aidant à naître, et elle était prête à l'accompagner dans toutes ses futures aventures magiques.
Février 2025
the "she" wolf.
Who was I kidding? Curses don’t just evaporate, and I would need to deal with this sooner rather than later. I only hoped sooner meant not immediately.
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