Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Les explications sincères du jeune homme avait laissé Teddy sans voix, la bouche légèrement entre ouverte. Elle qui ne lançait qu’une boutade sans y mettre aucun sérieux, tout comme à cet échange qui pour elle résultait d’une alchimie qu’elle appréciait, certes, mais sur laquelle elle ne portait pas tant d’espoir non plus s’en voyais presque… flattée. Touchée, même.

- Je… c’est pas ce que je voulais sous-entendre. J’aime beaucoup cet endroit.

Aura-t-elle finalement répondu en quelques mots qui formais un murmure. Elle s’en mordra la lèvre inférieure, tournant le visage vers Yi-Min à son tour, quitte à ignorée la soudaine proximité qui, bien qu’elle ne les avait pas quitté depuis un moment déjà, s’en voyait encore plus réduite quand l’un et l’autre se regardait. Au point, presque, de faire toucher le bout de leurs nez par la position qu’ils avaient adoptés.

- Moi j’aime pas les « bad boy » c’est généralement des cons. C’est pour ça que je t’aime bien.

Pour le coup c’était sorti du cœur et tellement naturellement qu’on ne pouvait douter de sa sincérité, au même titre qu’on pouvait y voir sans doute une pointe d’amertume caché derrière les mots car l’image de Lazar c’était dessinée dans son esprit et lui aurait presque arrachée une grimace de dégoût. Quant au fourvoiement dont elle avait fait preuve au départ, on voyait la gêne qu’elle lui inspirait par le léger rosissement de ses joues. Elle avait très bien compris que Yi-Min n’était PAS GAIS. Pour le coup, elle en avait même eu une très clair démonstration dont les saveurs continuais d’alimenté ses besoin en endorphine de la journée.

- Un… banc ?

Les point d’interrogation se dessine au-dessus de sa tête, au même titre que son regard ce vide pour devenir légèrement hébétée et que ses lèvres forme un petit « o ». L’incompréhension marquera ses traits une seconde à peine, le temps d’accompagner le jeune homme jusqu’à l’assise de bois non loin où elle ira s’asseoir. Presque dessus de devoir rompre les calinage, elle occupera la place à l’extrémité du banc comme le lui aura indiqué silencieusement Yi-Min avant d’accueillir sa tête sur ses genoux avec un fin sourire attendrit qui se réverbère dans son regard.

- C’est de la torture ! J’ai trop envie de te cajoler, mais si ça fini par te chatouiller… C’est pas l’effet escompté !

Oui effectivement, en ayant ses quelques mots, elle râle. Boude presque également à voir la moue sur son visage et sa main, celle qui ne ce n’est pas enfermé dans celle du jeune homme, suspendu au-dessus de son visage, ou plutôt de ses cheveux cachés sous la capuche à ne pas oser aller s’y glissée. Un soupire s’échappera de ses lèvres et finalement, elle glissera ses doigts sous le tissu dont le garçon c’était recouvert pour aller jouer délicatement avec quelques mèches de ses cheveux. Distraitement prodiguant quelques gestes qui continue d’être doux.

- Finalement, tu n’avait pas assez dormi dans ta salle de classe ! T’a pas trop froid ?

C’est bien ce qu’il a dit, qu’il craignait les températures extrêmes. Chacun à sa propre définition à ce niveau-là. Et Teddy n’a pas l’impression qu’il fasse si froid que ça, humide certes. C’est le propre de ce pays qu’est la grande Bretagne. Le silence les enveloppera peut-être, ou bien ils continueront à échanger quelques mots. Quoi qu’il en soit, s’installant un peu plus confortablement, Teddy se laissera bercée par la somnolence improvisée du jeune homme, ou plutôt la détente qui lui est offerte. Non sans voir son esprit dévié vers quelques questions laisser en suspens dans son esprit, comme le fait d’intégré cet université, le voyage du lendemain ou bien d’autre choses qu’elle n’attend que de chasser d’un revers de main. Il semblerait que ce soit ça aussi, ce jardin, l’affrontement de pensée profonde dans la méditation et la découverte de ce qui doit être réfléchit. C’est comme si l’énergie magique des lieux poussait à l’introspection.

- Tu travail demain ?

Pourquoi Teddy ? Pourquoi ses quelques mots ce sont échapper de tes lèvres ? Ce n’est pas comme si tu pouvais l’invité dans ta future épopée avec les précieux de ta frangine, pourtant tu le connais bien le mot secret non ? Même si tu n’as jamais été douée pour les gardé, les secrets. Bien au contraire, ils ont tendance à t’échapper comme un flot inarrêtable une fois qu’ils te traverses l’esprit devant le mauvais interlocuteur.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Du bout des doigt, Teddy aura retracé les contours du visage de Yi-Min, des gestes pleins de tendresse pour appliquer un peu plus de velouté au simple contact de leurs peau. C’est étonnant de voir à quel point il est facile pour Teddy de se sentir proche du jeune homme. Certes, elle est de nature plutôt naïve et fait facilement confiance. Résultat, sans aucun doute, de son cœur d’artichaud. Pour autant, elle commence vraiment à avoir l’impression de connaitre l’étudiant en médicomagie depuis bien plus longtemps que quelques heures seulement ! Il y aura eu un sourire un peu plus prononcé, quelques couleurs pour venir teinter ses joues aussi, face à l’étonnante franchise de Yi-Min et la portée de ses mots qui aurons eu leurs petits effets : et pour cause ! C’est comme une petite nuée de papillon qui se sont envolée dans l’estomac de Teddy, qui prendra le compliment et le gardera précieusement.

- Oh non, c’est pas cool si tu as froids. Si on se serre un peu plus peut-être que ça ira mieux ?

Et à mesure que les papouilles se poursuivrons, on pourra noter un effort de la demoiselle pour s’assurer que la peau du jeune homme ne tourne pas au bleu. Elle-même n’a pas vraiment froid en soit, c’est un fait avéré. Donc autant essayer de faire profiter de cet aise au jeune homme ?

- Je crois que j’ai parlé trop vite, je doit accompagner des… élèves de ma sœur à Marakesh. Enfin une élève, l’autre est à Grimardent depuis cette année. Enfin bref.

Et la raison pour laquelle Melissandre lui a demander à elle de le faire, au lieu de s’en charger elle-même, ou de trouver quelqu’un de plus qualifié -ce qui ne serait pas compliqué- lui est complètement étrangère. C’est une véritable anomalie. Peut-être que c’est pour l’éloignée de Dursmtrang ? Ou bien pour lui donner autre chose à faire que lire des magazines de mode…

- Ça tombe bien, j’ai vraiment pas envie d’aller où que ce soit d’autre non plus !

Aura-t-elle répondu d’une voix enjouée en resserrant sa prise autour du jeune homme pour le garder un peu plus contre elle, continuant de jouer d’arabesques et d’affection du bout des doigts. Se penchant jusqu’à ce que son visage puisse aller se coller à ses épaules, ou bien son visage -la joueuse à du mal avec la visualisation ce soir- profitant de quelques instants supplémentaires à ce cajolée au milieu de ce jardins aux mille et unes couleurs.

- Pour en revenir à Marakesh, je m’étais dit que ce serait sans doute beaucoup plus amusant avec toi. Mais d’une part, c’est peut-être un peu soudain de te demander ça. Et de deux, ben… ça risque je sais pas, d’être chiant ou bizarre ?

Ou de ne pas plaire à Melissandre ? Non mais ça, elle s’en fou. Ou plutôt, elle n’y réfléchit pas. De toute façon sa sœur ne lui a pas parler des descendants, pas encore du moins. Et Teddy met un point d’honneur à ne pas se mêlé des affaires de sa frangine, vu que ça risquerait de lui coller la migraine. Rester dans l’ignorance et conservé son innocence, c’est beaucoup mieux.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Trop « vite », un terme peut être maladroit, mais que Teddy aura utiliser par précaution. Pas parce que c’est son fond de pensée à elle, non. Mais plutôt parce qu’elle à déjà souffert de son attachement qui est beaucoup trop rapide pour le commun des mortels et à tendance à lui jouer des mauvais tours, que ce soit en brisant son petit cœur d’hybride ou bien en faisant fuir à toute jambe la personne qui était visée par ses sentiments -amicaux et plus si affinités- naissants. C’est qu’une bimbo blonde -demi-vélane- apparemment c’est bien pour s’amuser, mais pas forcément pour se poser. Demandez donc à un de ses voisins de paliers ! Mais apparemment, ce n’est pas ça qu’elle aura provoqué chez le jeune homme. Et l’expression de stupeur qui va traverser comme un éclair son visage, viens purement et simplement de la mine boudeuse qu’il aura eu en réaction de ses précautions. De quoi faire faire une nouvelle looping à ses organes interne, surtout qu’il est mais vraiment, vraiment mignon. Pas seulement attachant, mais simple aussi. C’est rafraichissant. Forcément puisque l’honnêteté c’est comme la tendresse : ça ne court pas les rues dans le monde de Teddy ! Que ce soient les Romanov, sa sœur Melissandre ou son demi-frère Eiji, en la matière y’en a pas un pour rattraper l’autre dans le domaine de « je fuis l’attachement » avec option « master en mensonge en tout genre ». Il ne faut donc pas s’étonner que la Bulgare soit très fort en train de tomber dans les filets du Coréen, tête la première et vitesse grand « V » !

Une fois de plus, elle se laissera porter entièrement par la douceur des gestes du jeune homme, accueillant la pulpe de ses lèvres contre les siennes comme un petit morceau de nuage tout doux envelopper dans une douce chaleur. La proposition qui suivra ne manquera pas de teinter les joues de Teddy de quelques touches rosée qui pourrais être mis sur le dos du « froid » ambiant… Pour les naïfs du moins ! Voyant le damoiseau prendre place contre le dossier du banc, et donc trop loin à son goût, pendant qu’elle poursuivra leurs discussions elle en profitera pour parfaire les positions.

- Un premier date baby-sitting ? Mmmh…

Y’a comme une semi-moue boudeuse, parce qu’un date ça se prépare un peu mieux que ça et puis c’est pas fait pour jouer les gardiens des… des quoi d’ailleurs ? Et pourquoi eux ? Non mais, on a dit qu’elle ne se poserais pas la question. De toute façon, elle est trop occupée à faire glissée son postérieur un peu plus près de Yi-Min tout en remontant ses jambes pour les passer par-dessus celle du jeune homme.

- Mais c’est vrai qu’à Marakesh au moins ça sera original pour un premier date !

Elle tend les bras pour les passer par-dessus les épaules du jeune homme et prendre son élan en ce servant de l’immobilité de celui-ci pour donner l’impulsion à son postérieur de passer des lattes de l’assise qu’elle avait jusqu’à maintenant et qui aurait fini par s’imprimé sur sa peau à travers la jupe, à ses genoux. Le tout pour mieux se blottir contre lui. Mais c’est de la pure générosité : on ne voudrait pas qu’il est trop froid ! Elle déposera du bout des lèvre un baisée sur sa joue avant de laisser tomber son visage sur l’épaule du jeune homme, allant jouer d’une main avec les cordelettes du sweet-shirt.

- Ça me plairais bien, si ça te va aussi. Et que t’a le temps. Ça rendra l’expédition bien plus sympathique si t’est là, puisque moi aussi j’aime bien passée du temps avec toi.

Aura-t-elle terminé, remuant ses lèvres dans doute suffisamment proche de l’épiderme du Coréen pour qu’il en sente le souffle sur sa peau. Proximité dont elle profitera pour ponctuer sa phrase d’un nouveau bisous déposée avec douceur cette fois dans son cou dont elle était particulièrement proche.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Fondre… C’est même plus assez comme terme. Il faudrait en trouver un autre, plus proche du faire que l’attachement grandissant de Teddy pour le jeune homme commence réellement à ressembler -commence…- à de l’attachement, voir à carrément elle aussi en tomber amoureuse. Ce qui est assez facile et naturelle pour la demi-vélane au cœur d’artichaud. Elle pourra dire une chose, c’est qu’inscrite ou pas l’année prochaine ; elle n’est clairement pas venue à Grimardent pour rien aujourd’hui ! Et tant pis si elle rentre trop tard, ou si elle se prend les foudres de Dragoromir. On peut être certain que sa lui passera par-dessus la tête vu le sourire flottant qui risque d’illuminée son visage pour un bon moment même une fois qu’elle se sera décidée à franchir le portail.

La proximité… Les gestes… La tendresse. Tant de chose qui marque le début de cette relation qu’elle imagine déjà perdurée. Cette impression que tout est si naturel, si évident. Si facile aussi. Et doux… Si doux. Doux dans ses gestes, doux dans ses mots. Doux dans ses regards. Et même dans toutes ses petites mimiques et expressions qui ponctue chacune de ses phrases et réaction. -elle en peut plus sa race !- Et son sourire, qui s’élargit quand, une fois n’est pas coutume, elle répondra aux invitations du jeunes hommes presque comme si elle les devinait et relevant le visage vers lui. Fermant doucement les yeux en resserrant peut-être aussi la prise de ses doigts sur le sweet-shirt à mesure que les paroles se frayent un chemin pour faire le tour du mono-neurone et s’imprimée quelque part dans son esprit, ou sur son cœur. Et entre l’échange de baisée et le touchée plus explorateur qu’il aura et qu’elle accueillera le souffle court, le lendemain qui l’attendait lui parait tout de suite beaucoup moins sombre. Ou barbant… ou les deux !

Elle se redressera, partant à son tour à la recherche des lèvres du jeunes homme. Laissant une de ses jambes passer de l’autre côté des cuisses du garçon pour venir l’encadré des sienne et sentir un nouveau rapprochement quand la main perdue dont elle ne savait pas quoi faire remonte pour aller jouer d’arabesque sur la peau du jeune homme, ne se retenant pas d’aller explorer sa nuque, c’est un oubli de la sensibilité de celui-ci car le touché est un réflexe. La première main, elle restera à froisser le tissu de son vêtement quand ses hanches se rapprocherons encore d’avantage et qu’elle continuera, avec gourmandise, à gouté à la pulpe de ses lèvres. Ne s’arrêtant que pour glisser quelque mot, le front reposer sur le sien quand ses iris croisent les siennes.

- C’est un date alors. On part demain matin vers dix heure, depuis la cours de métamorphose à Poudlard.

Et pour continuer l’échanges des mots, plutôt que d’envoyer ses lèvres retrouver leurs partenaires, elle ira plutôt déposer quelques douceurs sur la joue du jeune homme, laissant glissée les baiser jusqu’à redessinée la ligne de sa mâchoire et retrouver la douceur de son cou.

- Ça ira pour toi ?

Que ce soit pour se rendre sur le lieu du rendez-vous, ou pour ne pas être trop fatigué de son temps passé à l’hôpital sorcier entre deux de leurs rencontres.

- Et si t’est trop fatiguée… Je t’aiderais à rester éveillée.

Il y a de la malice, dans ce qui n’est pas si subtil que ça quand on voit l’appétence avec laquelle elle redécouvre sa peau actuellement.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Ce besoin de proximité, cette recherche constante de réduire toute distance qui pourrait encore existée entre eux. Ça ne nait pas d’un désir de la chair, ça n’est pas aussi trivial. C’est bien plus profond que ça. C’est une démonstration de tendresse, une envie de partage et d’appartenance. De liaison, peut-être dangereuse quand on connaît la nature des deux hybrides qui se sont trouvé dans l’évidence même. Mais ça, Teddy n’en a pas conscience. Car tout comme elle ne maîtrise aucunement les réactions de son aura ou de ses propres dons, elle n’a aucune connaissance de la nature profonde du jeune homme. Elle n’y voit donc rien de mal, rien de plus que l’innocence même d’une vérité et de la découverte de sentiments qui seront venue l’envelopper, la frapper comme un ra de marée et l’emporter dans ce qu’il y a de plus romantique en elle. C’est cette même naïveté qui se dépeindra sur ses traits quand le visage du garçon remontera pour l’observer dans l’échanges de nouveau mots raccourcit par les souffles brûlants qui résulte de leurs échanges. Ses yeux sont bien trop brillants quand elle entend la sincérité de ses propos et qu’elle n’en doutera pas une seule seconde. Qu’elle accueil le compliment et que son cœur, qu’il devrait très bien sentir quand il aura posé sa tête contre son torse, bat à tout rompre, ayant par moment quelques ratée qu’on pourrais qualifier de sault périlleux.

- Désolé… J’ai pas envie de te mettre mal à l’aise, j’ai un peu oublié l’existence des… autres. C’est juste que… J’ai juste envie de…

Elle passera une nouvelle fois ses ongles à la naissance de ses cheveux, sa seconde main remontant jusqu’à trouver l’ouverture de ce sweet-shirt pour ce glissé sous le tissu et dessinée quelque arabesque entre et sur ses omoplates avec toujours autant de douceur et de volupté.

- J’ai juste envie d’être toute à toi.

Ses mots, prononcer dans un murmure, dans un souffle avant que l’échange, plus doux, ne prenne place et qu’elle ne semble une fois encore, vouloir se donner pleine et entière sans y mettre plus de réflexion que nécessaire.

- On sera au Souk. On commence près de la mosquée Mouassine.

C’est grand, Marrakesh. Et elle à vraiment envie qu’il la retrouve facilement et surtout le plus vite possible. Surtout qu’il lui est déjà inimaginable de se voir rompre cette petite bulle dans laquelle il n’y a qu’eux dans l’instant présent.

- J’ai une idée.

Elle va ce détachée légèrement du jeune homme pour se redresser quelque peu, créant un espace qui lui semble plonger sa peau dans un bain d’eau glacée quand ses mains quitte lentement sa peau pour rejoindre les larges boutons de son manteau cape. Si le premier à déjà été débarrassée, elle va doucement détachée les autres avant d’ouvrir le vêtement et de venir se coller de nouveau au jeune homme, déposant un baiser au creux de son cou quand elle l’invite à se détaché légèrement du dossier du banc pour passer les mains dans son dos et y scellée à nouveau l’habit, cette fois pour les y envelopper tous les deux. Veillant à ce que le vêtement redescente aux genoux du jeune homme.

- Voilà, comme ça il n’y a plus que toi et moi.

Aura-t-elle murmuré en posant son front contre le sien, avant de faire ce que les moldu qualifie de « bisous d’esquimaux » frottant le bout de son nez contre le sien avec un sourire peint sur le visage quand ses iris cherche encore une fois les siennes. Et que ses mains cherchent à retrouver la chaleur qui l’enveloppais jusque là en allant ce glisser sous le pull de Yi-Min. Elle posera, chastement, sa tête sur l’épaule de ce dernier et fermera doucement les yeux comme pour ce laisser bercée par ce cocon nouvellement trouvé, avant de pivoté légèrement sa tête pour pouvoir aller déposer de fin baisée au niveau de son cou et de ses clavicules.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Un baisé mène à un autre. Le bout de ses lèvres, le bout de sa langue dépose quelques emprunte invisible pour marquer le souvenir déjà bien ancré de cette rencontre. La volupté des gestes et l’envie, incessante, de se tenir toujours plus proche. Comme une addiction qu’on ne savait pas nous posséder. Mais qui emporte tout sur son passage tel une tornade. C’est un tourbillon de papillons dans le ventre et d’étoiles dans les yeux quand les lèvres se scellent à nouveau en un échange aussi doux qu’il est révélateur quant aux sentiments qui naissent. Trop vite peut-être pourrait dire certain, trop exposée pourrais reprocher d’autre. La réalité, c’est qu’elle s’en fiche complètement. Elle est juste dans le moment présent et laisse libre court autant à ses envies qu’à l’expression de ce qu’elle ressent de la manière qu’on lui a apprise : avec les mouvements de son corps et la douceur apporté par la pulpe de ses lèvres.

Ce sont des frissons qui vont lui parcourir l’échine quand elle sentira la pression des boutons de son chemisier s’alléger petit à petit jusqu’à ne plus en ressentir du tout. Encore un autre quand la main du jeune homme viendra redécouvrir ses courbes généreuses pour mieux ce les appropriée. Et quand c’est l’élastique d’un dernier rempart de tissus que glissera la seconde, elle retiendra un soupire peut-être plus accentuer que les autres en laissant tomber sa tête sur son épaule, non sans cambrer un peu plus ses hanches comme pour lui dessinée un chemin plus praticable encore. C’est inconscient aussi, quand la beauté de ses traits s’accentue sous le jouc d’une aura qui répond tant aux caresses qu’à tout ce qui remue au fond de la demoiselle. Ça l’est tout autant quand elle ne pourra empêcher chaque parcelle de son corps de réagir à chacune des approches du jeune homme. Continuant de cacher les baisée au creux de son cou qui se font plus langoureux encore quand elle y enfouit son visage.

- Non, non. Juste… Je vais avoir besoin que tu me rappelle où j’habite très bientôt. Parce que j’ai juste plus envie de partir.

La voix est aussi chaude que son souffle dans ses quelques mots qu’elle aura murmuré tant bien que mal tant son cerveau semble déjà repartir bien loin. Doucement ses mains également. Jusqu’à atteindre le pantalon du jeune homme pour chercher un peu plus d’intimité à travers le tissu. Sentir et chercher la preuve du désir qui pourrait être né aussi chez lui. Glisser ses doigts vers les boutons de ce même pantalon pour les défaire un a un en allant retrouver le chemin de ses lèvres. Et glisser une main pour libérer la chair, commencer à jouer de souplesse du poignet et de curiosité du bout des doigts. Remonter sa seconde main le long du torse du jeune homme, sous son pull, pendant que le premier reste occupé. Et ce en laissant glissé le bout de ses ongles le long de la ligne de ses abdominaux et de ses pectoraux, jusqu’à trouver la douceur de son visage et y déposer sa main tout en douceur, accompagnant la passion qui naitra dans un baisée qu’elle intensifiera tant par le désir que par l’envie de lui appartenir une nouvelle fois.

- Je crois que j’ai trouvé la meilleure des raisons de m’inscrire ici, pouvoir être avec toi.

Aura-t-elle murmuré une nouvelle fois, détachant leurs lèvres juste assez pour pouvoir glissée les mots quand sa main qui était rester à jouer plus bas va libérer son étreinte pour aller à la recherche de celle, du jeune homme qui c’était fait exploratrice et l’invité à aller se poser ailleurs. Cherchant à son tour l’élasticité du tissu pour libéré d’autres chemins, d’autre mouvement en approchant son bassin encore d’avantage. C’est presque comme une évidence, un soupire de contentement qui quittera ses lèvres et qu’elle étouffera dans l’éternel étreinte de leurs lèvres en jouant du bout de sa langue pour trouver sa partenaire à mesure qu’elle le laisse glisser en elle, éveillant de toutes nouvelles sensations, de toutes nouvelles saveurs qui raccourcissent encore d’avantage un souffle déjà bien diminuée. Sa main remontera pour trouver accroche sur le tissu qui couvre encore le jeune homme, le froissant à mesure qu’elle accompagne cette nouvelle possession de mouvement discret de son bassin. L’autre main, sur ce visage à la peau de porcelaine l’effleurant du bout des doigts quand elle rompt le baisé l’espace d’un instant pour pouvoir croiser son regard. Et lire en ses iris, ce qu’il pourrait lui aussi ressentir face à ce nouvel échange délectablement indécent.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Teddy n’a plus aucune conscience de l’endroit où elle se trouve, des étudiants pourrais passer par là ? Rien à foutre. Le corps enseignant pourrait avoir envie d’une marche dans le jardin ? Elle ne voie pas, elle n’entend pas. Son DEMI-FRERE pourrais avoir l’idée de venir méditer avec sa cousine ? Kiça ? Cependant elle sait très bien ce qu’elle est en train de faire. Répondre à chaque geste, chaque mouvement, chaque caresse du jeune homme en ce laissant envelopper dans cette douce chaleur qui teint leur échange de mille et une couleur. Gouter la saveur de sa peau, une fois de plus. Que ce soit la profondeur de son regard ou bien l’aisance de ses caresses. Que ce soit du bout des doigts ou du bout des lèvres elle n’aura de cesse de vouloir s’appropriée son être autant qu’elle s’offre avec une passion dévorante qui l’emporte, loin, très loin et l’enferme un peu plus dans une bulle de bien être

L'âme de Teddy vibre dans une symphonie d'émotions, sa sensibilité déferlant comme une marée sauvage, emportant avec elle toute notion de retenue. On l'a souvent taxée d'être excessivement sensible, d'un excès presque hérétique. Pourtant, dans ces rares instants, il n'y a rien de plus exquis que de laisser libre cours à ses émotions, de plonger tête la première dans le tourbillon des sentiments. Se laisser submerger par les pulsations du cœur, ces battements qui annoncent la naissance de l'amour. Un amour qui peint le désir avec des teintes enivrantes, qui fait grandir l'envie de se dévoiler davantage, de donner toujours plus de soi. D'elle, d'eux.

Dans cet état d'âme tourbillonnant, l'univers extérieur semble s'estomper, laissant place à une bulle d'intimité où seules les émotions et les regards comptent. Les yeux de Teddy se perdent dans un océan d'émotions, où les sourires deviennent des étoiles filantes et les mots, des pépites précieuses. Chaque contact, chaque étreinte est une danse envoûtante, un doux poème écrit par les mains et les souffles complices.

L'amour sculpte des paysages nouveaux dans le cœur de Teddy, où les vallées de la tendresse rencontrent les sommets de la passion. Les moments partagés sont des chapitres dans le livre de leur histoire, chaque page tournée révélant un peu plus de la profondeur de leur lien qui se forme petit à petit. Teddy se perd volontiers dans ce labyrinthe amoureux, préférant laisser ses sentiments guider sa route, sans se soucier des détours ou des obstacles. Pour elle, l'amour est une aventure où chaque instant, chaque émotion, chaque souffle, compte infiniment plus que toutes les questions et les doutes qui pourraient surgir. Ainsi, Teddy se laisse emporter par le courant de l'amour, sans craindre de perdre le contrôle, car dans cette fébrilité délicieuse, elle trouve sa véritable nature d'être aimant.

Dans le coin secret de leur intimité, ils sont enlacés, unis comme deux étoiles qui se rencontrent dans une nuit sans fin. Les souffles entremêlés sont comme une douce mélodie silencieuse, tandis que les mains exploratrices dessinent des chemins invisibles sur les cartes de leurs désirs. Le banc sur lequel ils reposent devient un théâtre d'émois, où les étoffes se confondent et les peaux s'effleurent dans un ballet passionné. C'est une danse de sensations, un dialogue muet entre corps et âmes, un secret partagé entre eux seuls. Les mots ne sont que des murmures inutiles, car tout ce qu'ils veulent dire se lit dans le langage silencieux de leurs gestes et de leurs regards.

Là, sur ce banc, dans leur retraite clandestine, chaque contact devient une caresse secrète, un doux frisson qui électrise leur être tout entier. La chaleur de leurs corps se fond et s'entrelace, créant un espace où le temps semble suspendu. C'est une symphonie silencieuse de désir, un échange sensoriel où les sens deviennent complices. Leurs mains, leurs lèvres, leurs soupirs murmurés sont autant de messages codés qui expriment leur affection profonde. Les ombres les enveloppent, et dans cette obscurité douce créer par le voile éphémère fournis par une simple étoffe de tissus, leurs âmes se confondent, se répondent et se complètent. Les étoiles scintillent dans leurs yeux, témoins silencieux de leur passion ardente. Ils sont deux étoiles filantes qui se sont croisées dans l'obscurité de la nuit, créant leurs propres constellations d'émois et d'intimité partagée. Rien d'autre ne compte, sauf cette communion charnelle, cette danse passionnée qui les unit sur ce banc, dans ce coin secret, où ils découvrent les mystères de l'amour à chaque soupir et chaque frôlement.

Dans ce lieu secret, Teddy s'approche doucement de l'apogée de leur échange intime. C'est comme gravir la plus haute montagne, sentant le souffle du sommet caresser sa peau à chaque mouvement. Les vagues de plaisir déferlent sur elle, tels des flots puissants cherchant à la submerger, mais elle les accueille avec grâce, en laissant son partenaire guider la danse autant que ses hanches en dessines la chorégraphie. Les étoiles dansent autour d'eux, accompagnant silencieusement leur montée vers un sommet qui se rapproche. Teddy se sent comme une étoile filante, prête à exploser en une pluie d'étoiles scintillantes. Elle glisse sur le fil ténu de la passion, équilibrant avec élégance la tension entre le désir et la retenue. C'est une ascension vers l'inconnu, un voyage dans un univers de sensations où chaque moment devient plus intense, plus lumineux. Les frontières s'estompent, laissant place à une harmonie parfaite entre leurs corps, un crescendo silencieux vers une étoile lointaine et brillante qui brille dans leur ciel partagé.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Dans cet endroit secret, Teddy se rapproche de l'apogée de leur échange intime avec la détermination d'un alpiniste escaladant une montagne majestueuse. Chaque sensation qui l'envahit est comme une note de musique ajoutée à une symphonie envoûtante, un crescendo de plaisir qui la submerge peu à peu. Elle se sent comme une étoile filante, prête à illuminer le ciel de leur passion. Ses mouvements sont une danse sensuelle, une chorégraphie improvisée de désir et de connexion profonde. Les étoiles scintillent au-dessus d'eux, témoins silencieux de leur passion ardente.

Leurs corps sont comme des pinceaux sur une toile, créant des tableaux érotiques avec chaque caresse et chaque contact. Teddy goûte la saveur de la peau de son partenaire avec une avidité délicieuse, une exploration sensorielle qui transcende les mots. Les souffles deviennent plus courts, les sensations plus intenses, et ils se laissent emporter par ce tourbillon de plaisirs partagés. Les émotions sont comme des éclats de couleurs vives dans leur monde en noir et blanc, apportant une nouvelle profondeur à leur intimité.

Ils sont deux âmes en fusion, se nourrissant l'une de l'autre, créant un lien inextricable dans cette étreinte passionnée. Chaque contact est une promesse, chaque soupir est une déclaration silencieuse d'amour. Ils sont captivés par ce moment, comme des artistes se perdant dans leur création, laissant leurs désirs s'entremêler jusqu'à atteindre un point culminant d'extase. Les barrières entre eux s'estompent, et ils deviennent un tout indivisible, une communion charnelle qui les transporte vers des sommets inexplorés.

L'apogée approche, et Teddy sent monter en elle une sensation d'ivresse, comme si elle était sur le point de toucher le firmament de l'amour. Leurs mouvements deviennent plus fiévreux, plus impérieux, une danse frénétique vers la culmination de leur désir. Chaque geste est une promesse de passion dévorante, chaque étreinte est une affirmation de leur lien inébranlable. Ils se laissent porter par le flux de sensations qui les submerge, se perdant dans cet océan d'émotions partagées.

Quand enfin l'apogée arrive, c'est comme une éruption d'étoiles dans leur univers, un feu d'artifice de sensations qui les enveloppe. Teddy se sent comblée, épanouie, transportée vers un état de béatitude totale. C'est un moment sacré, une célébration de leur amour et de leur désir, un instant où le temps et l'espace s'estompent, laissant place à une communion parfaite entre leurs âmes et leurs corps. Ils sont deux étoiles qui brillent intensément dans la nuit, créant leur propre constellation d'intimité et de passion.

À bout de souffle, après avoir partagé d'autres douceurs du bout des lèvres, y compris un baiser suave pour marquer l'accélération frénétique des battements de leur cœur précédant l'orgasme, Teddy laisse doucement sa tête retomber sur l'épaule du jeune homme. Elle le serre si fort contre elle qu'il peut sentir chaque sensation qui continue de parcourir son épiderme, telles de petites étincelles d'électricité cherchant à éveiller chaque nerf de son corps. Ses paupières se ferment avec douceur, un fin sourire se dessine sur son visage. Dans cet instant, elle ne veut pas que leur étreinte se tarisse, désirant continuer à le sentir près d'elle.

- Est-ce que… On peut rester comme ça encore un peu ?

Demande-t-elle en relevant les yeux brillants vers le visage du jeune homme. Puis, elle enfouit son visage dans son cou, comme pour dissimuler la pudeur qui accompagne la sincérité, même si elle n'a plus aucune raison de se sentir pudique, tant elle se sent en confiance avec Yi-Min.
Teddy sent le cœur du jeune homme battre doucement sous sa tête, et la chaleur de son corps contre le sien la remplit d'une douce félicité. Elle se blottit encore plus près de lui, perdant la notion du temps. Les minutes et les heures pourraient s'écouler, elle n'en aurait cure. Dans cet instant de quiétude, elle se sent en communion totale avec le monde qui les entoure. Elle savoure la proximité de leur peau qui se touchent, laissant leur intimité se mêler en une étreinte profonde. Teddy murmure doucement, presque pour elle-même :

- C’est tellement agréable d’être avec toi, je n’ai pas envie que cet instant, ou cette journée, ce termine.

Elle lève les yeux vers lui, et dans son regard, il peut lire toute la sincérité et la tendresse de ses sentiments. Elle se perd dans ses yeux, se sentant en sécurité, chose qui n’est pourtant pas aisée.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Qu’une douleur naisse, ou pas, dans ses jambes : Teddy n’a pas envie de bouger. Elle se sent bien, comme envelopper sur un nuage de coton. Etat de fait qui s’applique également à ses propres muscles, son propre corps qui lui parais aussi moue que du coton. Ainsi, elle peut respirer encore de l’odeur des parfums qui compose la peau du jeune homme, sentir sa douceur, sa présence. S’apaiser encore un peu de la fin de leurs ébats pour laisser place à un échange plus doux. Quand elle le sentira se redresser légèrement, ça ne sera pas sans une petite moue cachée par-dessus l’épaule de celui-ci. Mais une fois n’est pas coutume, elle accompagnera ses mouvements presque comme si c’était les siens.

- Oui, mais il va falloir que tu travail aussi à mettre quelques petites chose en place pour moi.

Aura-t-elle glissé à son oreille avec une certaine malice, faisant référence à son chemisier complètement ouvert et la dentelle qui ne servais plus que de vestige d’un maintien passée. Il l’aura peut-être fait, ou pas, pendant qu’elle glissait ses mains dans son dos pour défaire les boutons de son manteau-cape un à un. Des gestes lents non pas pour prolonger la proximité, elle ne s’envolerais pas de suite de toute façon, mais plutôt parce que mêmes tous les petits os de ses mains semblent avoir fondu sous l’ardeur de la passion partagée.

Quand enfin l’office fus faites et que les positions avaient légèrement changer, l’adolescente se blottis tout contre l’élève de Grimardent en continuant de vouloir enfouir le bout de son nez dans ses vêtements. Remontant ses jambes quitte à en oublier qu’elle porte une jupe pour les ramener à eux.

- Je suppose que tu as raison. Je pourrais t’aider à décompresser après tes nuits de gardes à Sainte Mangouste.

Répondra-t-elle, quelques images -fruit de son imagination- en tête qui laissèrent un sourire flottant sur son visage, déjà illuminée par l’après de leurs ébats en plus des quelques douceurs que le jeune homme continuait d’avoir à son égard.

- Heu… Non, mais je vais voir ce que je peux faire. Je n’ai pas encore négocié le prix de mon baby-sitting à ma sœur.

Il restera donc à la joueuse à aller voir si Teddy à a la fois le niveau boutique et les gallions pour satisfaire la demande du garçon. Elle accueillera ensuite les lèvres de Yi-Min, qui seront venu à nouveau se presser contre les siennes, moins gourmande cependant que l’instant d’avant, bien que pas moins envieuse de profiter de ses quelques instants. Ses mains passer autour sur cou du jeune homme froissant un peu de son vêtement dans son dos alors qu’elle apprécie la volupté des quelques caresses bien chastes qu’il continue de lui offrir. Elle voudra rester ainsi, à l’embrasser ou bien simplement à sentir son touché et sa présence un moment, ce refusant à faire éclatée la petite bulle qui les enveloppe pour revenir à une réalité qu’elle n’a pas envie de concevoir. Pourtant il y aura bien un moment, un temps, ou il faudra qu’elle ouvre à nouveau les yeux. Qu’elle détache la tempe qu’elle avait poser sur son épaule. Qu’elle cesse d’embrasser la pulpe de ses lèvres ou bien sorte le bout de son nez du creux de son coup. Ne doutons pas que ce sera à regret cependant.

- J’ai l’impression que mon corps entier est fait de chamallow. Faudrait peut-être que je grignote quelque chose.

Parce que même si c’est se laisser porter par la magie, ça reste un transport qui nécessite le contrôle du sorcier. Et qui, à l’instar du transplanage, poudre de cheminette et autres transports demande autant de concentration que de maîtrise pour ne pas finir à Tombouctou… ou dans l’Oblivion ? Et là, elle ne se sent même pas la force en réalité de se levée en plus de sentir comme un voile de fatigue planée derrière ses paupières.

- La prochaine fois je me met à la caféïne !

Une petite touche d’humour, même si la voix reste douce. Pour accompagner ses iris qui partirons à la recherche de celle du jeune homme. Abritant à elles seules toute une nuit étoilée que lui inspire cette rencontre fortuite qui aura fait naître tant de sensation et de sentimentalisme en elle.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Teddy a beau ne pas comprendre un mot du Coréen, preuve en est toutes ses petites expressions qu’elle prend pour de simple onomatopée, elle aura parfaitement saisi le sens dans laquelle les mots de Yi-Min devait partir en voyant qu’il n’allait pas rattacher de boutons, là où elle en libérait quelques-uns. Mais, pas outragée plus que ça, elle ne le vit que comme la continuité de ses moments partagés dans la tendresse, la découverte et une forme de capitulation qu’on peut prêter à l’appartenance. Et puis… Qui n’apprécie pas les caresses voluptueuses poser tout en délicatesse que ce soit dans le passage de ses doigts fin dans les mèches de ses cheveux. Ou bien en sentant l’exploration continuelle de quelques courbes qu’elle ne rechignera pas à confier à ses bons soins.

- De toute façon, si je veux réussir à garder, ou a avoir une place, dans cette université, j’aurais sans doute besoin de moyens originaux pour trouver l’inspiration d’apprendre.

S’il est en médicomagie, c’est déjà avérée que ce doit être une tête. Et non, évidement que Teddy n’a pas dans l’idée de passée ses moments avec lui le nez dans les bouquins. Mais elle est certaines qu’il aurait quelques petites choses à lui apprendre. Et peut-être même vice-versa, c’est ce qui alimentera la taquinerie de sa voix dans une parfaite symétrie à celle du jeune homme.

Une petite moue, quand les corps bougent et qu’il est temps visiblement de quitter ce banc. C’est pourtant sans aucun doute la chose à faire et la demoiselle se redressera, grandement aider par le jeune homme. Parce que visiblement l’état chamallow, c’est loin d’être juste une image.

- La prochaine fois je prendrais quelque chose d’un peu plus riche qu’une petite salade, surtout si on partage.

Notera-t-elle, mettant naïvement son manque d’énergie sur le fait de n’avoir peut être pas assez d’apport en calories pour les exercices auxquels ils se seront adonné. C’est qu’être somnolente, ou de voir ses forces la quitté après, ce n’est pas vraiment dans ses habitudes. Loin de là même.

- T’est pas obliger, on peut prendre un truc vite fait. Mais j’avoue que je dévorerais bien des chuski bureks.

Le plat aura été évidement dit avec le naturel de sa langue natale. C’est que c’est tellement quelque chose de naturel et de typique de chez elle, qu’elle ne pensera même pas à l’expliquer ! En ce levant, toujours pour accompagner les mouvements du jeune homme, autant dire que son équilibre sera aussi indécis qu’elle sentira quelques tremblements au niveau des muscles de ses jambes. C’est sans doute ce qui la poussera à appuyer le haut de son corps sur celui de l’étudiant en médicomagie, laissant l’arrière de sa tête prendre appuie sur son épaule. Mais voulant se donner assez de consistance pour ne pas trop le montrer non plus. Qu’allait-il pensé d’elle ? Bien sûr, il pourrait le prendre comme un compliment. Mais là d’où elle vient, se genre de signe de faiblesse ne sont ni apprécier, ni bien jugé. Et la peur du jugement est une chose omniprésente chez la demi-vélane. On en reparlera donc quand ils auront besoin de se mettre à marcher. Ce qui résultera, à n’en pas douté, à une situation des plus comique. Quoi que gênante. Et en attendant elle se laissera rhabillée en laissant flotter l’épanouissement sur son visage qui se transcrit par le sourire.

- Je.. Heu, non mais ça va aller.

Un… Deux… Trois pas avant de trébucher ? Elle va rejoindre la pensée de Yi-Min, même si elle ne la connaît pas et mettre ça sur le dos…

- Ta raison a force j’ai du me couper la circulation dans les jambes.

Rapport au fait qu’il l’avait invité à changer de position, ce qu’elle avait rechignée à faire. Mais n’avait-il pas passée assez de temps dans une autre pour que le sang se remettre aux bons endroits ? On ne le dira pas, ou en tout cas elle n’en fera pas mention quand elle attrapera simplement la main de Yi-Min prête à le suivre. On pourra aussi, la voir fixé la pointe de ses pieds dès qu’elle n’aura pas besoin de lever les yeux vers lui pour faire genre « tout va bien je gère ». C’est qu’elle à visiblement fort besoin de ce concentré sur le simple fait de mettre un pied devant l’autre. Décidément, elle va bien dormir cette nuit. Et ce n’est pas le rouge qui lui sera monté aux joues qui va nous dire le contraire, c’est qu’elle à fort envie de se cacher dans un trou de souris après avoir perdu l’équilibre !

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

- Mais non !!

Alors ça, c’était sortie du cœur. Comme une balle de fusil et sans doute un peu trop fort en décibel, même si elle ne va pas criée non plus, quand elle aura répliqué au jeune homme qui avait clairement exprimée la pensée qu’elle ne tenait pas la route outre mesure passer la première fois. Alors même si ce n’est pas l’idée, manque de chance, c’est comme ça qu’elle va le vivre : rapport à la pression par chez elle et la place qu’on laisse à la femme, tout spécialement les demi-vélane. Et les conséquences qui vont avec un manque d’utilité ou de performance. Surtout que… Elle l’aime beaucoup bien Yin-Min ! C’est sans aucun doute ce qui aura généré cette réaction de semi-surprise, semi-débat (du moins au départ) quand le jeune homme aura pris sur lui de la porter. Ça première réplique étant…

- Mais arête, je suis trop lourde !

Alors non, elle ne le voit pas comme un faiblard ni ne doute de sa masculinité, ne nous fourvoyons pas. En revanche, elle ne se classifie pas dans les « poids plume ». Et capitulant, il y aura bien eu une main pour aller s’accrocher à lui en se cachant à moitié dans son pull, pendant que l’autre est occupée à retenir la jupe et sa tendance à laisser un peu trop voir de ce qui se cache dessous. Autant, quand c’est pour la bonne cause -comme avec Yi-Min- ça passe, autant au vu de tous et de toute : elle a beau ne pas être pudique, elle n’est pas exhibitionniste non plus (enfin quoi que ? Non mais juste pas maintenant !).

- Ce sont des poivrons farcis avec du fromages et parfois d’autre chose, mis dans la panure et frit. Je t’en ferais un jour si tu veux.

Aura-t-elle pris le temps d’expliqué, sa main froissant le vêtement du jeune homme. Et doutant d’avoir articulé assez à travers le tissu pour qu’il comprenne le tout. A moins qu’il soit bilingue en morse de souffle chaud ? Elle sera toujours accrochée à lui quand elle sentira la gravité revenir et ses pieds touché le sol. La tête qu’elle fera à ce moment-là, entre la déception et le soulagement, doit aussi valoir son pesant en cacahuète. D’ailleurs on verra presque les points d’interrogation au-dessus de sa tête.

- C’est surtout pour toi que c’est gênant, nan ?

La logique ? Ne la cherchez pas, il n’y en aura pas si vous ne vous appelez pas Teddy. On la laissera donc à ses pensées jusqu’à ce qu’elle se retrouve dans cette cafétéria et que son regard passe du comptoir, à la serveuse, puis à Yi-Min en donnant l’impression d’avoir vu un revenant ou bien de le voir la première fois quand elle penche la tête de côté et qu’une main remonte doucement sur sa joue.

- Même après, et en sachant qu’il nous reste pas tant de temps, tu continues d’avoir l’air de te… soucier.

La seconde moitié de sa phrase aura fini par tendre vers son Bulgare natal (à partir de la seconde virgule), ne donnant aucune chance à Yi-Min d’en comprendre le sens -à moins d’avoir un translatione sous la main, ou pris des cours avec Héra- il y a un nouveau sourire tendre là, quand quelque chose semble avoir cliqué dans son cerveau. Pas qu’elle se questionnais sur sa sincérité depuis le début, en réalité elle n’y pensait juste pas. Mais à le voir comme ça, y’a comme un truc qui semblais tomber dans son estomac et faire des sauts périlleux. Et non, ce n’est pas la faim ! Elle se penchera pour déposer un bisou tout mignon du bout des lèvres sur sa joue avant de lui donner sa réponse.

- Tu crois qu’ils ont des friand au fromage ici ? Ou bien… Des muffins tout chocolat ? Ou les deux ! Attend, j’ai mon porte monaie dans mon sac.

On imagine déjà la réaction du jeune homme en voyant la demoiselle commencer à ce penché pour attraper ledit portemonnaie. Et ça l’aura surement laissé toute con quand elle va le suivre du regard jusqu’à ce qu’il atteigne le comptoir. Et ça perdurera jusqu’à ce qu’il revienne, même si à ce moment là elle aura surement posé son coude sur la table pour que le plat de sa main accueil son visage.

Date : 25 janvier 2025
Lieux : Parc, couloir et salle de classe de Grimardent

Il n’a pas envie qu’elle se fasse mal… Il est attentionné, il est gentil -bon amant- et… Si mignon avec toutes ses petites moues et expressions. C’est carrément impossible de ne pas fondre comme neige au soleil devant quelqu’un d’aussi solaire. Et en plus, IL N’EST PAS GAY. Ce qui ajoute une couche aux surcouches déjà en place. C’est à tout ça que pense Teddy quand elle l’observe aller au comptoir, attendre et revenir. Que ses yeux suivent chacun de ses mouvements. Et que ses pupilles à elle, exprime bien trop de véhémence. Ça ne l’aura même pas gêné quand il aura parler du regard des autres, parce que les autres n’existe pas. Si la différence de Yi-Min en rapport à ce qu’elle à toujours connu la frappe depuis le début. Ça semble encore plus flagrant maintenant. Parce qu’après deux coïts, il est toujours là et son attitude ne change pas. Ou si, en mieux. Il la laisse vraiment aussi pantelante qu’agréablement surprise, si non carrément dans une sorte d’état de choc. Et on peut raisonnablement dire, qu’il a largement mérité sa pancarte !

Rien que la façon dont elle avait laissé retomber son portefeuille en le regardant comme s’il n’avait pas parler dans une langue que tout les deux pouvaient comprendre en aura dit long. Mais alors ça façon de ne plus détacher ses prunelles de lui continue d’être particulièrement parlante.

- Et toi ? Je vais pas mangé devant toi.

Sans qu’il n’ai rien de plus que la friandise qu’il avait glissé entre ses lèvres. Avouons-le, Yi-Min est sexy dans cette position. Et très clairement le cœur tout marshmallow de Teddy à complètement fondu, au cas où ça n’aurait pas été assez clair pendant leurs ébats, c’est très largement confirmé en dehors aussi. Elle en a les yeux un peu trop brillants d’ailleurs. On pourrait faire revenir les métaphores autours des étoiles.

- Merci.

On peut Presque voir le petit cœur s’envoler de ses lèvres quand elle approchera ses mains du friand pour en découper un petit morceau entre ses doigts. Forcément, elle ne va pas croquer dedans à pleine dent au risque d’en mettre partout ! Règle des femmes en premier date : au fast food toujours prendre la salade et les nuggets, plus propre à manger. Ça va s’étendre à sa façon de dégusté son feuilleté et plus tard, le muffin aussi.

- Tu commence à quel heure ta garde ? Tu pourra me raccompagner jusqu’au portail ?

Même si ça pourrait venir du fait qu’elle doute de retrouver son chemin seul, c’est surtout l’envie de le garder à proximité aussi longtemps qu’elle le pourra. Ce garçon est juste unique… peut-être même un alien ! Ou quelque chose comme ça.

- Je suis vraiment… chanceuse d’être tombé sur toi aujourd’hui. Ça valait le coup d’aller dans cette salle de classe.

Ça sort du cœur, c’est plus que sincère, entre deux fines bouchée de nourriture qu’elle prend le temps de mastiquée en mettant sa main devant sa bouche pour évité toute disgrâce.