Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Cette fin de semaine, ça ferait plus de deux semaines qu’elle ne l’avait pas vu : quatorze jours pour être exact. Trois cent-trente-six heure ! Vingt mille cent soixante minutes… Un million deux cent neuf mille six cents seconde ! Vous imaginez vous ? C’est long. Et en plus y’a une certaine pression pour Teddy, parce qu’elle veut être jolie, elle veut marquée ce jour d’une pierre blanche, c’est qu’il le lui aura mis en tête : la saint Valentin. Pourtant, c’est quelque chose qu’elle n’avait jamais fêté. Il y a une première fois pour tout ? Cœur battant, main tremblante… Remonter la fermeture éclaire de la robe qu’elle avait choisi n’avait pas été aisée. C’est qu’une fois les plats lancés au four et ses deux frangines mise à la porte sans grand ménagement, elle c’était afférée à sa propre préparation. Après deux semaines, on a le temps de réfléchir, et si le charme des deux premiers jours c’étaient évanoui ? Il faut entretenir le charme ! Eh oui, même si c’est une demi-vélane !

La table du salon aussi, elle en avait pris grand soin. Et en redescendant de sa chambre, elle avait joué les inspecteurs des travails finis. Sortir l’argenterie et mettre quelques petites décorations, préparer une petite table en tout point charmante dans une ambiance tamisée, à l’éclairage subtil de quelques bougies. On pouvait déjà sentir l’odeur alléchante émanée du four. Ne restait plus qu’à… Evité de tout faire brûler ? A commencer d’ailleurs par la chaumière !

Elle ne se trompait pas ? C’était bien aujourd’hui qu’il c’était donnée rendez-vous ? Le village n’était pas bien grand, il ne devait pas être difficile de trouver la maison à l’allure de conte de fée qui abritais les trois vélanes du village, n’est-ce pas ? Ah moins qu’il ne soit appelé pour une autre garde à Sainte Mangouste ? C’était possible ça ? Ouuuuh qu’elle passe bien la petite gorgée de vodka pour se donner du courage quand elle la laisse filée dans son gosier… Pile quand la sonnette retentis ! Est-ce que c’est lui ? Ou une âme égarée ? ça ne pourra pas être Iwao, d’une part il est déjà établis qu’il ne connaît pas les portes. D’autre part la dernière fois qu’il à voulu lui rendre visite -en début de semaine- elle à été plutôt clair sur son désir de le voir repartir, une anecdote pour une autre fois peut-être.

Pour le moment, elle est bien trop occupée à laisser tomber le petit verre de liqueur sur le bar qui sépare la cuisine ouverte du salon. Tout en essuyant une goutte qui se serait échapper d’entre ses lèvres quand elle tourne la tête vers l’encadrement de la porte qui mène à l’entrée. Le feu de la cheminée ronronnant et laissant la pièce s’envelopper d’une douce chaleur laissant danser ses reflets rougeâtres sur les couleurs crème du décors à la fois féminin et élégant de l’habitation.

Elle va respirer un grand coup avant de se rappeler de macher « droit d’vant toi », on va continuer sur les rappels à Dori le poisson ! Elle n’aura même pas regardé à travers les vitraux floutés qui encadre la porte d’entrée en bois massif pour vérifier à qui elle allait ouvrir que déjà sa main s’enroulais autour de la poignée pour laisser les ténèbres d’une nuit tombée bien trop tôt dans cette partie de l’Europe, se présenté devant elle. Et avec…

- J’avais peur que tu trouve pas ou que tu sois retenue ! Bienvenue chez les Vablatsky !

Aura-t-elle lancer, un sourire éclatant affichée sur le visage, les yeux brillant remontant enfin pour regarder à travers cette porte qu’elle est en train d’ouvrir.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Elle a le cœur qui bat à la chamade en le retrouvant sur le pas de la porte. Ses yeux vont trainer pour apprécier la tenue et les traits de son visage, même si ceux-ci sont masqué par le bouquet de rose qui fera quelque peu décrocher la mâchoire de la jeune femme qui s’en verra s’élargir son sourire encore un peu plus avant qu’il ne vienne à l’embrasser et qu’elle ne participe à ce premier échange avec tout l’entrain qui sera né du temps de séparation mais aussi de l’engouement des retrouvailles.

- Non c’est parfait. Et elles sont magnifiques, merci. Entre, met toi à l’aise on à la maison pour nous t’en fait pas. J’ai mis mes sœurs dehors pour une bonne partie du week-end.

La tirade sera venue alors qu’elle l’invitera à la dépasser pour rejoindre l’entrée. Elle le débarrassera aussi des fleurs une fois la porte d’entrée refermé -à un tour de clé, habitude de jeunes femmes qui vivent seules- et lui aura indiqué un porte manteau où suspendre les vêtements qui pourrais devenir rapidement trop chaud pour la maisonnette plongée dans une douce température par le feu de cheminée ronronnant dans le salon-salle à manger.

- Je vais les mettre dans l’eau, et après je te fait visité si tu veux ?

Dès qu’elle en aura l’occasion, elle ira glissée sa main dans la sienne pour l’entrainée avec elle jusqu’à la porte de la pièce à vivre où on trouvera ce coin salon, avec la cheminée un sofa et un ou deux moelleux fauteuil ainsi qu’une table basse en leurs centre et deux haute bibliothèque bien garnis. En poursuivant, on trouvera la table à manger : élégamment habillée pour cette soirée à voir l’argenterie, les napperons, quelques décorations florales et bougies pour l’égayer. Et Enfin le comptoir de cuisine que Teddy dépassera pour aller trouver un vase à remplir d’eau clair pour y plonger les fleurs.

- Tu bois du vins, ou tu préfères quelque chose d’autre ? Au fait, t’a pas trop eu de mal à trouver ?

En fonction de la réponse du jeune homme, elle sera allée attraper un verre adéquat pour accompagner celui, ballon, qu’elle aura pris pour elle-même. Elle repoussera la tâche du service un peu, la reléguant après s’être bien occupée des fleurs qu’il lui avait apporter dans le plus grand soin. Et ensuite, se sera-t-elle penchée quelques seconde pour vérifier que rien ne prenait feu dans le four avant de finir par effectivement servir de quoi boire au jeune homme et bien sûr, pour elle-même. Une fois ses devoirs d’hôte, du moins les plus important, fait, elle ira se rapprocher de lui, quelque soit la position qu’il ait choisi à ce moment-là : dans l’observation de la pièce, ou sur une des chaises de bar peut-être ?

- Je te fait faire le tour du propriétaire ?

Aura-t-elle proposé, les yeux tourner vers le jeune homme plus pétillant encore qu’un soda moldus. Relevée, n’en doutons pas, par l’allongement des cils qu’elle se sera offert pour soulignée son regard de biche dans le glam’ de cette soirée de saint Valentin.

- Ou bien on peut déjà commencer par trinqué et voir ça après.

Elle est un peu nerveuse, Teddy, elle ne sait pas tout à fait comment ils sont sensés se comporter dans ce genre de « date ». Généralement les visites à domiciles c’est cuissons allé retour sur le grill, dégustation et à la revoyure. Ça expliquera sans aucun doute le fait qu’elle n’a pas tant d’assurance dans ses premières propositions. Et ça doit se conjuguer avec le tout beau, le tout neuf. Et… Et y’a pas que la relation nouvelle qui est toute belle. On en parle de… De Yi-Min ?

- En tout cas cette chemise te met sacrément bien en valeur.

Et c’est le retour des petites moues ! Quand elle fronce légèrement le nez, pince ses lèvres et penche légèrement la tête de côté en parcourant de ses iris la tenue du jeune homme -et ses atouts- à travers une partie de son verre ballon qu’elle à poser contre sa joue.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Du vin rouge, c’était exactement ce qu’elle avait versé dans une carafe adaptée pour le décanté il y à maintenant un petit moment et justement en préparation du diner. Ne sachant pas cependant si Yi-Min avait le goût de ce Nectar, il avait été bon de prévoir d’autre chose « au cas où ». Mais le fait que ce soit précisément ce qu’il lui demande était parfait. C’est après tout ce qu’on aura retrouver dans le verre de la demoiselle qui lui sera retiré des mains par le jeune homme. Et si lui, cherche à l’approcher d’avantage, elle aussi se fraye un chemin pour gagner en proximité. Il y aura bien un sourcil levé, quand il annoncera que d’autre choses sont à faire avant d’entamer un tour de la maisonnette. Mais il n’a rien de surpris : c’est plus une approbation qui se dessine sur les traits de la jeune femme donc l’expression fera écho à l’espièglerie du jeune homme.

Se dire bonjour correctement, c’est d’une importance ca-pi-ta-le. Elle pourra le ressentir d’autant plus qu’elle mettra autant de cœur à répondre au baisée du jeune homme que lui à l’enlacer. Ses mains à elle, libérée de toutes entrave, remonterons jusqu’à aller entourer les épaules du jeune homme et le serrer dans ses bras, accompagnant l’invitation à approfondir leurs échangent par sa façon de le serrer dans ses bras. Elle résistera, pour cette fois, à l’envie d’aller glisser une main dans ses cheveux. Enfin… Jusqu’à ce qu’un compliment échapper en un souffle n’élargisse une nouvelle fois son sourire et qu’elle ne sente la marque des lèvres du garçon dans son cou. Parce que, outre lui rosir les joues allègrement, il éveillera quelques réflexes et ça ne coupera pas : ces fines arabesques dessinées du bout des ongles à la naissance de ses cheveux avant qu’elle ne resserre légèrement ses doigts jusqu’à la séparation.

Séparation qui la laissera quelques peu confuse, quelques secondes à peine. Le temps d’elle-même reculer très légèrement, ou suffisamment pour se saisir à nouveau de son breuvage.

- J’ai envie de dire que oui, mais ça serait pas vrais. Aleksandra m’a aidé avant de partir.

« Aider » tenant de l’euphémisme : elle à plutôt presque tout fait toute seule pendant que Teddy observait. Après tout, on a déjà vu ce que ça donne quand elle essai tout juste de faire chauffer de l’eau ! Mais elle n’ira pas jusqu’à donner ce genre de détail, ça pourrait tout casser. Donc, elle minimisera au maximum l’impact d’Aleks sur la préparation du repas, sans la nié : dès lors ce n’est pas un mensonge n’est-ce pas ? Ou pas tout à fait ! C’est une légère « affabulation » tout au plus…

- A… nous ?

Proposera-t-elle en venant faire légèrement tinter son verre contre celui de l’étudiant en médicomagie, sans que ses prunelles ne quitte la couleurs sombre des siennes quand elle va chercher une petite gorgée de vin du bout des lèvres en relevant le ballon pour laisser approcher le liquide rouge de celle-ci.

- Tu viens ? On va aller mettre tes affaires dans ma chambre, que tu sois à l’aise.

Et en ça, elle fait référence au sac à dos poser sur les chaussures dans l’entrée. Elle-même ayant toujours les siennes au pieds, il faudra le noté. D’une main tendue vers le jeune homme, elle voudra glissé ses doigts dans les siens tout en gardant son verre dans la seconde pour retraverser le salon.

- Là c’est le bureau de Melissandre, on a pas vraiment le droit d’y entré.

Présentera-t-elle en montrant la porte à l’opposer de celle d’où il sorte en regagnant le couloir.

- Au besoin, t’a une salle d’eau juste là.

Indiquera-t-elle en montrant la porte à gauche de celle du bureau de sa sœur avant de les diriger vers les escaliers qu’elle commencera à montrer, toujours sur la pointe des pieds : une habitude prise à force de s’entendre dire que les talons ne doivent pas toucher les marches ! En arrivant sur le palier supérieur, c’est un espace de taille raisonnable avec quatre portes, deux sur le mur en face, une sur la droite et une autre derrière eux.

- Au bout du couloir c’est Melissandre, en face c’est Aleks mais elle vis pas vraiment là. Et à côté la salle de bain, je préfère celle la y’a une grande baignoire. Et derrière…

Elle va contourner la rampe et devoir lâcher la main de Yi-Min pour poser sa main sur la poignée.

- C’est la mienne. Laisse tes affaires là ? Si tu veux ?

La lumière s’allumera pour révéler une chambre de taille tout à fait raisonnable. Tout de blanc, de crème et de rose pâle dans ses couleurs principales. Avec un large lit habillé de draps fait de soie délicate, princesse oblige, en face un large bureau en chêne blanc tout en fouillit Ne regardons pas les notes cependant sur les contrôles mis en tas de fouillis entre parchemins en vrac, elle risquerait d’en rougir. Il faut crois qu’elle prend bien plus de soin de ses magasines de modes que de ses affaires scolaires !  On trouvera sur le mur divers poster, affiches mais également quelques médailles de bronze, d’argent ou d’or accroché à des punaises et recouverte de décorations « girly ». Ainsi qu’un portrait d’elle-même lors d’une représentation sur glace justement.

La grande penderie, à gauche de la porte, est à moitié ouverte. Visiblement, il ne faut pas forcément compter sur Teddy pour le rangement ! Peut-être qu’elle explose à cause de la quantité, mais clairement aussi par la pratique du « je fous tout en boule ». Sur la coiffeuse, une boite à musique représentant une ballerine si on l’ouvre. Et un mannequin signature vêtue d’une robe élégante fait office de porte bijoux. Ses patins à glaces sont suspendus justement à la porte entrebâillée de l’armoire que nous avons délaissée un peu plus tôt, ainsi qu’un ceintre avec son justaucorps et la jupette qui servent aux entrainements.

Au sol, un tapis duveteux et tout doux, rose pastel pour tranché avec le sol crème presque blanc. Et contre la fenêtre, comme un banc encastré dans le mur où quelques livres sont, là aussi, mis en vrac. De chaque côté du lit, des tables de chevet assortis. L’une avec une lampe et un cadre photo dans lequel on retrouve une femme belle, magnétique même, d’un peu plus de vingt-cinq ans peut-être à l’époque. La mère de Teddy. Sur la seconde table de chevet, un roman qui doit être sa lecture de l’instant : un livre à l’eau de rose plein de promesses de grand amour et qui font rêves de la jeunesse un peu naïve, comme elle.

Si on cherche le polaroïd, la photo de leurs rencontres, on le trouvera accroché sur le miroir en pied, légèrement en biais, qui se trouve dans un des angles de la pièce avec, sur le miroir un cœur tracé autour de la photo suspendu. Visiblement dessinée au rouge à lèvre.

- Mmmmh… C’est un peu le bazar désolé.

Elle va faire une nouvelle moue en regardant Yi-Min, ses lèvres se pinçant en partant légèrement de côté forçant un petit pli au niveau de l’arrête de son nez.

- J’ai vu ton antre, maintenant tu as vu le miens aussi !

Ça reste très « girly » comme univers, certaines voisines de paliers pourraient en avoir la nausée. Mais on s’en fout, puisqu’elles ne sont pas invitées ! En revanche on veut bien la tête d’Eiji sur un polaroïd pour le miroir quand il voit un tel bordel ambiant ! Mais comme le frère de Teddy n’est pas invité non plus… Passons donc !

- Tu as pu avoir… Mmmh… Combien de temps de repos ? Enfin… Avant que tu reparte travailler ?

Quoi, elle s’est déjà fait tout un film dans sa tête sur comment elle rêve que le week-end, entier oui tout à fait, se passe ? Complètement. Mais on a déjà vu la lecture sur sa table de chevet, est-ce si étonnant ?

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Il y a des petits jeux de regard, des petits gestes tendres. Le mouvement furtif se son pouce sur la paume de la main qu’elle serre dans la sienne. Un désir de proximité, de combler un manque qu’elle a eu sans trop comprendre son origine au départ : finalement cette rencontre lui aura appris la définition même de l’expression « coup de foudre ». Et comment une personne qui ne faisait pas parti de son univers il y a encore trois semaines aura chamboulée tout son monde. Lui ouvrir les portes de la chaumière Vablatsky n’a rien d’anormal, pas plus que la petite visite qu’elle lui aura faite. Lui montrer son monde à travers sa chambre, son « antre », n’est pas non plus quelque chose d’étrange : elle est comme ça Teddy, elle s’ouvre facilement en surface.

- Ah oui ? A cause du bazar ?

C’est une pointe d’humour, évidement, et ça se vois sur le large sourire qui illumine sont visage, à moins que ça ne soit la simple présence de Yi-Min. Elle le laissera faire son petit tour, observer ses effets personnels et s’arrêter sur les médailles ou les photos.

- J’en ai plein, dans la boite là.

Des photos de ses prouesses sur glace, version sorcier ou non d’ailleurs. Prise par sa mère jusqu’à ses quinze ou seize ans, avant qu’elle ne disparaisse et que Melissandre ait essayer de prendre le relai avec Aleksandra à un rythme bien moindre. Ce qui expliquera leurs rareté ses trois dernières années. La petite boite en carton est décorée de morceau de ruban et marqué aux couleurs rose, or de divers dessins fait pour la rendre plus mignonne et féminine. Elle repose sur un coin du bureau sous une pile de parchemin qui devrait sans doute être ranger dans son sac de cours.

- On pourra en faire d’autre. T’a pris ton appareil photo ?

Si ça n’a pas encore été joué, il est déjà avéré que lors de leurs sorti à Marakesh elle lui aura présenté dans un sac -qu’elle lui aura aussi laisser- un appareil photo avec sa pellicule et la recette de la potion pour les développer magicalement. Un cadeau qui n’attend rien en retour, preuve qu’elle avait juste envie de voir un sourire naitre sur son visage : parce que son sourire est vraiment trop beau !

- Donc je t’ai pour moi tout le week-end ? C’est vrai ?

Il y a beaucoup d’émotion dans cette voix quand elle remonte ses bras pour enrouler ses mains autour de ceux du jeune homme. Il ne verra peut-être pas la brillance dans son regard mais au finale, les couleurs de sa voix suffirons surement à lui en faire un tableau.

- C’est important pour moi aussi, tu m’a manqué Yi-Min.

Si lui resserre la prise de son ettreinte, elle aussi en laissant sa tête basculer en arrière. La différence de taille l’embêtant quelques peu cependant, la voilà qui se met à remuer pour se débarrasser de ses chaussures sans avoir à quitter les bras du jeune homme, ce tortillant comme un ver jusqu’à pouvoir laisser l’arrière de sa tête reposer sur son épaule comme elle le voulait. Les chaussures auront volé dans un coin au passage, mais ce n’est pas ça qui va la déranger. Il est fort à parier que si une des portes de son dressing est encore entre-ouverte c’est parce qu’elle aura ramasser des tas de fringue à même le sol pour les foutre en vrac là où elles étaient supposées être ranger dans le but de « caché la misère ».

- Uh me parle pas d’école maintenant. En plus j’ai complètement foiré mon examen de sortilège, a cause des informulés. Ça risque de me recalée… encore.

Elle va souffler, toute expressive qu’elle est en tournant jusqu’à pouvoir lui faire face, ses bras remonter autour de son cou pour s’assurer de ne pas perdre une miette du rapprochement des corps.

- Mais promis j’essaie fort. Je crois que mon cerveau est juste pas fait pour étudier.

Et puis dans tout les cas, université ou pas tant qu’elle n’est plus à Durmstrang ça devrait aller non ? … Bon, mis à part qu’elle s’est convaincu maintenant qu’elle voulait vraiment y aller et y arriver, pas forcément que pour Yi-Min mais pour elle aussi, pour se prouver des choses en quelque sorte. Mais pour pouvoir ne pas y pensée, pas maintenant, elle va rapprocher à nouveau son visage du sien pour repartir à la recherche de ses lèvres et en apprécier toute la volupté en le serrant encore d’avantage dans ses bras tout en pressant son buste contre le siens. Quelques instant, le temps de ne plus pensée à l’idée de l’instant d’avant, ou du tout. Ou de se perdre plutôt ailleurs. Et dans quelques minutes, il sera fort probable qu'ils entendent une sonnerie tonitruante venir de la cuisine ! D’ailleurs, ça ne commence pas à sentir légèrement le roussi ?

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

On l’aura vu passée, ce petit éclair tout tristounet dans les yeux de la demi-vélane quand il aura dit haut et fort ne pas aimer les gens stupides. Son cerveau n’aura peut-être pas pris les bons chemins, mais automatiquement pris l’autoroute de l’auto-flagellation en se disant que du coup, les jours de cette passions partagées seraient fatalement compté : juste le temps qu’il se rende compte qu’elle n’était pas bien maligne. Parce que c’est comme ça qu’elle se voie. Elle n’aura pas l’occasion de la montrer bien longtemps cependant, cette mine légèrement déconfite. Déjà parce qu’elle-même s’y refuse pour pouvoir profiter de cette soirée, hors de question qu’elle soit entachée par quoi que ce soit. Et d’autre part parce que l’échange qui prendra cours entre les deux balaiera de toute façon toutes pensée négatives et peurs profonde au profit de choses plus douces.

Si on se demande si elle à vu le nounours à la ceinture du jeune homme, probablement pas encore. Elle n’est pas très observatrice Teddy. Enfin sauf quand elle se concentre pour l’être. Et là, il pourrait y avoir des leprechaun en kilt en train de faire un concert de bariton devant sa fenêtre qu’elles ne les verraient pas, ni ne les entendrais d’ailleurs ! Ce qu’elle va entendre cependant, c’est le bruit du four qui va provoquer un écarquillement de ses yeux et une main plaquée devant sa bouche quand elle dira, au même moment que le jeune homme :

- Merde ! Le four !

Ce premier mot, aux connotations familières aura été dit dans sa langue maternelle, comme souvent. Mais la joueuse ayant la flemme d’aller chercher sa traduction sur l’autre airpé, on le précisera simplement dans la narration. S’il n’avait pas pris les devant à l’embarquer hors de la chambre pour redescendre les escaliers et retourner à la cuisine, elle l’aurait certainement fait d’elle -même.

- Je vais le faire, je veux pas que tu te brûles.

Aura-t-elle répondu, ses gants de cuisine déjà mis sur ses patounes prête à partir à la guerre contre le four. D’ailleurs à voir le nuage de fumée qui va s’échapper du four quand elle va l’ouvrir, elle arrive après la bataille. C’est en plaçant son coude devant sa bouche pour tousser dedans qu’elle tirera la plaque de métal de l’autre main en ayant les larmes aux yeux de ce faire brûler les iris avec la fumée.

- Oh non, non, non, non, noooon.

Et là on doit imaginer tous les synonymes du mot « idiote » en anglais et en Bulgare qui s’échappe de ses lèvres pendant qu’elle semble menée un combat pour sortir le plat du four à deux mains, refermant la porte de celui-ci d’un petit coup de talon quand elle c’est retourner pour aller poser la bête sur le comptoir derrière. Il n’y a pas tellement de délicatesse dans ses gestes quand elle laisse le récipient rencontrer le bois. A-t-elle pensée à mettre un dessous de plat ? Evidement que non !

- Ouuuf ! Il va bien… Enfin, on aura juste à pas manger les bord.

C’est un vrai soulagement qui se dessine sur ses traits quand elle voit qu’à par les coins, rien n’a été noircie. Elle en aurait presque une inspiration salvatrice après avoir arrêter de respirer de peur d’avoir gâchée le dîné qu’elle voulait parfait. Mais du coup, il serait bon de se demander ce qui cramais ? Elle ne le fera pas, ou plutôt n’y pensera pas. Parce que le plus important pour elle est sauvée. Pour la curiosité de Yi-Min et de sa joueuse, nous préciserons donc qu’il s’agis de ce qui a coulé du plat, sauce et fromage, qui à commencer à se transformer en charbon dans le fond du four qui constitue le réel danger.

Délaissant le plat, Teddy ira poser ses fesses sur le comptoir et retrouver le réconfort de son verre ballons en prenant une gorgée plus que généreuse pour se remettre de ses émotions en commençant à balancer ses jambes d’avant en arrière.

- Pfiouuu j’ai failli faire une crise cardiaque ! Mais c’est cuit trop tôt, on a encore tout l’apéritif à prendre. N'empêche tu vois je te l'avais dit, j'ai tendance à brûlé tout ce que je cuisine.

Et même ce qu'elle ne cuisine pas elle-même ! Mais chut on a dit... Quant à l'apéritif ; preuve en est le plateau recouvert d’un torchon fin d’un blanc immaculé sur le comptoir de la cuisine prêt à être apporter sur la table basse, on l’a dit elle c’est déjà fait tout un film dans sa tête. Et le petit moment cosy au coin du feu y a pris une part importante !

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

- Oui c’est celui-là. J’espère que ça sera bon !

Aura glissée Teddy à un moment ou un autre de cette épopée à vouloir sauver le dîner avant qu’il ne prenne un goût de fumée, parce qu’au dernière nouvelle : elle n’avait pas prévu un Barbecue ! Et en plus, ça n’en était pas la saison…

- Exactement ! Je vais mettre quelques chose dessus pour pas qu’il soit trop froid non plus quand on passera à table.

Ci tôt dit, ci tôt fait quand elle saute du comptoir pour aller protéger le sacro-saint plat avec ce qu’elle trouvera, surement un autre torchon tout aussi impeccable que le premier : il semblerait que Melissandre ne partage pas le côté bordélique de sa petite sœur ! Aleksandra non plus d’ailleurs… ça lui viendrait donc de son père ? Ou alors les deux n’ont pas hérité de cette caractéristique de leurs mères ? C’est probable, voire carrément possible.

- Oh mais non, t’embête pas Yi-Min t’est l’invité. Mmmmh… J’avais pensée prendre l’apéritif devant la cheminée, donc sur la table basse ?

Elle aura également acquiécée et pris le verre du jeune homme en même temps que le sien et la carafe contenant le vin rouge qu’elle amènera sur la petite table basse. Elle n’est pas aussi élégante que celle du diner, mais reste joliment décorée avec ses quelques bougies.

- Je voulais que tout soit parfait…

Répondra-t-elle en tendant son verre au jeune homme après avoir délaisser le récipient du vin non loin du plateau. Elle ira ensuite s’installer sur le canapé pour se rapprocher de Yi-Min en poursuivant ses explications.

- ça fait partie de ma stratégie de kidnaping tu vois ?

Elle aura glissé ses fesses sur les genoux du jeune homme tout en étalant ses jambes sur le reste de l’asise du canapé au départ, pour les repliée vers eux ensuite, passant son bras qui ne tiens pas le verre de vins derrière l’épaule du jeune homme pour aller jouer avec quelques pointes de mèche de ses cheveux.

- Il parait que le meilleur chemin pour atteindre le cœur d’un homme, c’est son estomac.

C’est une petite bouille de fripouille qu’elle va avoir en terminant cette explication. Portant de nouveau le liquide aux arômes parfumée à ses lèvres pour en prendre une gorgée, sans quitter pour autant le regard du jeune homme dans lequel elle a plongé ses iris.

- J’ai quelque chose pour toi d’ailleurs… Mais ça attendra la fin du repas !

Elle aime beaucoup offrir des cadeaux, Teddy. Sans forcément d’arrière-pensée, elle aime juste faire plaisir. Et c’est aussi comme ça qu’on lui a toujours démontré marque d’affection, mais ça elle ne l’analysera pas d’elle-même -ou tout court- donc ça n’est pas le moins du monde présent en pensée quand elle choisi de débourser quelques gallions dans l’unique but d’avoir un sourire en retour. Et plus si affinité en ce qui concerne Yi-Min, ne nous mentons pas !

- Et puis j’aime bien l’organisation en général, je pense que je devrais m’orienté là-dedans. Et dans l’administratif. Je ne suis pas du genre à courir derrière une carrière à sensation. J’ai vu qu’ils faisaient un cursus en gestion et administration à Grimardent, ce n’est pas exceptionnel sans doute. Mais ça pourrait me plaire. Il faut juste que je remonte certaines de mes notes pour les ASPIC.

Elle n’avait pas dit qu’elle ne voulait pas parler travail et étude ? Elle doit être relativement à l’aise pour que ça lui soit venu en tête comme ça. Ou bien c’est le premier sujet de conversation qui lui est venu en tête et elle ne veut pas laisser de blanc s’installer parce qu’elle à toujours la pression de se date qu’elle veut « parfait ».

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Elle n’aura pas pu s’empêcher de se mordre légèrement la lèvre inférieure en la laissant ce libéré d’elle-même de l’emprise de ses dents quand Yi-Min lui aura répondu. Le tout avant de reprendre sa petite bouille quand elle se penche légèrement pour aller poser le bout de son nez sur le ventre du jeune homme en remuant légèrement la tête, à défaut d’avoir les mains de libre : on fait avec les moyens du bord. Même si sa méconaissance de l’anatomie humaine et les positions qu’ils ont l’aurons plus rapproché d’un autre organe que l’estomac très certainement, mais c’est un détail.

- Voui… L’estomac.

Pour elle… Pour elle, elle n’a pas réellement besoin de réfléchir et c’est pour ça que sa réponse sera sorti du tac-o-tac et sans avoir besoin de pensée, même si on lui répète souvent de tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler.

- L’honnêteté. Et… la douceur je suppose ? Pas me traité comme un sac de viande quoi.

Peut-être qu’un jour ils approfondirons le sujet, peut-être pas. Peut-être ce soir, dans le week end, dans quelques semaines ou quelques mois. On verra, elle ne se pose pas la question et comme pour tout, ça viendra quand ça sera naturel.

- Nan, nan, nan… Pour une première saint valentin, faut marqué le coup et… Oh c’est quoiiii ? C’est quoi le cadeau ?

Entre le regard brillant, le large sourire et les caresses dans les cheveux qui se son arrêter tellement sont envie de savoir lui donne l’air d’une enfant devant le sapin au matin de noël, on ne peut pas douter d’un trait de caractère chez la jeune femme : la curiosité. Et à l’attente elle répondra par une nouvelle petite moue à se mettre la lèvre inférieure en avant. Même si ça ne durera pas bien longtemps puisque d’autre sujets de conversations auront été amorcée. Le sourire se sera fait plus tendre, moins large et plus discret.

- Effectivement pas ce..

Soir ? Non parce que ce soir elle va être trop occupée à le cajolée et profiter de sa présence, ou de se faire cajolée. Tout comme, présentement, c’est bien plus important d’accueillir ses lèvres contre les siennes tout en cherchant une surface pour laisser reposer son verre afin de pouvoir pleinement profiter de l’échange en remontant la main fraichement libéré dans le cou du jeune homme. Quand l’échange sera rompu, elle se redressera pour pivoter et passer une jambe de chaque côté du jeune homme. Elle laissera à ses bons soins de veiller à ce qu’elle ne tombe pas quand elle se penchera en arrière pour atteindre la table, quitte à presque devoir s’allonger à moitié dans le vide et revenir avec une des petites assiettes qui reposais sur le plateau. Des petits toasts de pain grillée miniature sur lequel repose diverses garnitures aux airs raffinée. A la fois de chez elle et d’ailleurs. L’assiette suspendu dans une main, la seconde ira prendre une de ses mignardises entre l’index et le pouce.

- Ferme les yeux et ouvre la bouche ?

Qu’il le fasse ou pas, elle aura amené la petite douceur à ses lèvres pour la poser sur le bout de sa langue en laissant trainé son index sur la lèvre inférieur du jeune homme avant de le ramener à elle et de le passé entre ses lèvres avec lenteur pour effacée les traces de topping qui pourrais s’y être déposer.

- Et puis les méthodes scolaires ne fonctionne pas avec moi. Il va falloir trouver d’autre solution ou faire preuve d’imagination.

Rapport au cours particulier, si on y était plus après cette démonstration de séduction maîtrisée par la demi-vélane qui continue de chercher les prunelles des yeux du coréen avec les siennes.

- Sucré et salé, c’est un foie gras de France avec une confiture de cerise noire. Tu aime ?

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Dans la douce lueur dansante de la cheminée, le crépitement des flammes créait une symphonie apaisante. Ses doigts effleuraient à peine les contours de l'assiette d'hors-d'œuvre, son esprit envoûté par le moment tendre et le battement régulier du cœur. Le murmure des flammes offrait un confort intime, leur danse vibrant en harmonie avec les battements frénétiques de son cœur. Ses yeux, une fenêtre sur son âme, laissaient échapper une buée de doux étonnement, comme si l'écho de ces mots, ceux qu’il avait eu pour elle, avait enjambé les frontières de son entendement pour se loger directement dans son cœur. Un frisson d'émotion parcourut sa colonne vertébrale, ses joues s'empourprant sous le flot de sentiments contradictoires : la surprise, l'émerveillement, mais surtout, l'espoir.

Assise à califourchon sur ses genoux, ses mains effleuraient les siennes, comme pour vérifier que ce moment n'était pas un songe. La tendresse et la vulnérabilité de l'instant semblaient suspendre le temps, faisant de cet instant un éclat dans sa mémoire. Les mots, si simples et pourtant si lourds de significations, semblaient flotter dans l'air, emplissant l'espace entre eux d'une douceur infinie. Leur proximité enflamma son esprit de possibilités et de promesses, dessinant un avenir teinté de lueur d'espoir et d'une nouvelle fébrilité. Chaque battement de son cœur semblait résonner dans cet instant, une mélodie douce et incertaine, créant une symphonie émotionnelle enivrante. Elle se laissait emporter par cette déclaration, se noyant dans l'océan d'émotions qui éclataient en elle, se laissant envelopper par cette magie qui prenait forme dans la chaleur de la cheminée, sur ce canapé, à ses côtés. Dans ce moment, elle redécouvrait le pouvoir des mots, le pouvoir des émotions et, surtout, la magie infinie de l'amour naissant.

- харесвам те, aussi.

Ce n’est pas tant l’envie de faire concurrence au Coréen du jeune homme qui l’aura poussé à répondre dans sa langue maternelle, mais plutôt l’élan tant de surprise que d’émotivité qui l’habite et fait naitre de la buée dans le fond de son regard. Elle en aurait presque oublié l’assiette quand elle voudra le rejoindre, s’approcher et laisser ses lèvres partir à la recherche de leurs partenaires. Sa main de libre froissant le tissu de sa chemise au niveau de la descente du col, pour sentir la pression des boutons contre sa paume. C’est son corps tout entier qui semble vouloir venir scellée les mots, que ce soir ses cuisses qui se resserres un peu contre celle du jeune homme. Son bassin qui se rapproche un peu plus. Ses cheveux qui tombent en cascade pour venir encadrer leurs échanges. Sa poitrine qui se plaque contre son torse ou bien sa bouche qui va jouer avec sa partenaire jusqu’à invité leurs langues à commencer une douce valse au son du crépitement du feu derrière eux. Ne reste que ce bras, cette main suspendue ; toujours à une assiette dont elle ne sentira même plus le poids, pour être exilée.

Il y aura, peut-être un moment où elle sentira le besoin de reprendre un peu de son souffle ou de ne pas s’oublié complètement parce qu’ils sont censés y avoir tout un dîné à manger avant de passer au désert. Mais elle est Bulgare, pas française, donc elle n’est pas du genre à s’offusquée de l’ordre dans lequel on mange le sucré ou le salé. Il est même déjà avéré maintenant qu’elle aime mélanger les deux pour plus de saveur. Et pour le moment, la seule dont elle veut se délecter c’est celle des lèvres du jeune homme et de leurs pulpes dont elle continue d’apprendre les contours avec gourmandise. Pourtant c’est sur sa joue qu’elle finira par faire glissée ses lèvres dans un autre baisée aussi doux qu’il marque la langueur.

- J’ai envie de te garder tout pour moi.

Et vice versa d’ailleurs. Parce que ça lui irait de n’être qu’à lui aussi, toute a lui. Il lui a demander comment trouver le chemin de son cœur, il est plutôt clair qu’il n’avait pas besoin de ses indications pour s’y faire une place et en prendre complètement possession. Tout comme elle, ne se lasse pas d’aller s’approprier le grain de peau du Coréen sous toute les coutures qu’elle pourrais bien atteindre. C’est presque à se demander qui est le succube et qui est le demi-vélane dans la dynamique de leurs duos ! Pour bien faire, et être raisonnable. Elle ira bien à tâtons chercher un nouveau petit four, différent du premier pour le lui proposer du bout des doigts.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

La jeune fille, éprise d'un romantisme vibrant, se laissait souvent emporter dans les détours de la candeur, où le lyrisme tissait ses liens d'illusions douces. Chaque battement transportait son esprit dans une danse enivrante, la plongeant dans un océan de rêveries intenses. Le monde se parait de teintes chatoyantes, chaque geste de l'être aimé prenait une signification profonde, illuminant le quotidien de mille promesses. Dans ce tourbillon, elle découvrait la beauté et la fragilité d'un cœur offert, prêt à s'enflammer, à se consumer dans la douce folie de l'amour naissant.

Ce tourbillon d'émotions, traversé par l'ingénuité, suscitait un désir ardent, une soif insatiable d'approfondir chaque sentiment, de plonger encore plus profondément dans cet univers envoûtant. Chaque étreinte, chaque échange de regards, alimentait un feu brûlant au creux de son être, attisant le désir d'explorer les territoires inexplorés de cette passion naissante. Les papillons dans son ventre dansaient frénétiquement, transformant chaque instant partagé en un crescendo émotionnel, l'amenant à désirer une fusion totale avec l'être aimé. Cette passion, à la fois douce et puissante, la poussait à chercher une communion totale, à s'abandonner à la magie de cet amour, sans retenue ni mesure, comme si chaque fibre de son être réclamait la plénitude que seul cet amour pouvait offrir.

La confirmation des sentiments partagés résonnait en elle comme une symphonie céleste, chaque mot, chaque geste échangeait les mêmes vibrations, renforçant les liens tissés dans le tissu des émotions. La découverte que cet amour était mutuel illuminait son monde d'une lueur encore plus éblouissante. Une confiance naissait, solide et rassurante, tel un cocon protecteur où elle pouvait se réfugier, sachant que son cœur était entre de bonnes mains. Dans cette assurance, elle trouvait une quiétude qu'elle n'avait jamais connue auparavant, se sentant portée par la certitude d'une relation authentique, ancrée dans la sincérité et la réciprocité. Chaque échange, chaque engagement, renforçait les fondations de cette confiance, érigeant un havre de paix où ses vulnérabilités étaient chéries, ses espoirs respectés, et son amour, en toute simplicité, pleinement partagé.

Dans l’élan d’un nouveau baisé, elle se sera laisser porter jusqu’à changer les positions. Une de ses jambes, celle qui était contre le dossier du divan, remontant pour se laisser porter par les hanches du jeune homme et filé le long de son corps. La seconde, comme la première, sera repliée mais laisser en appuie sur les coussins du canapé. Ses bras qui l’enveloppent dans l’étreinte de la passion glisserons pour l’une jusqu’à défaire un ou deux boutons de sa chemise, de quoi lui laisser l’espace d’y glisser la seconde à travers son col et filé entre ses épaules et ses omoplates, marquant de fines pressions les caresses qu’elle aura pour lui du bout des ongles.

C’est à bout de souffle qu’elle aura louché sur le met qu’il lui présente, un air d’incompréhension se dessinera sur ses traits avant qu’il ne laisse naître du défi, ou plus de taquinerie encore.

- Tu crain que je m’endorme encore ? C’est pas de petit four que j’ai faim pour l’instant.

Sur la seconde partie de cette phrase, la moue de la demoiselle aura légèrement changé pour ce faire plus candide. Nous ne soulignerons pas l’ironie des mots employés, Yi-Min le fera bien assez n’en doutons pas ! Pour autant elle laissera le bout de sa langue se saisir de la petite douceur sucré-salé qui disparaitra dans sa bouche. Nous ne la ferons pas s’étouffée quand ses hanches se cambrerons encore d’avantage et qu’elle manquera de lâcher un soupire en sentant les baisés qui atteignent son cou, ne cassons pas l’instant. Mais, le danger à été tout juste évité !

La main toujours perdue sur ce qui reste d’attache à la chemise du jeune homme continuera de filé entre les boutons pour les faire céder un à un jusqu’à pouvoir en écarté le tissu et enfin atteindre sa peau du bout des doigts. La seconde aura continuer de laisser de fines marques éphémères à mesure que le désir monte en elle, ce qui sera aussi bien transmis aux jeunes hommes par la cambrure de son bassin ou les remonter de ses jambes qui encouragent grandement les rapprochements. Son visage, lui aura basculer en arrière quelques instant pour apprécier la saveur du touché du jeune homme, de la salve de baisée sur sa peau. Avant tout du moins, que les siennes ne ressente ce manque terrible, insoutenable à force d’être trop éloignées de leurs partenaires dont elle partira à la recherche pour en relancer toute la passion. Son cœur, battant à un rythme effréné et fort, si fort, semble vouloir sortir de sa poitrine.

Dans ce moment de partage, le bonheur de Teddy ne saurait être décrit par des mots. Mais il le sera tant par ses gestes que par l’éblouissement d’un manque de contrôle qu’on oublis souvent mais qui risque d’atteindre son paroxysme à voir la félicité avec laquelle elle accueil celui qu’elle voit déjà comme un prince charmant dans son armure scintillante, avec ou sans cheval blanc d’ailleurs. L’avantage au moins, c’est que cette fois ils sont tranquille tout les deux dans la maison de Teddy et ne devrait pas provoquer d’émeute… Même si, on n’avait pas dit qu’on faisait des knaki avant ? Ou plutôt, un dîner aux chandelles ? Quoi qu’à ce rythme et avec ses deux-là, on risque de ne plus compter les échanges aussi mignons que ceux qui naîtrons de la passion.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Le désir d'une femme pour un homme est une expérience complexe et nuancée, tissée de multiples dimensions émotionnelles, physiques et intellectuelles. Au-delà de l'attraction physique initiale, le désir s'enracine souvent dans la profondeur de la connexion émotionnelle et de la compréhension mutuelle. Les yeux deviennent les messagers silencieux de l'admiration, révélant un feu intérieur qui transcende les limites de la superficialité. Les gestes simples et les petites attentions prennent une signification accrue, chacun devenant une pièce du puzzle qui éveille l'intensité du désir. La force de caractère, la confiance mêlée de vulnérabilité et la passion pour la vie façonnent l'homme en un objet de fascination. La séduction devient un ballet subtil d'échanges verbaux et non verbaux, où chaque mot murmure un écho de désir et chaque regard prolongé raconte une histoire d'envie inexprimée. Le désir, loin d'être statique, évolue au fil du temps, se nourrissant des expériences partagées, des défis surmontés et des rêves construits ensemble. Les imperfections deviennent des traits charmants, et la complexité devient un terrain fertile pour la croissance mutuelle. Au-delà de l'extase physique, le désir d'une femme pour un homme se manifeste dans le désir de partager une existence commune, de créer une toile tissée de passion, d'affection et de complicité. C'est une danse enivrante entre deux âmes qui s'efforcent de se comprendre, de s'accepter et de s'aimer dans toute leur splendeur imparfaite.

L'alchimie entre deux personnes, perçue du prisme d'une femme, émerge comme une symphonie harmonieuse de singularités complémentaires. C'est une fusion d'énergies distinctes qui se mélangent et se renforcent mutuellement, créant un équilibre subtil. La complicité devient le cœur battant de cette connexion, une toile tissée de moments partagés et d'expériences communes. La résonance émotionnelle entre les deux âmes semble transcender les barrières du temps et de l'espace, créant une alchimie qui transforme chaque instant en une éternité fugace. La demoiselle perçoit dans l'homme un miroir de sa propre essence, mais aussi un complément essentiel qui élargit sa vision du monde. Les forces et faiblesses se fondent en une danse parfaitement orchestrée, où les lacunes de l'un sont comblées par les forces de l'autre. C'est dans cette complémentarité que le désir s'intensifie, car chaque nuance de personnalité et chaque différence deviennent des pièces essentielles d'un puzzle mystique. La fascination s'épanouit dans la découverte constante de nouvelles facettes, de nouvelles passions et de nouvelles ambitions qui s'entrelacent pour former un tableau toujours changeant de l'amour. L'alchimie entre ces deux individus devient une alchimie de l'âme, où l'union va au-delà de la surface pour explorer les profondeurs insoupçonnées de la compréhension mutuelle. C'est dans cette alchimie, où les éléments uniques fusionnent pour créer quelque chose de plus grand que la somme de ses parties, que réside la magie intemporelle de l'amour authentique.

Ce qu’elle ressent à chaque baisé, à chaque caresse. Quand elle sent le petit morceau de métal qui retenais le tissu de sa robe filé le long de sa colonne jusqu’à atteindre la chute de ses reims, quitter son corps pour se laisser exposer pleine et entière sous les yeux de son partenaire. Quand elle laisse ses pupilles glissées, suivre l’exploration qu’il aura, accompagner chaque geste, chaque tendresse d’un soupir, d’une cambrure ou de fine trace que ses dents laissent sur sa lèvre inférieure. Sa bouche, ses lèvres, la douceur et la langueur. L’envie et l’appétits. Celle d’avoir et d’être, de laisser reposer toute barrière qui n'existait déjà pas entre eux, ou n’avait jamais eu le temps et l’envie de s’ériger et ceux depuis leurs premières rencontres. C’est une douce folie qui naît dans son esprit, ce distille dans ses veines et habite chacun de ses battements de cœur. Intensifie ses soupirs et alimente cette main qui ira se perdre dans les cheveux du jeune homme quand son bassin, lui accueil chaque douceur en s’offrant un peu plus.

Lorsque le désir fusionne avec la complémentarité, il trouve son apogée dans l'extase partagée, une célébration intime de l'union des corps. Chaque caresse devient une mélodie sensuelle, chaque contact une note dans une symphonie passionnée. La Vélane ressent dans la fusion physique une symbiose exquise, une danse enivrante où les frontières entre soi et l'autre s'estompent. S'offrir à l'autre devient un acte de générosité mutuelle, une manière de se perdre pour mieux se retrouver dans les arcanes du plaisir partagé. Les sens s'aiguisent, créant un ballet sensoriel où les soupirs deviennent des poèmes murmurés à l'oreille et les étreintes, des tableaux vivants de l'intimité partagée. Chaque moment d'extase est une exploration conjointe, une quête commune de l'apaisement et de l'extase. Dans cet échange passionné, le plaisir devient une offrande, un cadeau précieux que l'on se donne mutuellement, scellant ainsi l'union des corps dans une connivence intime. Le désir, en se fondant dans cette symbiose charnelle, devient une force motrice qui alimente la flamme de l'amour, transcendant les limites du physique pour devenir une célébration transcendante de l'union intime. C'est dans cet espace de plaisirs partagés que la femme trouve une expression profonde de sa connexion avec l'homme, une étreinte où le langage du corps évoque des émotions inexprimées et crée une toile d'intimité que le temps ne peut altérer.

Elle croirait presque devenir folle tant elle le désir, tant elle l’envie. Tant son corps tout entier semble le réclamer, hurler son nom et l’attendre à s’en languir. C’est sans doute pour ça que dans un souffle, dans un soupire ou une complainte quelques mots s’échapperons à bout de souffle « j’ai envie de toi ». Parce que c’est tout ce qui l’habite en cet instant. L’envie d’offrir, de s’offrir. De se donner complètement. Que ce soit dans un écrin de générosité ou d’égoïsme, les deux à la fois peut-être même. Car tout ce qui compte dans l’instant finalement, c’est eux et plus rien d’autre n’existe. Au point qu'il pourrait bien faire d'elle ce qu'il voudrait, qu'elle s'en délecterais. L'aura l'enveloppe, la berce et la rend aussi fébrile que pleine de l'appétence qu'elle à pour chaque pan de son être.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

La jeune femme, à la fois fascinée et effrayée par l'amour, naviguait dans les méandres de ses émotions avec la grâce d'une danseuse solitaire. Demi-vélane, mystérieuse et envoûtante, déployant une aura ensorcelante sans pour autant dévoiler la totalité de son être. Son cœur était un labyrinthe où les rêves les plus doux croisaient les craintes les plus sombres, où l'idéalisme de l'amour se heurtait à la réalité brutale du monde. Elle se délectait des nuances du romantisme, cherchant l'amour véritable dans les pages des livres anciens et les étoiles qui scintillaient au-dessus d'elle. Mais malgré cette quête insatiable pour l'essence même de l'amour, une appréhension profonde envers les hommes en général s'était incrustée dans son esprit comme une ombre persistante. Les blessures passées avaient forgé des barrières autour de son cœur, des remparts fragiles mais définitifs, lui inspirant une méfiance prudente envers ceux qui s'aventuraient trop près de ses songes.

Pourtant, au milieu de ses doutes et de ses réserves, elle nourrissait toujours une foi inébranlable envers le conte de fées, envers ce prince charmant qui serait assez courageux pour briser ses défenses, assez noble pour honorer ses sentiments les plus profonds. Yi-Min, dans sa vie, représentait une énigme, un reflet de cette possibilité qu'elle refusait d'abandonner. Il était différent, d'une manière qui laissait entrevoir un espoir timide, une lueur dans les ténèbres de ses appréhensions. La jeune femme contemplait le monde avec des yeux empreints de poésie, cherchant des échos de l'amour idéal dans chaque sourire, chaque geste tendre, chaque promesse de lendemains meilleurs. Elle était une artiste des émotions, jonglant entre la passion de croire en un amour pur et la froideur de la réalité qui murmurait des avertissements prudents. Chaque battement de son cœur, chaque soupir, était une symphonie de contradictions, une danse complexe entre l'espoir et la crainte, la foi et le doute.

Elle se tenait sur le fil ténu entre le désir de s'abandonner à la magie de l'amour qu’elle sentait grandir en elle, l’emporter et la peur lancinante de se retrouver brisée une fois de plus. La demi-vélane n'était pas seulement une âme romantique, mais une âme en quête perpétuelle de la vérité profonde de l'amour, une quête qui la poussait à la fois vers l'extase de l'idéalisme et vers les profondeurs abyssales de la prudence. Yi-Min, avec sa douceur et sa patience, semblait être le seul à comprendre cette dichotomie en elle, à percevoir les nuances délicates de son être, aussi récente soit leurs relations encore naissantes. Il n'était pas le prince charmant qu'elle avait imaginé, mais il était peut-être celui qui lui montrerait que l'amour, bien qu'imparfait et souvent compliqué, valait la peine d'être exploré. Il lui tendait la main, non pour la sauver comme dans les contes de fées, mais pour l'accompagner dans cette quête, pour être son épaule solide et son compagnon dans cette danse incertaine et merveilleuse qu'est l'amour.

Dans les méandres complexes de son âme tourbillonnait un désir ardent, un besoin profond d'appartenir à un autre être, de fusionner avec un amour véritable. C'était comme une mélodie envoûtante, une pulsation constante qui résonnait au creux de sa poitrine, réclamant l'étreinte de l'autre, l'union des cœurs et des esprits mais des corps aussi. Cette envie d'être avec, d'être pour, d'exister dans le prisme lumineux de la relation, la submergeait souvent au milieu de ses songes romantiques. La jeune femme aspirait à cette connexion intime, à cette symbiose où deux âmes se rencontrent pour s'entrelacer, pour tisser un récit partagé dans le grand livre de l'existence. Elle rêvait de se fondre dans la vie du jeune homme, de devenir un pilier de sa réalité, tout en souhaitant qu'il devienne l'ancre qui stabiliserait ses rêves errants. C'était un désir instinctif, profondément ancré en elle, une aspiration à trouver sa place dans le monde à travers cet amour qu'elle chérissait et redoutait tout à la fois.

Elle imaginait des instants volés, des éclats de bonheur partagé, des souvenirs à construire main dans la main avec lui. Ces visions délicates emplissaient son cœur d'une chaleur réconfortante, mais également d'une angoisse indicible. Car avec ce désir incommensurable venait la peur lancinante de l'incertitude, cette crainte que le fragile équilibre de l'amour ne bascule dans le vide des déceptions passées. Pourtant, malgré ses réticences, elle ne pouvait réprimer ce besoin viscéral d'appartenir, de se fondre dans la symphonie de la vie avec un autre être. C'était comme si son âme réclamait la complétude que seule la fusion avec un autre pouvait apporter. Elle ressentait ce désir, non comme une faiblesse, mais comme une force, une impulsion vitale qui la poussait à avancer malgré les tempêtes intérieures.

La demi-vélane se surprenait parfois à espérer que Yi-Min ressente la même aspiration, qu'il partage cette quête d'intimité et de fusion. Elle désirait être pour lui ce que lui était pour elle : un refuge, un pilier, un partenaire dans ce voyage chaotique qu'est l'amour. C’était peut-être rapide, mais c’est Teddy. Et quand Teddy décide de s’ouvrir, alors elle ne voit simplement pas pourquoi se retenir. C'était dans ces moments de contemplation que la jeune femme réalisait la complexité infinie de ses propres désirs, la dualité entre la peur de s'abandonner complètement et le désir impétueux de se fondre avec lui dans un lien indissoluble. Cette tension entre l'aspiration à l'intimité et la prudence face à l'inconnu la maintenait dans un état d'équilibre fragile, oscillant entre l'espoir et la réserve.

Elle se voyait comme une équilibriste sur le fil tendu de l'amour, jonglant avec ces désirs contradictoires, cherchant à trouver un terrain stable où la réalité de l'amour pouvait coexister avec l'idéalisme de ses rêves. Et dans cette quête, elle espérait que Yi-Min serait là, prêt à danser avec elle sur ce fil ténu, à explorer ensemble les profondeurs enivrantes et parfois tumultueuses du désir et du plaisir.

Dans l'instant présent, elle n'était que soupir. La cambrure de ses reins accompagnait chacun des gestes du jeune homme. La prunelle de ses yeux parcourait chaque trait du jeune homme pour en savourer toute la beauté. Dans chacune de ses réponses, lascives et empreintes de désir, Teddy communiquait tout ce que son corps pouvait exprimer, laissant à l'autre le choix de toucher du bout des doigts à la fois l'âme de la demi-vélane et son corps. Elle s'abandonnait pleinement et simplement, jusqu'à ne plus distinguer ce qui était aura de ce qui ne l'était pas. Elle était simplement elle-même, dans toute son intégrité. Et elle le voulait, le désirais et n’aspirais qu’à être sienne au point de se sentir consumée par le désir, l’envie, jusqu’à s’en brûlé les ailes.

Dans le murmure feutré de la nuit, leurs silhouettes se cherchaient, se trouvaient et s'entrelaçaient dans une chorégraphie intime, tissée de désir et de passion contenue. Chaque caresse était une promesse, une poésie éphémère tracée sur la peau comme des strophes d'un cantique envoûtant. Les doigts erraient, explorateurs audacieux, déchiffrant les secrets enfouis dans les méandres de l'autre, déclenchant des frissons, des échos d'émotions qui se répondaient dans un langage universel, bien au-delà des mots.

Les baisers échangés étaient des chapitres ardents dans leur histoire, des chapitres où les lèvres se rencontraient comme des pages qui se tournent, révélant des sentiments enfouis, des désirs étouffés. Chaque contact était un éveil, un tourbillon d'énergie qui semblait faire vibrer l'air même autour d'eux, les enveloppant dans une bulle de connivence où l'envie d'appartenir et de posséder se mêlaient de façon indissociable. L'ardeur de leurs échanges, une toile tissée de soupirs retenus et de désirs inavoués, une toile où se dessinaient des éclats d'une passion bouillonnante, prête à embraser l'univers. L'envie d'appartenir devenait alors une symphonie palpitante, une euphonie secrète qui résonnait en eux comme un appel impérieux à s'unir dans une fusion totale.

Chaque geste était une révélation, une avancée dans ce territoire où le désir de posséder l'autre se confondait avec l'aspiration à s'y abandonner entièrement. Les souffles s'entremêlaient, créant une cadence rythmée, une mélodie enivrante qui semblait écrire leur histoire avec des enluminures de passion et de tendresse. Dans ce théâtre émotionnel, leurs corps devenaient les acteurs principaux d'une pièce intime, où les frontières entre l'envie de s'attacher et le besoin de posséder s'effaçaient peu à peu. Ils étaient comme des étoiles filantes dans un ciel d'encre, illuminant l'instant présent de leur étreinte, s'élevant dans un firmament d'émotions, cherchant à fusionner, à être unis au-delà des limites matérielles, dans cette osmose parfaite où le désir et l'appartenance ne faisaient plus qu'un.

Elle était une symphonie en mouvement, une incarnation de la passion dansante qui embrasait son être tout entier. Son souffle, régulier et profond, trahissait l'émotion qui animait chaque parcelle de sa peau, de ses courbes graciles qui semblaient sculptées par les astres. Ses yeux, étoiles scintillantes reflétant l'intensité de l'instant, se perdaient dans un océan d'émotions où la vulnérabilité se mêlait à la force, où l'audace rivalisait avec la douceur. Dans cet élan d'abandon, elle se donnait sans retenue, offrant son être tout entier à cette communion sensuelle, à cette connexion transcendante avec son alter ego. Chaque geste, chaque mouvement, révélait une énergie pure, une danse enivrante où l'extase de l'instant était la seule vérité qui importait. Elle était la déesse d'un univers éphémère, se livrant à ce rituel sacré où le désir et la possession se perdaient dans la passion dévorante de l'instant.

Sa voix, empreinte de frémissements, murmurait des mots muets, des confessions silencieuses, exprimant sans paroles la plénitude de son être offert. Ses caresses étaient une offrande, des prières muettes inscrites sur la peau de l'autre, tracées avec une délicatesse exquise, une tendresse infinie qui chavirait les sens et élevait l'âme. Chaque battement de son cœur résonnait comme une déclaration d'engagement à ce moment, à cet échange d'âmes, à cette union où elle se donnait sans réserve, sans crainte, plongeant dans les profondeurs de l'extase avec une pureté déconcertante. Elle était la quintessence de l'amour, une énigme enchantée, une promesse inscrite dans la trame de l'univers. Dans cette offrande de soi, elle transcendait les limites du temps, se perdant dans l'étreinte de l'instant, dans ce présent éternel où la passion se révélait comme le phare de son existence. Elle était l'incarnation de la liberté, offrant sa fragilité comme une force, ses désirs comme une offrande, dans cette communion fusionnelle où le désir et l'appartenance se mariaient dans une concordance parfaite.

Leurs échanges étaient une délicate symphonie de gestes, une danse intime où ses doigts, tels des peintres créant une toile, effleuraient avec grâce les contours de son partenaire. Comme des pétales de rose se posant sur la peau, ses mains parcouraient des chemins inexplorés, dévoilant des émotions enfouies dans chaque effleurement, écrivant une poésie silencieuse sur le corps de l'autre. Elle dessinait des arabesques fugaces, comme un calligraphe traçant des lettres invisibles, des messages codés de désir et de tendresse sur la peau offerte. Ses gestes étaient une caresse de plume, un ballet gracieux de sensations où chaque mouvement révélait une intention, une volonté d'explorer et de se fondre dans cet échange passionné.

Parfois, ses lèvres étaient des exploratrices audacieuses, traçant des contours inconnus sur la peau offerte, déposant des baisers comme des notes de musique dans l'air, créant une symphonie sensorielle où le souffle chaud susurrait des secrets et des promesses sans mots. Chaque geste était une invitation à plonger dans l'océan de l'autre, à explorer les profondeurs insondables des émotions et des désirs. Elle s'abandonnait à cette danse envoûtante, exprimant par ses mouvements la passion, la douceur et la dévotion dans ce dialogue muet, ce langage intime qui transcendait le tangible pour atteindre les sommets de l'émotionnel.
Dans cette étreinte envoûtante, ses hanches dessinaient des courbes fluides, comme des vagues caressant la rive, s'accordant au rythme de la danse intime qu'ils partageaient. Elles exprimaient une symphonie de mouvements, tantôt délicats et ondulants comme les feuilles dansant au vent, tantôt envoûtants et passionnés comme les flammes qui dansent dans l'âtre. Ses jambes, telles des lianes souples, s'entrelaçaient avec une grâce infinie autour de son partenaire, créant une toile vivante où se mêlaient l'envie d'explorer et le désir d'embrasser pleinement cet échange. Elles étaient des échos de désir, des messagères muettes de cette communion intime, se pliant et se dépliant comme les chapitres d'une histoire secrète, écrivant des strophes éphémères sur la peau de l'autre.

Les mouvements de ses hanches étaient une danse hypnotique, une invitation à se perdre dans la musique des sens, à suivre le rythme envoûtant d'une passion qui semblait transcender l'espace et le temps. Ses jambes, agiles et souples, étaient une métaphore vivante de l'union et de la consonnance, unissant leurs énergies dans une étreinte où les limites de l'individu semblaient s'estomper pour laisser place à une fusion parfaite. Chaque déplacement, chaque mouvement était une déclaration silencieuse, une promesse gravée dans les contours de leurs échanges, révélant l'intensité de leurs sentiments sans avoir besoin de mots. Les mouvements de son corps étaient une œuvre d'art en mouvement, une expression pure de l'émotion qui embrasait son être tout entier dans cet échange d'une profondeur incommensurable.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Dans l'élan de leurs étreintes, chaque caresse de Yi-Min était une partition subtile, une mélodie complexe qui se jouait sur la peau de Teddy, éveillant en elle un crescendo d'émotions sans précédent. Chaque effleurement était comme une note de musique, ajoutant sa vibration à l'orchestration passionnée de leur échange, créant ainsi une symphonie envoûtante qui emplissait l'espace entre eux. La connexion entre leurs corps était comme une danse fluide, un mouvement synchronisé où le désir et la complicité s'entrelaçaient dans une parfaite symbiose. Les contours de leurs silhouettes dessinaient une chorégraphie élégante et enflammée, comme si chaque mouvement exprimait une histoire, une narration muette mais intense.

Chaque instant partagé était une ode à la fusion de leurs êtres, une exploration profonde où l'excitation était un feu brûlant, mais où l'abandon était une douce caresse. Dans cette danse émotionnelle, Teddy se laissait emporter par les vagues de sensations, se perdant dans cet océan d'émotions partagées. Leur intimité était comme un poème inédit, chaque mot inscrit avec tendresse sur la peau de l'autre, créant ainsi une œuvre d'art vivante, une toile où se mêlaient les couleurs des sentiments. La fusion de leurs corps était un dialogue silencieux, une conversation sans paroles où les émotions parlaient plus fort que les mots. Chaque rencontre était une exploration de l'intimité, une quête de découverte et de connexion profonde, où chaque regard échangé, chaque contact, était une invitation à plonger plus profondément dans l'essence de l'autre. Teddy se laissait transporter dans ce tourbillon d'émotions, s'abandonnant à cet échange qui semblait transcender les limites du tangible pour toucher l'essence même de leur être.

Dans le doux silence de l'instant, alors que l'étreinte passionnée semblait suspendre le temps, Teddy ressentait déjà les prémices d'une fébrilité naissante, comme le prélude à une symphonie d'émotions à venir. Les battements effrénés de son cœur semblaient résonner dans le creux de ses pensées, annonçant l'arrivée imminente d'une extase indicible. Pantelante, elle se laissait envoûter par la douceur de ces moments partagés, se préparant à savourer l'ivresse de cet instant éphémère. Elle se sentait déjà comme suspendue dans un état d'éternité, captivée par la magie de cet échange intense, sans vouloir s'échapper de l'étreinte chaleureuse qui la maintenait captive

Dans le creux de l'instant, leurs essences s'unissaient comme des rivières se rejoignant en un seul cours, fusionnant dans une danse de souffles partagés. Chaque mouvement était une symphonie en crescendo, des frissons parcourant leurs peaux telles des feuilles dansant sous la caresse du vent. Leurs respirations, en symbiose, formaient un rythme, un battement de cœur qui emplissait l'espace entre eux d'une tension électrique, tissant des liens invisibles mais puissants. Les mots étaient superflus, leur langage se composait de gestes, d'attouchements, d'embrassades où chaque contact était une promesse, une énigme délicate écrite dans le langage des émotions. Les courbes de leurs corps étaient comme des rivières tortueuses se rejoignant dans un lac calme, où la passion montait progressivement tel un feu s'enflamment sous une brise légère.

Les sensations, comme des vagues montantes, atteignaient des sommets, faisant vibrer chaque fibre de son être. Chaque caresse était une histoire, une invitation à plonger dans des abîmes inexplorés, où le désir se mêlait à la tendresse dans une danse envoûtante. Ils étaient comme des étoiles se rapprochant dans l'univers infini, fusionnant leurs lumières dans une étreinte où le temps semblait suspendu. La montée vers cet état de symbiose ultime était une ascension vers un sommet inconnu, où l'extase n'était pas simplement physique mais aussi spirituelle, un éveil de tous les sens dans un ballet de connexions invisibles mais intenses. Chaque échange, chaque toucher, était une exploration dans ce territoire émotionnel où le désir et la connexion se révélaient comme les facettes d'une gemme précieuse, une communion de deux âmes s'abandonnant à la magie de l'instant présent, sans que les mots aient besoin de décrire cet échange intime, poétique et intense.

Dans cet instant suspendu, une symphonie d'émotions tourbillonnait dans le sanctuaire intime de Teddy. La passion enflait comme une marée montante, mêlant désir brûlant et tendresse infinie dans le creuset de son être. Son cœur tambourinait, tel un oiseau frémissant sur le seuil de la liberté, oscillant entre l'excitation palpitante et une douce fébrilité. La sensation de fusion, de communion avec l'autre, évoquait une pluie douce dans un désert aride, une soif inextinguible trouvant enfin son apaisement. Une vague de chaleur, douce et enivrante, s'épanchait à travers elle, comme si chaque cellule de son être s'ouvrait aux délices de cette connexion intime.

L'excitation, tel un feu dansant dans les ténèbres, électrisait son être tout entier. Ses sens étaient des satellites captant chaque frémissement, chaque effluve, comme si l'univers entier se résumait à cet instant, à cette fusion des êtres dans une osmose parfaite. La douceur, telle une caresse d'ailes de papillon, enveloppait chaque émotion, adoucissant la tension de l'anticipation et berçant son cœur dans un cocon de bien-être. Teddy se sentait à la fois audacieuse et vulnérable, comme une fleur qui s'ouvre à la lumière du soleil, révélant ses pétales fragiles mais splendides.

Des tourbillons d'émoi parcouraient son être, de l'excitation fervente à la tendresse délicate, créant une palette complexe d'émotions peintes à même sa peau. Elle se sentait comme une exploratrice des abysses émotionnels, plongeant dans les profondeurs inconnues de l'intimité, naviguant entre l'extase de l'instant et la délicate réserve de l'âme. L'émerveillement et l'étonnement dansaient en elle, telles des étoiles filantes dans un ciel nocturne, illuminant chaque geste, chaque échange, d'une lueur magique. Elle se perdait dans ce tourbillon d'émotions, accueillant chaque vague avec grâce et émerveillement, se laissant emporter par la mélodie enivrante de cet échange. Teddy était à la fois spectatrice et actrice de ce drame émotionnel, évoluant dans une pièce où le décor était fait de sentiments purs, de désirs profonds et de la promesse d'une connexion inoubliable.

Dans quelques instants, elle se retrouverait plongée dans une félicité extatique, incapable de bouger autrement que pour prolonger ce flirt avec l'éternité, pour goûter encore un peu de cette étreinte qui semblait vouloir capturer le temps lui-même. Elle était sur le seuil de cet abîme où se perdent les sens, où chaque sensation prend des proportions cosmiques, où l'éphémère se pare des habits de l'éternité. Teddy, dans cet état suspendu entre le réel et l'indicible, se préparait à se laisser emporter par cette vague d'émotions, à se fondre davantage dans les bras qui semblaient lui offrir un refuge, un havre de paix au creux de l'éternité. Elle savait qu'elle serait transportée vers un ailleurs, dans une sphère où le temps n'aurait plus de prise, où seul l'instant présent compterait. Elle se préparait, fébrile et pourtant paisible, à cet instant où elle serait comme prisonnière d'une béatitude ineffable, où le simple fait de rester dans ses bras serait le plus précieux des trésors, une éternité fugace dont elle ne souhaiterait jamais s'échapper.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Dans la quiétude du soir, après avoir partagé ce moment intime avec lui, Teddy était baignée d'une sensation exquise, comme si chaque fibre de son être avait été touchée par une douce énergie. C'était comme un ballet de sensations qui émanaient de chaque contact, chaque souffle partagé. Chaque étreinte était un tableau vivant de sensations : une symphonie de respirations synchronisées, une danse lente et passionnée où leurs corps s'entrelaçaient dans une communion troublante. Les caresses, tendres et passionnées, semblaient dessiner sur sa peau une cartographie passionnelle, chaque frémissement représentant un souvenir gravé dans sa mémoire. Les sentiments partagés étaient comme des vagues d'émotions déferlant sur elle, apportant une chaleur réconfortante, un sentiment d'unité presque transcendant. C'était un voyage sensoriel, où les barrières de la réalité semblaient s'estomper, ne laissant place qu'à cette intimité profonde et à ce lien. Après ce moment d'intimité, la demi-vélane ressentait une plénitude, un sentiment d'accomplissement et de liaison indéniables. C'était comme si cet échange, cette communion, avait transposé le simple physique pour devenir une fusion d'âmes et d'esprits, laissant une trace indélébile de cet amour partagé.

Dans l'apaisement post-intime, une étrange fatigue se répandait en elle, la laissant pantelante. Chaque muscle semblait imprégné de douceur, lourd d'une agréable torpeur. C'était comme si chaque instant de cette communion passionnée avait puisé dans ses énergies, laissant dans son sillage une béatitude troublante. Cette fatigue était singulière, presque envoûtante. Elle se sentait enveloppée d'une langueur délicieuse, où chaque mouvement était comme une danse feutrée dans le calme du soir. La lassitude n'était pas oppressante, mais plutôt comme un écho doux et lointain, une invitation à s'abandonner à la sérénité qui régnait. La respiration s'était apaisée, le souffle régulier comme une douce mélodie accompagnant cette langueur diffuse. Elle se sentait ensommeillée mais comblée, comme si chaque instant passé l'avait transportée dans un état d’extase troublant, où les limites entre éveil et rêve semblaient s'estomper.

Dans cet état de contemplation troublant, elle se retrouvait lovée dans une étreinte lénitive. Les gestes étaient doux, comme si ses doigts, sans même y penser, parcouraient avec délicatesse le dos de son partenaire. Les contours familiers, la chaleur de ce contact lui apportaient un calme réconfortant. Chaque mouvement était fluide, naturel, comme si ses mouvements se fondaient dans cette tendresse. Les effleurements étaient comme un frôlement léger, une façon instinctive de prolonger cet instant de proximité. Lui, aussi enveloppant qu'une douce nuit étoilée, semblait répondre à ces gestes par plus de tendresse encor, lui offrant encore d’avantage de raison de laisser son cœur tambouriner dans sa poitrine. L'étreinte, dans sa simplicité et son intimité, était une communion muette entre eux deux. C'était comme si leurs corps s'accordaient sans effort, trouvant une consonnance dans ce contact presque instinctif. Elle se sentait plongée dans une atmosphère douce et réconfortante, où les mots semblaient superflus, où seuls ces gestes témoignaient de la profondeur de leur connexion.

Dans cette étreinte enveloppante et presque onirique, elle sentait le doux appel de la somnolence. La chaleur ambiante, les gestes apaisants lui donnaient cette délicieuse sensation d'abandon, comme si le sommeil la guettait doucement, lui murmurant de se laisser aller. Elle se retrouvait presque prête à succomber, à se laisser emporter par la brume épaisse qui envahissais son mono-neurone. Mais en elle, un conflit subtil s'instaurait. Une partie d'elle-même, guidée par le besoin de rester éveillée, de prolonger ce moment, de continuer cette soirée de la Saint-Valentin. Un mélange de nécessité et d'ego s'opposait à cette tentation de somnolence. N’avait-elle pas dit plus tôt qu’elle n’était pas faite de sucre et de plume ?

- Tu veux prendre une douche avant de continuer ?

Continuer… Le repas ! ça porte à confusion, mais c’est uniquement parce qu’elle est en train de réprimé une envie de baillée à s’en faire monter les larmes aux yeux !