Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Teddy était enveloppée d'une douce torpeur, comme si chaque fibre de son être dansait sur une mélodie divine. Sa peau, encore frémissante, capturait la chaleur résiduelle du moment partagé avec son amoureux et le reste de douceur qu’il continuais de venir déposer. L'éclat doux et doré du feu de cheminée illuminait sa silhouette, révélant des reflets chatoyants dans ses yeux pétillants d'émotions inexprimables. Elle était baignée dans un état d'euphorie indicible, une béatitude qui l'enveloppait tel un cocon de satin. Son cœur, encore tambourinant, résonnait dans sa poitrine, comme s'il voulait prolonger cet instant d'intimité et de passion infiniment. Chaque battement était une cadence harmonieuse, symbole de la symbiose parfaite entre son âme et celle de son partenaire dans sa vision de ce partage. Des frissons délicieux parcouraient sa peau, rappelant les caresses douces et enflammées échangées, témoins silencieux de leur ébats vibrant.

Les souvenirs de cet échange, si tendre et passionné, faisaient briller ses yeux d'une lueur à la fois éblouissante et douce, comme des étoiles dans un ciel nocturne apaisé. Leurs souffles complices, leurs murmures enflammés, résonnaient encore dans l'atmosphère du salon, imprégnant chaque recoin de leur connexion intime. Ses impressions étaient encore enivrées par le parfum entêtant de l'encens mêlé à celui du bois qui brûlait, créant un concert olfactive unique, empreinte de leur moment partagé. Les flammes dansaient langoureusement, reflétant la passion qui avait enflammé leurs cœurs et leurs corps, réchauffant l'atmosphère déjà chargée d'une douce moiteur. Teddy se sentait flotter sur un nuage, ses pensées dans un état de plénitude et de satisfaction totale. Elle ressentait cette félicité pure, cette satisfaction infinie qui la faisait presque croire qu'elle pouvait toucher les étoiles. Chaque fibre de son être était imprégnée de cette extase douce et réconfortante, un souvenir indélébile gravé dans les tréfonds de son être, alimentant sa joie et sa complicité avec son amoureux.

Note de l’auteur ; ça vaux décidément vraiment le coup de ce laisser bouffer pas les succubes !
… Pardon, parenthèse finie.

Elle se redressa légèrement que Yi-Min parti à la recherche de quelques tissus pour les couvrir. Du bout des doigts elle ressera l’étreinte de la chemise sur ses épaule.

- T’est sûr ?

Pour la chemise. Et parce qu’on apprendrait presque à avoir des tocs post-coït quand on grandit dans une maison close. Mais ça, comme le rapport de Yi-Min avec l’eau et les pièces fermé, ça ne sera pas abordé ici et maintenant. Non, là tout de suite, elle va saisir la mignardise qui lui est tendu du bout des lèvres en s’éternisant légèrement sur le bout des doigts du jeune homme quand elle croisera son regard pour y planter ses prunelles.

- Je n’ai jamais dit que je comptais profiter du jacuzzi toute seule. Mais ça sera peut-être mieux pour le dessert avec une petite coupe de champagne ?

Evidement, ça avait été dit une fois que la nourriture n’avait plus aucune chance de lui donner un air rustre en voulant prononcer quelques mots.

- On peut rester comme ça si tu veux. Mais je m’attendais d’avantage à ce genre de tenue pour le petit déjeuner demain.

Elle avait même fait mine de réfléchir, son index à la commissure de ses lèvres et son regard partant légèrement vers le plafond. Avant qu’elle ne hausse les épaules et trouve une place contre Yi-Min, non sans avoir récupérer leurs deux verres de vins pour lui tendre le sien et porter ses lèvres dans celui qui lui était attribué. L’œil malicieux en direction de l’élève de Grimardent.

Date : Vendredi 14 février 2025
Lieux : Chaumière Vablatsky, Pré au Lard

Des chatouille… Et du répondant, beaucoup de répondant à voir comment Teddy commence à ce tortillée dans tout les sens en essayant d’arrêter la progression des mains du jeune homme. Arrivant rapidement à bout de souffle en glissant quelques suppliques. Profitant de la gourmandise du jeune homme pour reprendre son souffle, et un peu de consistance. Elle glissera quelques mots en avançant légèrement le visage pour mieux laisser le baiser ce déposer à la commissure de ses lèvres, un sourire flottant sur le visage.

- Tu as tout le week-end pour en faire une overdose.

De son corps, s’entend, ou d’elle ? Les deux probablement. Après tout, la salle de bain n’allait pas disparaitre d’un coup de baguette magique vu le temps que les trois sœurs qui vivent dans cette chaumière y passe respectivement, quitte parfois à se prendre le chignon quand l’une gêne la suivante. Elle aura presque une moue boudeuse à voir les corps bouger, à sentir un vide. Ce qui ne l’empêchera pas de se redresser à son tour, laissant échapper un rire.

- J’en déduis que je l’ai bien choisi ?

La robe. Même si elle n’a pas vraiment de doute sur la question. Elle tendra la main pour aller enrouler ses doigts autour du tissu de la robe.

- D’accord, pour toi.

Elle laissera la chemise tomber sur le canapé en mettant ses épaules légèrement en arrière ce qui suffira à la faire glisser. Ce retournant pour enfiler les manches de la robe, elle tourne légèrement la tête de côté, côté où elle ramène ses cheveux en laissant trainer le bout de ses doigts sur son épaule.

- Mais du coup, j’ai besoin de ton aide pour la remettre.

Outre le fait de lui éviter de prendre une position inconfortable, gauche et pas du tout sexy pour le faire elle-même, c’est un jeu plutôt séduisant que d’imaginer les doigts du jeune homme filé le long de sa colonne vertébrale pour remonter la fermeture éclaire qui compose toute la longueur de cette robe dans son dos.

- Tu remetra ta chemise aussi ? J’ai un truc avec les chemises.

Qu’elle trouve terriblement sexy, particulièrement quand c’est le moment de les déboutonner. Que ce soit avec langueur ou passion, lentement ou rapidement en passant. Après tout, il n’y a rien de plus sexy qu’un homme avec une chemise !