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Ouganda, le 4 Janvier 2025
Cette énergie communiquant laisse Megan dans une sorte d’état second. Ne lui enlevons pas sa conscience pour autant, elle sait ce qu’elle fait. Et elle est parfaitement consentante. C’est l’instant qui l’emporte simplement dans un tourbillon de sensation appelant au désir, au plaisir et au partage. A l’envie qui grandit au creux de ses reins et qui se distille petit à petit jusqu’à faire naître une légère chair de poule. Quelques frissons pour accompagner les mouvements, les baisés et les caresses. Les regards qui se croisent et les sourires qui se répondent. Même si ceux de la louve sont peut-être un peu plus crispée, coincé dans une certaine forme d’insécurité qui nait de la pudeur. Ou plutôt que de parler de pudeur, on pourrait parler de complexes. La honte d’exposer se corps dont elle n’est pas forcément fière et qui laisse quelques traces d’ombres venir entachée un moment qu’elle voudrait pouvoir apprécier sans plus pensée. Ou se poser trop de question, ce qui reviens au même.

Ce moment ou elle perdra son t-shirt et où elle se pressera encore d’avantage contre lui, comme pour faire disparaitre ses rondeurs par la proximité. C’est presque inconscient, une sorte de réflexe. Quelque chose qui l’habite et contre lequel elle ne sait pas lutter ou complètement s’abandonnée. C’est toute une contradiction avec l’intensité de ses baisés, de ses gestes. De cette impatience qui nait chez elle aussi et qui lui donnerais envie de s’abandonner à ses côtés les plus sauvages autant que d’apprécier l’instant présent en laissant s’installer les tensions. Quand il les redressera, c’est sans vraiment y pensée et par automatisme qu’un de ses bras ira cacher la vision de son ventre, même si, lâche son bras finira par se perdre à nouveau à l’exploration des épaules du succube. Ne résistant pas à toutes les fines sensations qui découle de l’exploration qu’il aura de ses formes, laissant retranscrire leurs présences par quelques soupires.

Elle accompagnera ses mouvements, non sans une certaine forme d’appréhension. Ses peurs, celle qui naissent d’un souvenir qui aura ternis sa vision des plaisirs de la chair, sera cependant très largement effacée tant par la douceur des gestes maîtriser du jeune homme que par cette aura qui continue à lui chatouiller les sens. Elle aura un mordillement de sa lèvre inférieur quand il déliera son pantalon et par réflexe, elle aurait presque envie de chercher sa baguette pour éteindre toute sources de lumière. Chose qu’elle ne peut pas exprimée, c’est la honte un peu, du moins c’est ce qu’elle se dit. Ce sont des petites pensées intrusives qui font naitre quelques gestes d’hésitation, mais qui sont également rapidement balayer par le moment présent. Toute une contradiction dont elle essaie de se défaire. Largement aider par les attentions de Yi-Min.

De nouveau, elle accompagnera ses mouvements se retrouvant le dos coller à son torse. Une main accompagner par la sienne, explorant à nouveau la peau du jeune homme. Ses lèvres toujours avides des siennes. Ses ongles laissant trace invisible de fin passage entre sa nuque et la naissance de ses cheveux. C’est une exclamation qu’elle ne pourra retenir entre leurs lèvres scellées quand il ira à la découverte de son jardin secret du bout des doigts, tout en continuant d’éveiller un millier de sensation en découvrant la rondeur de sa poitrine. L’autre main de la jeune femme se glissera entre eux, dans son dos. Explorant d’abord la bosse qui se sera former sur le sous vêtement du jeune homme. Guider, complètement, par l’instinct et l’envie quand elle glissera cette même main sous le tissu pour aller à la découverte d’autre zone érogène du jeune homme. D’autre soupires lascifs, d’autres baisés. Et cette envie grandissante d’arraché les derniers morceaux de tissus pour s’adonner à quelque chose de plus bestial, trivial.

Lentement elle laissera sa main quitter l’intimité du jeune homme, se tournant lentement, laissant descendre lentement cette main qui continuais à jouer dans sa nuque le long de sa colonne vertébrale. Glissant sur ses hanches et allant rejoindre la seconde dans l’élastique du sous-vêtement. Elastique qu’elle commencera a faire glisser doucement, quand se verra naître une once de doute dans son regard. Qui, mal interprêté pourrais envoyer un mauvais message. Pas le bon du moins. C’est toute gênée et devenant cette fois légèrement rouge qu’elle s’expliquera sur ce qui sera venu obstrué l’éclat de l’envie dans son regard.

- On peut… étteindre les lumières ?

C’est un marmonnement, un murmure réellement. Qui ne se solvera pas l’enfouissement de son cou qu’elle explorera de nouveau du bout des lèvres et de la langue, laissant de nouveau une main glisser sous l’élastique pour aller se jouer de l’intimité du jeune homme pendant que la seconde libère un peu plus de la chair du jeune homme.

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Ouganda, le 4 Janvier 2025
Megan se tenait là, une jeune femme dont la silhouette généreuse portait les stigmates d'une réalité physique souvent jugée et qui avait fini par ternir sa perception de soi. Sa peau, douce mais ornée de cicatrices de luttes intérieures, racontait l'histoire d'une bataille constante entre les normes imposées et une confiance en soit bafouée. Les "bourrelets" délicats sur son ventre étaient des témoins silencieux de ses moments de vulnérabilité, une rébellion contre les diktats de la perfection. Mais également source de gêne qui se déclenchais dès qu’on l’approchait de trop, la mollesse de sa peau étant synonyme de faiblesse. Les cuisses de la louve, aux formes arrondies, semblaient parfois échapper à l'étroitesse des standards de beauté. Elles étaient le reflet de sa résistance, une déclaration silencieuse que la singularité ne doit pas être supprimée au nom de la conformité. Ses bras, doux au toucher mais porteurs d'un poids émotionnel, avaient traversé des épreuves, symbolisant la force qui émergeait de la fragilité.

Psychologiquement, elle était une toile complexe. Une ombre d'insécurité pouvait parfois assombrir ses pensées, fruit d'une société souvent trop prompte à juger. Mais au-delà de ces moments, émergeait une détermination à s'affirmer. Elle avait appris à transformer ses complexes en une force intérieure, une résilience forgée dans le cynisme, un flot de sarcasme et un franc parler qui n’avait pas sa place dans les moments de partage. Sans « bouclier » elle se sentais vulnérable. Megan portait son histoire comme un fardeau et une force, une sculpture humaine façonnée par des expériences et des émotions. Elle était en constante évolution, naviguant entre la pression extérieure et la découverte de sa propre valeur. Dans l'ombre de ses imperfections, L’ancienne Gryffondor trouvait la lumière de sa propre réalité, une beauté unique qui ne demandait pas l'approbation, mais simplement à être reconnue.

Elle n’aura pas su interpréter les expressions de Yi-Min, pas plus qu’il n’aura compris les raisons de ses doutes qui n’ont rien a voir avec ce qu’ils sont en train de faire. Elle est même plutôt en accord avec tout ce qui est en train de se passer. C’est comme un déferlante, vague de désir qui l’emporte un peu plus a chaque fois. Sans pour autant complètement lui faire perdre l’esprit, lié surement a la résistance de sa nature moins volatile qu’une demi-vélane ou dans la luxure qu’un vampire. C’est sans doute la raison pour laquelle elle continue d’avoir quelques pensées intrusives qu’elle fait de son mieux pour chasser à grand coup de ballais. Un peu comme si cette aura livrait bataille aux doutes qui tentais de s’insinuer là où il n’y a plus de place pour la distance.

La prévenance du jeune homme aidant largement à la mettre en confiance, que ce soit par la volupté de son touché ou bien le baisé déposer sur son front quand elle est allée cacher sa gêne en la dissimulant derrière de nouveaux baisées non moins enflammée que les précédents. Le fait de sentir les réactions du corps de son partenaire ou d’entendre les battements de son cœur aussi clairement que si elle avait l’oreille collé a son torse. Les positons changeront à nouveau et dans l’empressement, l’envie et le désir une nouvelle pensée intrusive naitra, la peur de la douleur. Celle qui la crispera un peu mais ne la rendra pas moins avide de plus de gourmandise, de plus de proximité. Très clairement, dans se combat, ce sont les hormones d’Eruptif qui l’emporte haut la main, se démarquant par les plaintes qui s’échappe d’entre ses lèvres ou cette manière qu’elle aura d’approfondir sa cambrure dans une invitation qui ne laisse aucun doute planer sur ses envies. Et s’il ne cède pas bientôt, elle va juste en perdre la raison. Chose qui sera sans doute noté dans la complainte d’un autre soupir lascif qu’elle laissera échapper.

Sa main sur le dossier de ce canapé y enfoncera ses ongles jusqu’à en plisser le cuir quand la seconde semble vouloir inviter à plus de proximité en allant chercher, à l’instar de celle du jeune homme, un peu plus d’intimité. Et si quelque part, il y a toujours une forme d’appréhension, il y a aussi une douce folie qui nait au creux de ses reins. Un feu bouillonnant qui n’appelle qu’à être maîtriser par l’étreinte. Ce ne sera que soulagement que de sentir enfin cette forme de libération, cette fusion des sens au milieu de caresse et de quelques gémissements qui ne serait que s’intensifier avec la danse des corps. Un empressement, le point culminant d’une fièvre qui approche la démence.

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Ouganda, le 4 Janvier 2025
Que de douce torture, cette attente devenant presque insoutenable alors qu’elle sentirait presque comme un millier de fourmillement dans ses zones qu’explore les mains taquine du jeune homme. C’est presque trop libérateur, ce sentiment, quand la fusion des corps arrive. Une douceur accueillit dans un nouveau soupir, intensifié surement par la petite pression des dents du succube sur son épaule. Il n’y a pas de douleurs, bien au contraire si l’on doit être tout à fait honnête. Et, passer cet effet de surprise, c’est même carrément agréable. L’intensification mouvement progressive des mouvements de bassin qui se réponde raccourcit le souffle de la louve qui a tâtons aura chercher le contact de cette main voisine quand elle aura rejoint la sienne sur le dossier de ce canapé seul témoins de leurs ébats. C’est tout un abandon que de se laisser submergée par toute la sensation qu’offre l’échange, l’envol de l’esprit pour ne plus laisser que le délectable instant présent dans toute sa symphonie. Deux corps qui se répondent, dans une chorégraphie qui, si maîtriser et bien connu de l’un, surprend par sa simplicité et son naturel pour l’autre.

Ce sont ses sens qui se perdent complètement, celui du touché qui s’affolent et semble ne plus savoir où concentrer son attention au milieu de toutes ses sensations. Des bassins qui se rapproche et s’entremêle encore et encore. Mais également des caresses qui continue de parcourir son corps au point de l’amener non loin d’en perdre la raison. C’est aussi cette aura qui lui chatouille les sens. C’est comme un nuage de coton, c’est vrai. C’est aussi comme le feu ardent d’un incendie déclenché lors de trop chaude journée d’été et qui la consume petit à petit. Qui laisse monter des vagues de plaisir, marée montante qui l’emporte un peu plus loin des rivages du bon sens a chaque fois pour l’emmener ailleurs. Plus proche de lui, bien loin d’ailleurs. Ce sont ses lèvres qui cherchent le contact de cette main qui viens redessiner les contours de son visage, que ce soit pour les embrasser ou bien passer le bout de sa langue sur quelques phalanges quand elle viendra les envelopper de la pulpe de ses lèvres.

C’est encore d’avantage de sensation quand l’échange trouvera toujours plus d’intensité, de profondeur. Des éclats de voix qu’elle ne saura pas retenir et qui marquerons le chemin de tous les plaisirs par quelques exclamations qu’elle ira étouffée d’une main, placée devant ses lèvres bien a plat comme pour empêcher dans laisser sortir les sons. Son corps tout entier semblent vouloirs répondre au dialogue qui c’est installer entre les corps, laissant passer les messagers du plaisir par cette façon qu’elle aura de vouloir aider le jeune homme à approfondir l’exploration, la rencontre de ses deux intimités. C’est tout un monde de récréation qui se dévoile et l’emporte petit a petit sur la route -ou plutôt l’autoroute- des plaisirs qu’on partage. Peut-être qu’elle pourra avouée commencer à comprendre la « hype » maintenant.

Dans les doux méandres de la rivière de l'extase, les vagues d'un océan inexploré commencent à se former. Un murmure subtil, semblable à la brise caressant les feuilles d'un arbre, suscite des frissons dans l'air. Les portes d'un jardin secret s'entrouvrent, révélant une floraison enivrante qui émane de l'âme des sensations. Les mains délicates s'aventurent sur des sentiers sinueux, déposant des pétales d'extase sur la peau comme des étoiles filantes dans la nuit. Le souffle, tel un doux zéphyr, devient l'architecte d'une union charnelle, ensemble subtil de notes en consonnance avec le tempo du désir.

Les horizons lointains s'embrasent doucement, illuminant son esprit, tandis que les vagues d'une mer passionnée s'élèvent et s'abaissent en cadence. Le corps, telle une danseuse gracieuse, s'incline devant le crescendo de cette chorégraphie. Dans cette odyssé, le plaisir se révèle comme une éclipse, où le soleil et la lune fusionnent, plongeant l'univers dans une obscurité momentanée. Les étoiles se dispersent en éclats, formant une constellation éblouissante au sein du cosmos intérieur. Une apothéose silencieuse, un feu d'artifice dans l'éther de la passion, et puis le calme, comme le dernier soupir d'une nuit étoilée.