NC (-16) | Avatar réel | Pas d'activité minimum | 150 mots mini IRP
Umbra Noctis Movens est un forum RPG, bien sûr, mais pas que. Il vous propose un système d'évolution. Gagner des exp en faisant vos RPs, en participant à la vie du forum, ect... Et monter de niveau pour développer vos maîtrises et skills de sorcier ! Plus encore, chaque personnage à une réelle influence sur les intrigues qui se jouent façon « roman dont vous êtes le héros ». Avec des fins alternatives à chaque épisode et chaque saison ! Vous pourrez aussi dès le niveau 10 avoir votre propre familier et le faire grandir, choisir de vous faire aimer par votre animal magique, ou au contraire le faire obéir par la peur. Vous collectionnerez les dragées surprises de Bertie Crochue pour vous en servir comme monnaie au marché noir, vous pourrez aussi remplir votre compte en banque pour faire du shopping à la boutique... En bref, UNM avec ses quêtes, classes, boss et j'en passe, c'est un habile mélange entre le forum RPG tel que nous le connaissons et le « mmo rpg » !
Nous sommes actuellement entre le 1er Janvier 2025 et le 30 Avril 2025. Voir le calendrier | Le Forum a été créé par Kassie (contexte, le système de jeu, intrigues, les annexes, etc...) et lui appartiens entièrement. NC(-16) présence de propos caractère hérotique et/ou violent, cb interdite aux mineur à partir de 00h.
Deux décennies après la guerre des sorciers, des groupes extrémistes menacent la paix magique. Vous incarnez les différentes factions sur un forum RPG et serez amenés à choisir votre camp lors du conflit qui s'annonce. Préparez-vous à prendre position et à influencer le destin du monde magique.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Barbara Palvin Niveau : 91/100 Points d'Exp : 29324 Particularité : magie ancienne palier 1/7 Health Point : 4 800 PC (compétences) : 31/78 PC (caractéristiques) : 30/78 Scolarité et Métier : J'étudie à Poudlard, j'ai été répartie dans la maison Gryffondor. Je suis membre de l'équipe de quidditch au poste de batteuse.
Niveau : 67/100 Health Point : 3.550/3.550 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Anneau de protection (au doigt) - Basket Magiques (aux pieds) - Besace Magique (petite tente magique, sphère magique basique, catapulte ailée, bolide 340, batte de quidditch, skate magique, dodorico) - Couteau de lancé x3 (planqués sur @Je-Ha Kim) - Nid de luxe, Bièraubeurre x6, Cape d'invisibilité, coup de tonnerre, poupée vaudoo, couteau suisse (dans le sac sans fond de @Emily Skeeter)
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- 1 Poudre d'Aneth - Bézoard - Kit pour faire pousser les verrues - Polynectar - Potion contre la toux - Antidote aux poisons courants - Potion d'Hilarité - Potion de restitution - Baume d'asclépiade tubéreuse - Potion de ratatinage
Sort utilisé à ce tour : - Potion utilisée à ce tour : - Objet utilisé à ce tour : - Information(s) Hors-jeu : -
On sait déjà où elle est, Lily. Elle n'est pas là, physiquement peut-être mais en haut, ça s'est juste enfuit. C'est parti dans une autre réalité qui l'empêche de bouger. Qui fait qu'elle sent à peine les mouvements autour d'elle, qu'elle entend encore moins. Il est quelle heure, maintenant ? Ca n'a pas l'air d'être l'heure du petit déjeuner, pas assez de bruits dans le dortoir. Pas assez de mouvements sous les couettes chaudes. On n'entend pas la douche non plus. Alors ça doit être la nuit. Peut-être ? Sûrement ? C'est pour ça, raisonnablement, qu'Oriana vient de se lever, pour rejoindre son lit. Il est plus vide maintenant, son lit. Il a retrouvé le corps qu'il doit accueillir chaque nuit, chaque jour aussi. C'est bien, ça. Elle devrait peut-être faire pareil non ? Allez dormir ? Ou bien prendre un douche. Une longue douche. Elle pleurait pourquoi déjà ? Ca pouvait pas être pour le dernier match de quidditch, ils avaient gagné. Ca pouvait pas être pour une mauvaise note non plus, c'était normal ça. Oh, fallait qu'elle se mette à ranger. Emily n'aimait pas le désordre, elle rangeait tout le temps le dortoir. Elle passait tout le temps après elle et Oriana. A tout ranger, à tout retrouver aussi. Elle était bien, Emily. Elle était jolie, aussi.
Etait... C'était pour ça alors, les larmes. Et ce balancement qu'elle avait eu dans ces minutes qui étaient des heures. Il fait froid maintenant qu'elle n'est plus là, Oriana. Il fait froid. Elle va l'attraper sa veste, celle qui s'est retrouvée par terre. Elle avait dû tomber par inadvertance et Emily n'était pas encore arrivée pour lui rappeler qu'être un petit poucet, c'était pas une bonne idée. Elle est trouée, la veste et c'est collant encore. Il y a bien un souvenir, pourtant, de ce moment où sur une plage, elle avait lavé leurs vêtements ; Emily.
Avait... C'est aussi au passé maintenant. C'est elle où, quand elle passe une main sur son visage, il est redevenu humide ? Ce serait la douche alors. Elle s'est levée, Lily. On sait pas comment. Parce qu'on ne sait pas si elle s'en aperçoit vraiment. On sait juste que la démarche est plutôt mal assurée pendant un moment. Un instant où elle va devoir s'appuyer contre l'encadrement de la porte avant de reprendre sa route vers les escaliers. Il y a du monde, d'un coup. C'est ce qu'elle doit capter quand elle voit les talons d'une paire de chaussures devant ses pieds. Elle va relever la tête, la gryffondor. Mais on ne sait pas ce qui va passer dans son regard quand elle voudra simplement contourner Oriana. Parce qu'on ne peut pas prévoir ses réactions à Lily, personne n'a jamais pu. Pas même elle. Pas alors qu'elle vient de s'inventer un monde imaginaire. Pas alors que, la seconde d'avant, elle pensait juste aller faire le lit d'Emily et ranger ses affaires dans son coffre. Pour attendre qu'elle revienne de sa retenue. Emily... En retenue... C'était l'inverse plutôt non. Oui... Peut-être ? Elle ne sait vraiment plus. Parce que y'a quelque chose qui semble coincer. Même quand elle regarde le visage dans les bras de Noah.
Il y a un temps d'arrêt. Un véritable temps d'arrêt avec qu'elle ne sente ses yeux s'embuer à nouveau. Parce qu'elle n'est pas drôle cette blaque là. Et que normalement une farce, ça doit faire rire. Même si le rire est jaune. Même si... Elle résiste là, Lily. Parce qu'elle ne veut pas y revenir dans la réalité. Elle est nulle la réalité. Emily était juste sortie alors ? C'est ça ? Et elle était rentrée après le couvre-feu. Oui voilà, c'était ça. Parce qu'elle ne pouvait pas être là et être... être... morte en même temps. Ou si, comme Oriana. Il s'était passé une année aussi ? Elle avait dormi trop longtemps, c'est ça ? Ou trop bu ? Ca devait être les joints de Noah qui l'avaient faite divaguer. Elle est... Vivante Emily ? C'est... C'est bien. Ca la fait pleurer aussi même si y'aura aucun bruit. Juste un sourire loin lui aussi. C'est bien...
C'était une douche qu'elle voulait prendre, non ? Pour enlever le sang. Le... La boue, c'était de la boue. Après un match de Quidditch, ça la dérangeait pas la boue. Même si elle est incapable de bouger apparement quand elle tend une main vers celle d'Emily. C'est peut-être la seule chose qu'elle verra vraiment là. Ses lunettes... Juste... Elle le voit pas derrière Noah, elle le voit pas à côté d'Oriana. Elle le voit pas. Elle est rentrée avec... Ses lunettes ? On le sent là, le tremblement qui est encore pire qu'avant. Même si elle va sourire encore, à Emily. Parce que c'est bien qu'elle se soit pas fait mal en tombant après avoir transplané. C'était bien... Maintenant elle va aller la prendre cette douche, avant que ses jambes ne supportent plus son poids. Déjà qu'elle doit s'appuyer sur un mur. Ah, non, elle a dû glisser elle aussi, c'est que c'est pas très bien nettoyé ici. C'est pas... On est où, déjà ? Et il est où, Je-Ha ? Il est pas encore arrivé ? Il avait pourtant dit qu'il les rejoindrais plus tard, n'est-ce pas ?
On sait déjà où elle est, Lily. Dans un couloir, accrochée à un mur pendant qu'un main remonte des lunettes contre sa poitrine. On sait que, physiquement elle est là. Mais que derrière la barrière du corps, l'esprit il essaye toujours de s'enfuir, comme pour échapper à la douleur. Ils font quoi là, déjà ? Dans ce couloir ? Pourquoi ils retournent pas juste dans leurs dortoirs ? Elle n'est pas folle, Lily. Elle essaye juste de se raccrocher à quelque chose qui fait moins mal. Parce que voir Emily là, elle sait que c'est pas possible. Elle sait que c'est pas... Elle se cache où la folie, au final ? Dans sa tête ou devant ses yeux ? C'est fatiguant, n'est-ce pas ? Elle est fatiguée là. Et c'est pas l'envie de se rouler en boule qui manque. Juste pour être ailleurs encore un peu. Dans un souvenir heureux, dans un endroit où tout va bien. N'importe où avant ce maudit toit. Même au milieu de détraqueurs, ça serait mieux.
:copyright:️️ Belzébuth
We’re all a little weird. And life is a little weird. And when we find someone whose weirdness is compatible with ours, we join up with them and fall into mutually satisfying weirdness -and call it love- true love.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 100/100 Points d'Exp : 34717 Particularité : doppelganger palier 1/7 | magie antique palier 3/7 Health Point : 5 700 PC (compétences) : 17/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : J'étudie actuellement à Poudlard au sein de la maison Gryffondor et je suis en 7è année.
Lun 24 Avr - 1:09
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
Niveau : 74/100 Health Point : 3 700/3 700 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Pochette magique - avec tout mon inventaire dedans
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Potion Wiggenweld x3, • Philtre revigorant, • Tout dans la pochette magique
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information HJ : ...
Ça va… ça va… ça ira… ça va… On y est arrivée, elle y est arrivée. Elle à réussit. Elle à eu du mal à lâcher sa prise. Que se soit ce bras autour des épaules de l’homme où ses jambes qui c’était enroulée autour de lui aussi. Parce qu’elle ne pouvait pas… elle n’avait juste pas le droit. Pas le droit d’y revenir sans lui. Pas le droit de faire ça à Lily. Parce que si elle avait échoué avant, si finalement son action n’avait servis à rien, pas même à leurs faire gagner assez de temps. Elle lui devait ça. Elle le devait pour être. C’est l’ouverture de la porte qui lui aura fait perdre un équilibre déjà précaire. Elle ne c’était même pas rendu compte à quel point elle y prenais appuie sur cette porte. Elle ne c’était pas rendu compte à quel point cette prise qu’elle pensais solide, presque désespérée était fragile. Elle n’avait pas bouger ou peu. Elle c’était juste laisser porter par les mains du Potter sans même regarder son visage. Parce que ses yeux restait accroché au mercenaire et à son souffle bien trop faible. C’est sans doute pour sa qu’il aura fallu un peu de temps avant que son visage ne ce tourne vers James. Avant qu’elle ne comprenne la folie dans son regard. Avant qu’elle ne tourne les yeux vers une autre silhouette, vers Noah. Avant qu’elle ne les murmures, ses mots. Parce que parler ça fait mal. C’est un exercice aussi impossible qu’il l’épuise. Parce que ça lui demanderais presque plus de force que le fait même d’avoir emporté Je-Ha avec elle.
Y’aura un moment de latence quand James aura lâché le tissus, baisser sa baguette. Ça lui aura fait perdre l’équilibre parce que finalement, là aussi elle c’était laisser complètement porter. Mais il y à ce mur contre lequel elle est plaqué, alors ça ira. Et son regard sera retourner vers Je-Ha, il y aura glisser doucement quand elle aura une seconde fois, essayer de dire son nom à lui. Quand elle ne ce sera même pas rendu compte que ce n’est plus James devant elle. Que c’est d’autre main sur ses épaules. Que c’est une autre forme de prise qui l’entoure et l’enveloppe. C’est pour ça qu’elle y sera rester aussi passive quelque part. Comme hors de son corps, parce que c’était le mot d’ordre ce soir. Parce que si son cœur tambourine dans sa poitrine comme si il essayait de l’en sortir, parce que si d’autre instinct essai de s’insinué en elle pour lui faire perdre la tête… ça ne marche pas, ça ne peut pas marcher. Les iris verte elle reste suspendu dans le vide et s’embuent quand les mains remontent doucement pour trouver les bras du jeune homme et s’y poser. Elle avait d’autre chose avant, entre ses doigts. Quand est-ce qu’elle avait tout lâché ? Sur le palier ? Elle ne sait pas. Elle sait juste qu’au creux de la droite il ne reste qu’une paire de lunette qu’elle serre, qu’elle serre peut-être même trop fort.
Son visage qui remonte pour voir les traits de l’ancien Serpentard, plus clairement sans doute. Un baisée… Un baisée qu’elle n’attendait pas et qui l’aura surprise sans doute. C’est pour ça qu’il sont rester ouvert les yeux ? Pour ça ou parce qu’elle est là, mais pas encore complètement non plus. Elle n’est que poupée de chiffon Emily. Elle réagit à peine quand il la soulève. Elle réagit à peine si ce n’est qu’elle rapproche ses lunettes contre elle. Si ce n’est qu’elle le vois James les dépasser, porter Je-Ha. Elle l’a ramener pas vrai ? ça va aller… Mais c’est elle, elle qui devrait y aller. C’est son travail à elle. Pour Lily, pour Lily elle doit bouger, elle doit y aller pas vrai ? Pour Lily…
Elle à bouger surement, ou elle à essayer. Mais ce n’est pas elle qui y sera aller, c’est Oriana. Alors on ne sait pas si c’est parce que Noah la serre un peu trop fort ou si c’est elle finalement qui n’en trouve pas la force. On ne sait pas, mais ce qu’on sait c’est qu’elle n’aura pas bouger petite poupée de chiffon. Elle ne se rend même pas totalement compte que son corps à quitter le sol ou bien que son visage est aller s’enfouir dans le tissus de la chemise. Elle ne se rend pas compte non plus du petit Demiguise qui c’est accrocher au pantalon de Noah comme pour prendre un train en marche en ayant pas eu le temps de grimper sur sa maitresse.
C’est un battement de cil ? C’est combien de temps. Combien avant qu’elle n’arrive à bouger, a vouloir se remettre sur pied. A faire face à Oriana. Oriana qui déchire la robe. Y’a une réaction, si naturelle qu’elle en est irréelle quand la protestation s’installe et qu’elle viens serrer le tissue pour barrer sa poitrine avec des deux bras et ses deux mains. Et puis il y à Lily. Lily… Lily à qui elle tend les lunettes. Lily à qui elle essai de dire quelque chose. Mais est-ce que les mots ont vraiment trouver le chemin de ses lèvres ? Lily… C’est un pas et un second. C’est quitter Oriana, Noah aussi. Passer devant James peut-être mais n’en voir plus aucun. C’est aller trouver Lily.
Et l’enlacer.
Si fort…
Trop fort.
C’est une larme aussi qui roule. C’est trop de sang, sur l’une et l’autre. C’est trop. Mais c’est… C’est tout ce qu’elle est capable de faire avant de laisser glisser doucement, si doucement sa main dans celle de son amie pour y entrelacer leurs doigts. Pour marcher, ou bien titubé. Parce que l’une comme l’autre n’a pas le pas bien assurée. Parce que finalement elles se font écho en un sens. Viens, viens avec moi. On va aller au dortoir, on va trouver plein de petite chose à manger. On va rire, on va vivre. Vivre.
Vivre comme dans cette petite chambre où elle entre, sans lâcher la main de Lily. Parce que dans cette prise elle à trouver de la force. Parce qu’elle ne la lâchera pas la main de Lily. Et parce qu’elle va le redire et que cette fois, peut-être, ça sera enttendu.
- Je pouvais pas… revenir…sans… sans lui. J’avais pas le… droit.
Elle serre un peu plus fort la main, un peu plus fort comme un ancrage quand l’homme en face est assit sur le lit. Quand il est plus blanc que le linge qui l’aura porter. Quand il y à une main dans ses cheveux. Quand il tourne le regard vers Lily. Quand lentement il se lève. Lent, si lent les mouvements. Ou bien c’est parce que tout est comme ralentis, comme irréel. Comme un mauvais rêve. Parce qu’on va se réveiller. Et que tout ça, c’était rien. C’était pas vrai. Quand il avale la distance. Et que si Emily, légèrement en retrait, ne lâche toujours pas cette main. Celle de Je-Ha viendrons envolopper Lily au cœur de ses bras. Et si Emily serre sa main dans la sienne, Je-Ha lui serre son corps près de lui, au plus près qu’il le pourra.
Et puis…
Et puis ça ira ?
Oui…
Oui ça ira.
Ça doit aller.
(c) princessecapricieuse
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Photomaton : Feat. : Barbara Palvin Niveau : 91/100 Points d'Exp : 29324 Particularité : magie ancienne palier 1/7 Health Point : 4 800 PC (compétences) : 31/78 PC (caractéristiques) : 30/78 Scolarité et Métier : J'étudie à Poudlard, j'ai été répartie dans la maison Gryffondor. Je suis membre de l'équipe de quidditch au poste de batteuse.
Niveau : 67/100 Health Point : 3.550/3.550 Objet(s) que vous avez sur vous :
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- Anneau de protection (au doigt) - Basket Magiques (aux pieds) - Besace Magique (petite tente magique, sphère magique basique, catapulte ailée, bolide 340, batte de quidditch, skate magique, dodorico) - Couteau de lancé x3 (planqués sur @Je-Ha Kim) - Nid de luxe, Bièraubeurre x6, Cape d'invisibilité, coup de tonnerre, poupée vaudoo, couteau suisse (dans le sac sans fond de @Emily Skeeter)
Potion(s) que vous avez sur vous :
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- 1 Poudre d'Aneth - Bézoard - Kit pour faire pousser les verrues - Polynectar - Potion contre la toux - Antidote aux poisons courants - Potion d'Hilarité - Potion de restitution - Baume d'asclépiade tubéreuse - Potion de ratatinage
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Vivre, c'est quoi ? Parce qu'elle n'a pas l'impression de vivre là, Lily. C'est d'ailleurs pour ça que son esprit s'envole si loin. Parce que là, clairement, elle n'a pas l'impression de vivre. Elle n'a même pas l'impression de survivre. Ou alors ce n'est juste pas sa vie à elle qu'elle est en train de parcourir. Parce qu'elle n'est pas comme ça, sa vie. Elle est heureuse, elle est joyeuse ; même si y'a eu des ratés parfois, qui sonnent maintenant un peu comme les prémices du mal. Mais au fond, même après des épisodes traumatisants, c'était bien aussi. Elle était partie où, la dernière fois ? Quand ils avaient retrouvés Oriana ? Loin déjà. Elle pouvait repartir maintenant, non ? Parce qu'ils avaient retrouvés Emily apparemment. Ou alors elle n'était jamais partie, c'était une illusion ça aussi. Comme ce labyrinthe de folie ou les morts n'étaient pas vraiment morts. Ils n'étaient pas dans la réalité en vérité. Ca pouvait pas être ça, la réalité. Ca pouvait pas être toute cette souffrance qu'on se trainait comme un boulet au pied. Ca pouvait pas être toutes ces peurs qui venaient frapper à votre porte pour annoncer leurs présences. Ca ne pouvait pas être une successions de traumatismes qui laissaient un peu plus de marques à chaque fois. Et jusqu'à quand ? Jusqu'à ce qu'on finisse par se jeter d'un toit. Un autre. Un plus haut peut-être, histoire de ne vraiment pas se rater. Parce que si c'était ça, sa vie maintenant. Là, elle n'en voulait pas. Elle voulait celle d'avant, celle où y'avait pas tout ça. Où ils étaient partis si loin que ce soit dans un temple ou au centre de la terre.
Parce que ça... Ca pouvait pas être ça...
Parce que ça ne va pas aller là. On la pense forte, Lily. On aime la croire forte. On aime se dire qu'elle va gravir des montagnes à mains nues et s'asseoir sur les emmerdes que ça va lui apporter. Que dans un rire, un coup de batte, elle va les faire partir d'un revers de main. Ouais, on aime bien. Mais c'est pas le cas. Parce que y'a eu trop de cailloux sûrement, parce que c'est pas son père. C'est pas son frère, c'est pas Emily, ni Oriana et c'est pas lui non plus. Alors peut-être que ça va être elle, le boulet au pied. Celui qu'on se traine et qu'on essaye toujours de relever. Parce qu'au final, un boulet c'est qu'un objet capable de rouler et de se laisser porter. C'est une chose qu'on se traine tel un poids, un fardeau un peu plus lourd à chaque fois. Comme son cœur maintenant, comme ses lunettes dans sa main. C'est des poids. Et ça pèse lourd. Si lourd. Est-ce qu'on peut revenir à avant ? A cette époque, dans ce dortoir où dans la maison des parents ? Quelque part où y'avait pas autant de traces que maintenant. Enfant peut-être ?
Enfant... Il est lourd là, lui aussi. Tellement lourd. Alors elle va le laisser repartir son esprit. Elle va la laisser filer doucement. Parce que c'est étouffant.
Comme ces bras autour d'elle. Au début, du moins. Après ça à l'air de faire du bien. Ca à l'air de créer de la lumière quelque part. Comme une flamme dans le noir, un petit feufollet qu'on a envie de suivre les yeux fermés. C'est une main dans la sienne chaude, si chaude alors qu'elle n'arrive pas à quitter son visage des yeux, ce profil qu'on aime voir radieux. Parce que c'est ça, Emily. Du soleil, quelque chose qui rayonne fort, si fort. Et qui donne chaud, si chaud. C'est une chaleur douce pourtant aussi, qui vient vous envelopper qui vous donnerait presque envie de flotter. Et ses yeux à elle, ils vont tomber sur sa main. Parce qu'elle est là.
Là...
Pourquoi tu es partie ? Tu as mis trop de temps à revenir. Presque une éternité. Et c'est long, l'éternité, si long. Comme ce couloir qu'elles sont en train de traverser. Même si Lily n'en a pas conscience par qu'elle essaye juste de rester accrochée à son amie. A cette main douce, presque chaude. A son visage aussi, A ses lèvres quand elle parle. Même si elle ne comprend pas d'abord. Parce que ça veut juste pas rentrer. Ou que ça ne peut pas rentrer. C'était pas pour ça qu'ils étaient tous partis ? C'était pas parce qu'ils étaient plus là tout les deux ? Elle sait pas Lily, elle n'a pas vu. Qu'est-ce qu'elle lui dit, Emily ? Quelque chose qui résonne mal peut-être mais qui fait son chemin aussi. Presque trop lentement quand ses yeux fatigués s'agrandissent un peu. Mais, on ne va pas se mentir, elle voit sans voir là. Parce que c'est pas encore la réalité qui vient se replacer, c'est pas...
Parce que ça voudrait dire qu'ils... On... laissés... derrière.
Y'a de l'air qui sort de ses poumons là, trop rapidement peut-être. Comme une plainte à peine audible pendant que sa main elle vient serrer celle d'Emily. Pendant que l'autre elle serre toujours les lunettes. C'est ça, le soulagement ? Parce que clairement, elle a juste l'impression d'être encore plus fatiguée qu'avant. Elle à l'impression que c'est pas vrai mais que c'est bien aussi. C'est bien. Haha... Elle sait pas si elle vient de rire là, si elle l'a juste imaginé ou si elle est juste en train de pleurer. Encore. Un peu plus. Il devait en rester finalement. Comme de l'énergie encore, celle de tenir debout quand il vient l'enlacer, celle de pas s'affaler tout de suite, pas encore, pas maintenant. C'est une main qui va remonter doucement contre son dos sans pour autant lâcher les lunettes. Comme si c'était le lien qui lui permettait de le voir, de le sentir, de...
Y'a des larmes, y'a trop de larmes et il y a toujours cette main dans celle d'Emily. Parce qu'ils vont bien, parce qu'ils sont là. Ils sont vivants ou quelque chose comme ça. Donc c'est bien ça, le soulagement ? C'est d'un violent. Ca en ferait presque mal. Au cœur, aux os, aux muscles aussi qui n'en peuvent plus. Les siens, les leurs. Ceux des autres peut-être aussi. Et ça fait mal au final, même si ça panse aussi les plaies, comme de l'essence de dictame qu'on continue à arroser. C'est... Ca... La vie ?
:copyright:️️ Belzébuth
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Photomaton : Feat. : Park Hyung-sik Niveau : 57/100 Points d'Exp : 15474 Health Point : 2 950 PC (compétences) : 10/31 PC (caractéristiques) : 21/31 Scolarité et Métier : Il ne sait pas d'où il viens, si il a une famille. Il ne sait pas si il à un jour étudier. Il n'y a pas si longtemps il ne savait même plus qu'il était un sorcier. Tout ce qu'il sait, c'est qu'aujourd'hui il travail comme mercenaire pour gagner des gallions.
• Sur lui - 1 Couteau de lancer Basique, Lot de 5 Shurikens Basiques, Lot de 0 Kunai Basiques • Dans le sac d'Emily - Katana Basique, Naginata Basique
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Aucune, il n'en a pas.
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu :
Dans l’obscurité… Le néant. Une pensée une seule. Qui tourne en boucle encore et encore. La seule qui compte très certainement. La seule qui l’habite encore. Une pensée ou un visage. Un visage et des yeux. Des yeux dans lesquel on peut voir le monde. Des yeux dans lesquel on vois toujours la vie, la lumière. Le rire, la détermination. La vie.
La vie.
Celle à laquelle il s’accroche, celle qui file, celle qui s’échappe. Celle qu’il trahit dans ce simple état de fait. Des promesses rompus ? Des espoirs qui ne naîtrons jamais. Ou sans sa présence à lui ? Noir si noir dans cette obscurité. Et la peur, une forme de peur. Celle de ne jamais plus la voir ou les voir. Celle d’avoir échoué, d’avoir failli. De ne pas avoir été assez fort ou assez rapide. Celle de ne pas avoir su finalement tenir ses mots, ses paroles. Car finalement tout en reviens au promesses. Celle d’hier, celle d’aujourd’hui même. Celles qui filent et qui semblent maintenant loin, si loin. Hors de portée.
Il n’aura rien sentis, rien vu. La douleur peut-être. La physique. Celle qui petit à petit l’emporte. Mais celle qui enveloppe son cœur est bien pire en réalité. Parce que ce sont des rêves qui se brises. Une vie qu’il ne vivra pas. Qu’il ne verra pas. C’est son esprit qui fini par complètement lâché aussi. Pour le protéger alors que son corps s’envole pour de bon ? On ne sait pas, il ne sait pas. Il n’était plus là.
[…]
Cette odeur familière, âcre, désagréable dont il imagine déjà les vapeur verdâtre s’échapper de plaie qui petit à petit se résorbe pour disparaitre. Cet éveil, celui de l’esprit, du corps aussi. Vivant ?
Vivant.
Un instant pour que les images reviennent en même temps que l’esprit. Pour comprendre. Et en fait ne rien y comprendre du tout. Comment ? Où ? Les sens qui l’assaillent, trop puissant, trop aiguisée. Assez pour entendre sans vraiment avoir la capacité non plus d’y faire sens. Ce sont ses yeux qui se seront ouvert en premier. Avant qu’il ne se redresse dans une grimace. La tête qui lui tourne ? Il l’ignore. La douleurs dans ses muscles ? Il fera comme si elle n’existait pas, même si elle semble toucher chaque nerf de son corps. Cette main qui passe dans ses cheveux, sur son visage. Et l’instant d’après des petits pas qui lui font tourner la tête.
Vivant.
Il s’y sera extirpée de se lit, de ses draps. Ceux qui portent maintenant les traces de son passage. Rouge, bien trop rouge. La distance, il l’avale même si il lui semble prendre une éternité de trop. Ce visage, ses traits, ses yeux. Il viens l’entourer de ses bras pour la serrer fort, si fort. Fort quand son visage semble s’enfouir pour s’imprimer de l’odeur de ses cheveux, ceux qui mêle son parfum aux marques de cette soirée. Au sang. Il aura lever les yeux vers la petite blonde. Un léger signe de tête, très léger. Comme un remerciement silencieux qui lui sera rendu par un faible sourire. Parce que sur se toit, avant que ses yeux ne se ferme et qu’il plonge dans l’abysse il n’y avait plus qu’eux n’est-ce pas ?
Il y retourne à cette étreinte, pour l’accentué encore plus sans doute. Il y retourne pour l’envelopper encore d’avantage tout contre lui et sentir son cœur, le sien à elle, le sien à lui battre. Battre si fort. Et il y aura un mot, un seul. Un qu’elle connait, qu’il lui aura enseigner. Une parole unique au creux de son oreille et juste pour elle. « mianhae ».
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Photomaton : Feat. : Taylor Swift Niveau : 58/100 Points d'Exp : 15956 Health Point : 2 900 PC (compétences) : 10/31 PC (caractéristiques) : 11/31 Scolarité et Métier : Je fait actuellement mes études à POUDLARD au sein de la maison GRYFFONDOR. Je suis ce qu'on appelle un génie des potions et j'adore l'art, notamment la peinture.
Lun 24 Avr - 3:29
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.☼ Date : 05/12/2024 ☼ Lieu : Square Grimmaurd, Londres. Oriana, Lily, James, Noah, Emily et Je-Ha.
Niveau : 34/100 Health Point : 1 700/1 700 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Ceinture Magique Basique - Cette ceinture magique vous permet de garder sur vous baguette, faucille ou couteau, vos potion, pierre runique, ingrédient et bien plus encore sans restriction (si ce n’est que vous devez préciser ce qui se trouve dans la ceinture dans vos RP dès le premier post, dans la limite de 2 objets et 5 consommable). Qui plus est, forcé par un enchantement, elle vous permet d’invoquer 1 fois par RP une potion ou une pierre ou une préparation culinaire (etc…) par RP. Ne supporte pas les runes. • Petit chaudron portatif - il s'agit d'un achat essentielle pour pouvoir faire des potions en dehors des salles de cours. Il ne permet de fabriquer qu'une fiole de potion à la fois, mais est transportable partout où vous voulez (même en intrigue) ! Il peut faire les potions des années 1 à 5 (il vous faudra un chaudron de qualité supérieur pour les potion 6, 7 et potioniste). • Nimbus 3 000 - très bon balais, donne 2 fois plus de chance de réussir ses actions au Quidditch. Peut transporter jusqu'à deux personnes en même temps, sur des trajet moyen. • Mortier et pilon magique - Le mortier et le pilon sont des objets utilisés dans le monde de la magie pour préparer des ingrédients de potions en les réduisant en poudre. Celui-ci est magique : il vous prépare vos ingrédients à la perfection ! Si vous préparez une potion avec des éléments à réduire en poudre, il vous garantis une réussite, c'est à dire que si le dé affiche une potion raté, celle-ci deviendra automatiquement réussit ! Et si vous n'avez plus besoin de dé, elle sera automatiquement parfaite ! • Fiole de Cristal - Les fiole de cristal vous permettent de mettre un échantillon de potion (2 fiole = 1 place dans l'inventaire), diminuant un peu les effets cependant par le manque de quantité.
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Poudre d'Aneth - redonne de la force physique (restaure tout vos hp) - utilisable une fois pas mois rp. (vous devez le préciser au pnj quand vous l'utilisez en intrigue ou en combat/duel), vous fera perdre 1 tour de jeu. • Philtre de confusion - Le philtre de Confusion est une potion qui incite à des conduites impétueuses et téméraires, tout comme le philtre d'Embrouille. Dure pendant 3 tours de RP. • Kit de création de verrue - Utilisable 1 fois pendant la durée d'1 rp. C'est un kit pour sorciers permettant de causer la poussée de verrues sur la victime. Ajoutez juste un peu d'eau au sachet à l'intérieur et faites entrer en contact la peau de la victime avec la préparation et PAF ça fait tout plein de verrues...
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu :
Elles les avaient vu, Emily et Lily entrer dans une sorte de bulle. Vu Emily quitter es bras de Noah, quitter son regard pour retrouver leurs amie. Elles étaient dans leurs monde, loin. Là où cette fois, Oriana ne pouvais pas les suivre. Pour partager leurs moment. Un moment qu’elle laissera quand son regard partira au bout du couloir pour aller chercher ses affaires laisser sur le palier. Deux armes, deux baguettes. Et d’autres choses peut-être ? La joueuse ne sait plus donc Oriana non plus. Elle les aura poser au salon, sans doute avec le sac abandonné d’Emily. Ça aura laisser le temps de retrouvaille. Le temps de quelques mots, le temps de l’étreinte. Le temps pour qu’elle revienne et vois Emily doucement séparer sa main de celle de Lily, non sans une dernière pression. Elle hallucine toujours Oriana, elle n’imprime toujours pas non plus. Et finalement c’est la tête sur l’épaule de James qu’elle aura fini parce que lui aussi, il est bien blanc. Et ses yeux ne quitte pas sa sœur. Et monsieur gros bras à sans doute besoin d’une présence, lui aussi. Et ça sera pas celle de son meilleur ami. Parce que si Oriana n’a pas les yeux dessus la joueuse pourra vous le dire.
Emily elle est ressortis dans ce couloir. Elle c’est accroupit aussi le temps de prendre Boo dans ses bras. Boo qui aura poser ses mains sur son visage le temps d’un long échange de regard avant de grimper sur sa tête, à la petite blonde et de s’y installer parce que déjà, elle était en train de se redresser. Elle aura regarder Noah et ses mains aurons glisser sur sa taille pour que son visage aille se poser doucement juste un peu. Quelques seconde avant qu’elle ne lève ses yeux. Elles sont là les moues, celle qui accompagne le regard. Elle sont toujours là. « J’ai besoin d’une douche. » Elle est toujours éteinte la voix, c’est pas tout à fait un murmure elle est simplement difficile. Il a serré vraiment trop fort le chat. Une pause. Le temps de tourner les yeux « froide. ». Elle aura pas fait le Demiguise a disparaitre, pas sans le dire ou pas sans une forme d’aval. Pas cette fois. Par contre on garantira pas que ce soit du progrès mais plutôt les conséquence d’avoir vu la mort d’un peu trop près. :copyright:️ DABEILLE
hold on
for there is so much beauty in your life
even if you don't see it now
(c) princessecapricieuse
Lily L. Potter
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Barbara Palvin Niveau : 91/100 Points d'Exp : 29324 Particularité : magie ancienne palier 1/7 Health Point : 4 800 PC (compétences) : 31/78 PC (caractéristiques) : 30/78 Scolarité et Métier : J'étudie à Poudlard, j'ai été répartie dans la maison Gryffondor. Je suis membre de l'équipe de quidditch au poste de batteuse.
Niveau : 67/100 Health Point : 3.550/3.550 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Anneau de protection (au doigt) - Basket Magiques (aux pieds) - Besace Magique (petite tente magique, sphère magique basique, catapulte ailée, bolide 340, batte de quidditch, skate magique, dodorico) - Couteau de lancé x3 (planqués sur @Je-Ha Kim) - Nid de luxe, Bièraubeurre x6, Cape d'invisibilité, coup de tonnerre, poupée vaudoo, couteau suisse (dans le sac sans fond de @Emily Skeeter)
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- 1 Poudre d'Aneth - Bézoard - Kit pour faire pousser les verrues - Polynectar - Potion contre la toux - Antidote aux poisons courants - Potion d'Hilarité - Potion de restitution - Baume d'asclépiade tubéreuse - Potion de ratatinage
Sort utilisé à ce tour : - Potion utilisée à ce tour : - Objet utilisé à ce tour : - Information(s) Hors-jeu : -
Elle n'y croit pas, au début. Là, quand elle le voit, elle n'y arrive pas. C'est un peu comme si l'image refusait de s'immiscer dans son cerveau. Comme si l'esprit créait une forme de barrière pour la protéger. Pour ne pas faire naître plus de douleur lorsque l'hallucination serait passée. Elle n'y croit pas, ça ne rentre pas. Elle ne trouve pas la case pour y mettre ça. Emily, c'était déjà beaucoup. Et elle ne l'avait pas encore assimiler. Pas totalement. Comme si le délire se poursuivait à mesure qu'il cherchait un chemin pour venir la rassurer, pour venir la soulager de tout ce poids, de tout ce trop. De tout ces maux. Mais pour lui, l'espace d'un instant, le cerveau il ne peut juste pas. Parce qu'il s'imagine voir plus loin, au moment où elle se réveillera et qu'il ne sera -qu'ils ne seront- plus là. On les avaient laissés sur ce toit n'est-ce pas ? Laissés... Derrière. Et c'est très lourd ça aussi, comme poids. Ca vient s'ajouter à tous les autres même quand son corps les sent, ses bras. Comme si l'hallucination, après avoir été psychique devenait physique. Il y a des larmes oui et cette main qu'elle tient toujours, puis cette autre main aussi, qui serre une paire de lunettes et qui remonte lentement se placer dans son dos à lui.
Ca lui donnerait presque l'impression d'être sur deux vitesses. Celle qui ralentit sans cesse jusqu'à repousser tout pour ériger des barrières. Quelque chose de solide qu'on ne pourrait pas briser, plus comme ça. Et celle qui veut aller si vite, tellement vite qu'elle en donnerait presque le tournis. Parce que celle là, elle veut s'y accrocher à cette vie, à se souvenir, à cet espoir. Au moins un temps avant qu'il disparaisse encore. Qu'il s'échappe encore. Dans un endroit si lointain où elle ne peut même pas le suivre. Parce qu'on en doute peut-être là, mais Lily... Lily elle choisira toujours la vie. Elles continuent à rouler encore un peu, ces larmes. Celles qu'on a retrouvé on ne sait pas trop où alors qu'on les croyaient taries. Elles s'obstinent ces perles de sel quand elle sent cette main chaude étreindre doucement la sienne avant que son contact ne s'estompe.
Un mot et toutes ces lettres. Un mot qui en cache des milliers qui ne sont jamais prononcés. Un mot, une voix, un sentiment. C'est comme si les murs devenaient plus fin tout d'un coup, qu'ils s'éffilochaient comme ce dôme protecteur qui les avaient entourés. Et c'est le raz-de-marée encore, la lame de fond sourde et presque trop silencieuse qui vient tout emporter. Qui vient balayer ce que l'esprit essaye tant bien que mal de protéger. C'est cette main libre qui vient rejoindre l'autre, qui vient se perdre contre lui. Sur sa taille puis dans son dos ; comme pour s'assurer que c'est bel et bien la réalité. Et là, quelque part, elle l'entendrait presque cette chose qui vient d'éclater. Cette impression qu'elle va encore s'effondrer et c'est pour ça, sûrement qu'elle va s'y accrocher. Qu'elle va finir par l'accueillir cette étreinte, même si elle sera sûrement trop bruyantes de son côté. Parce que ce ne sont plus les mêmes larmes qu'elle aura trouvé. Parce que c'est le soulagement qui vient maintenant et de si loin. Il remonte en même temps que ses mains alors que son visage semble vouloir disparaître encore plus contre son torse. Parce que c'est pas assez, parce que ça ne sera jamais assez. Parce que si elle lâche, qu'elle s'écarte ne serait-ce que d'un centimètre, de quelques millimètres, elle a encore cette impression qu'il va juste disparaître. Comme un écran de fumée. Comme un rêve qui n'aura pas eu le temps de germer.
Elle la fera durer cette étreinte. Parce que la rompre c'est laisser la porte ouverte à trop de chose. Elle la fera durer même si elle est à bout de force. Parce que c'est trop, c'est beaucoup trop. Toute cette soirée, ça avait été trop. Trop d'émotions, trop de douleurs autant physiques que psychologiques. Et si on aura réussi à réparer les corps, il est encore difficile de savoir comment va s'en sortir l'esprit. Donc non, elle va pas lâcher, elle va s'y accrocher à cette lumière quitte à restée figée dans cet instant d'éternité. Quitte à ne plus jamais pouvoir bouger. Elle ne va pas la lâcher, pas le regarder non plus. Elle va juste les fermer enfin, ses yeux ; les fermer pour s'oublier un peu plus encore. Pour oublier le reste aussi. Pour effacer tout ce qui n'est pas là, pas lui, pas eux. Parce qu'elle n'a pas la force là, de s'éloigner, de retourner complètement dans le monde des vivants. Parce qu'elle est submergée de bien trop de choses qui partent dans tous les sens.
Un mot. Il n'a fallu qu'un mot. Pour que quelque chose cède. Pour que quelque chose disparaisse. La dernière barrière qui fait qu'on tient debout et sur ses deux pieds ; parce qu'elle le sent là. Qu'elle est en train de glisser. Parce qu'elle était débout depuis trop longtemps sûrement ou juste parce que son esprit il est si fatigué que ça vient se répercuter en écho sur son corps. Comme si ce trop plein d'émotions, de sensations était en train de l'engloutir complètement. Mais là, vraiment, ça fait du bien pourtant ; tellement. Et le monde autour, le monde... Il peut bien continuer de tourner, mais sans elle pour l'instant. Parce que la vie, elle est ici. Au creux de ses bras pour l'instant. Elle est pas ailleurs, elle n'est pas à côté alors elle ne veut pas encore y revenir. Pas maintenant. Plus tard peut-être ; même si on ne sait pas encore comment.
:copyright:️️ Belzébuth
We’re all a little weird. And life is a little weird. And when we find someone whose weirdness is compatible with ours, we join up with them and fall into mutually satisfying weirdness -and call it love- true love.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Letitia Wright Niveau : 50/100 Points d'Exp : 12524 Health Point : 2 500 PC (compétences) : 16/26 PC (caractéristiques) : 26/26 Scolarité et Métier : Je n'ai d'existence qu'en tant qu'ombre de l'âme d'un invisible.
Lun 24 Avr - 10:48
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
04.12.2024 - Quelque part qui n'est pas ici.
Il y en a une là, que l'on n'aura pas beaucoup vue. Sûrement parce qu'elle est toujours présente sans jamais l'être vraiment. Là, cachée au creux de son oreille et devant ses yeux. Et elle aura tout vu depuis cet endroit où elle vit terrée. Elle était là depuis le début, absente par moment, dès qu'il retirait ses outils de travail. Elle était là aussi, juste avant le départ de ce portoloin.
« La rue devant le Square est calme. J'ai placé quelques coursiers et Chérie ne va pas tarder à arriver aussi. Il n'y aura pas de problème à votre arrivée. » Ou pas de mauvaise surprise plutôt, puisque c'était l'idée. Mais ça, elle n'allait pas épiloguer sur le sujet alors qu'elle penchait la tête sur le côté en l'observant fixer ses armes. Parce que si elle voit tout ce qu'il y a devant, elle voit aussi tout ce qu'il regarde. « Tu vas pas avoir froid comme ça en arrivant ? » Non mais mec, il fait encore plus froid en Angleterre qu'en Grèce à cette période de l'année, faudrait pas l'oublier. Et puis les autres là... Non mais sérieusement, faut vous acheter des vêtements plus chaud. C'est que c'est le pôle nord l'Angleterre pour elle. En plus, il y fait toujours un temps de merde. Mais passons, ils n'étaient pas censés restés dehors de toute façon. « T'as pris un tablier pour te protéger ? Blondie va sûrement vomir cette fois aussi. » Ouais, c'est tout le crédit qu'elle lui apporte. Mais c'est qu'elle a eu envie de la frapper plusieurs fois déjà la tête blonde. Parce que voilà. Non mais, on se rassure, elle aurait volontiers enfoncé la tête de tous les Gryffondors présents dans des rochers et plus d'une fois s'il-vous-plait. Non parce que dans le genre, casses couilles en barre, ils se posaient tous là quoi ! Et puis l'autre là, qui se jette devant les armes. Sa copine qui absorbe des sorts alors qu'elle est au bout de sa vie. Non mais, au moins la potioniste elle sait qu'elle n'a pas le niveau donc, au moins, elle fait pas sa folle de trop non plus. Mais on n'a pas dit qu'elle avait de bonnes idées. « Bon, évites de perdre un bout du Nott ou de le laisser sur place ; c'est qu'elle vaut chère la vie de Thaddy là donc faut pas le perdre en route. Bon, j'penses que si il perd quelques cheveux, ses parents nous en voudront pas. » Oui, c'est très léger. C'est Sephora quoi. Sephora qui a la voix qui grésille presque autant que ses sarcasmes et ses papiers de bonbons qu'elle froisse tout près du micro. Dans un petit bruit tout à fait énervant qui la fait sourire encore plus largement. Parce que c'est l'game bébé et qu'elle va pas changer maintenant. Mamie grabataire qu'elle est, vissée à une chaise qui tourne et qui roule et qui...
Gné ? Pardon, elle s'est étouffée avec son bonbon. Elle savait pourtant que la menthe, elle n'aimait pas ça. Mais c'est l'alerte qui l'aura fait se relever. Comme si elle venait de s'asseoir sur une punaise. Une bonne grosse punaise. « C'est pas le Square. » Non mais elle sait qu'il sait. C'bon, elle est pas con. Mais c'est qu'elle est pas muette non plus alors qu'elle attrape une roulette du bout du pied pour venir recaler l'assise sous son fessier. Et on roule encore. Mais beaucoup plus sérieusement alors que les doigts s'agitent dans les airs et que les claviers magiques se posent sur les touches moldues. Non, elles servent toujours à rien, c'est pour le style. On le sait tous que la technologie et la magie, ça fonctionne pas bien ensemble. Mais là, c'est l'instant où c'est elle qui doit se battre. Contre le temps, contre ses secondes qui avancent beaucoup trop rapidement.
Ces des doigts qui frappent les touches par habitude pendant qu'une main vient jouer dans les airs pour déplacer des écrans aux couleurs orangées. C'est des images qu'on vient posé sur des murs, comme dans un battle royale. C'est une silhouette au bord d'un toit qu'on met de l'autre côté, sur laquelle on zoom. Et c'est bien d'autres choses encore. C'est un check up sur des constantes qui foutent le camp et qui la font hurler dans cette oreillettes. Parce qu'elle voit, elle voit tout. « Putain mais tu fous quoi ! » Ouais, avant ça, y'a eu un lâche là. Y'a sûrement eu un détends-toi et un redresses-toi ; parce qu'elle voit rien si il fixe ses pieds et que c'était pas le moment de vriller. Y'aura eu un « Ca va ? » juste après sûrement. Parce que les constantes sont déjà mieux. Et oui, même si elle le voit, elle demandera. Excusez-là hein, c'est la seule personne à qui elle parle elle. Et depuis cinq jours, on ne va pas dire qu'ils ont été souvent branchés. Ou beaucoup moins que d'habitude. Donc, elle vous dit merde.
De toute façon, elle est déjà repartie dans ses analyses quand les silhouettes sortent de l'ombre. Ce qui doit être une fille d'abord. Parce que ça se voit sous les vêtements. Celui qui file vers la petite blonde aussi. Et le dernier qui arrivera plus tard, si près. « Concentres-toi ! » Elle a vu, elle a tout vu. « Tu sais que les yeux sont tous uniques ? Comme des empreintes digitales. Il n'y a pas deux iris pareilles, pas deux volutes semblables. On ne peut pas les reproduire. Les sorciers pensent souvent que le plus simple, c'est encore un test de baguette, un test de sang. Mais les iris... » Elle les as bien zoomé là, toutes ces iris qu'il aura croisé. Avant que les images continue de tourner. Elle aura parlé encore, sûrement. Avant de voir, de quitter un écran pour en rejoindre un autre. « Je-Ha ! Concentres-toi... JE-HA ! » Il a volé le clavier, les écran avec. Dans un mouvement rageur. Pour aller s'explosés contre le mur de ce réduit. Osef, elle n'en avait pas besoin.
Et même si il ne peut plus l'entendre maintenant qu'il a retiré l'oreillette, elle va continuer à lui parler. Par habitude aussi et parce qu'elle doit continuer de l'insulter là. Parce qu'il vient de faire la seule chose qui l'empêcherait presque de bosser. « Pas L'OREILLETTE ! J'ai toutes tes constantes dessus ! » Putain de bordel de merde ! Ha, il est venu de loin celui là, quand elle fait valser ses écrans de magie autour de sa tête. « Tes constantes là... » Et faire bouger tout un staff en même temps, une partie du moins. Pour qu'ils bougent jusqu'à ce nouveau point de ralliement. Mais...
« Bordel ! » Non mais à quel moment ils ont signés pour se fader autant de gamins là ! Houuuu ! Et puis c'est quoi ça encore ! Non mais j'vous assures qu'elle le vit bien. Elle vient pas du tout de se figer devant ce visage qui dépasse la périphérie des lunettes. Elle vient pas du tout de voir l'angle qu'aura pris la caméra. Elle le voit pas du tout que les dernières images ce sera son corps à lui qui tombe lentement.
Elle va les passer sur son visage ses mains et ces putains de gantelets aussi. Et elle va se remettre à bosser. Parce qu'en attendant, elle continue de voir les mouvements. Tout ce qui pourra passer devant les lunettes. Jusqu'à cette main qui viendra se refermer dessus et jusqu'à cette position qui va changer. Non mais, juste comme ça, pour qu'elle voit bien, faut pas METTRE LES DOIGTS ! Et puis vas-y qu'on s'échange encore. Enfin, elle les connait ses seins au moins. Mais non, rapport à un labyrinthe et un petit câlin. Ca va là, on a déjà dit que c'était pas le téléphone rose Sephora. Mais franchement... Vraiment. Non mais tourne les bien au moins les lunettes là. Qu'elle n'est pas juste un aperçue en-dessous de la ceinture quoi. Bon, au moins, vu qu'il était assis juste avant, ça doit vouloir dire qu'il est vivant. Bien... Non mais c'est bien...
SUPER ! Elle est ravie là quand c'est sa chaise qui prend un coup. Pardon, ça soulage. Mais on s'entends, elle va le pourrir à un moment. Elle le pourrit déjà, c'est juste qu'il entend pas parce que « TON OREILLETTE BORDEL ! »
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Cole Sprouse Niveau : 76/100 Points d'Exp : 22501 Health Point : 3 800 PC (compétences) : 20/50 PC (caractéristiques) : 13/50 Scolarité et Métier : J'ai fais mes études à Poudlard, dans la maison Serpentard. Aujourd'hui, je suis en première année à Grimardent dans la résidence des Magilignes.
Lun 24 Avr - 11:40
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
« 04.12.2024 - Cité d'Elis »
Niveau : 52/100 Health Point : 2.600/2.600 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Appareil photo magique (autour du cou) - Briquet magique basique (dans une poche) - Petit sac extensible (+5 objets + 7 potions) : Anneau de protection, nimbus 3000, Pierre soleil, boîte à flemme, pellicule photo magique
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : //
Ca fait un moment maintenant, qu'il y a des ratés un peu partout. Dans les esprits de toutes ces personnes qui sont enfin réunis. Ou, du moins, qui se retrouvent toutes au même endroit. Parce que chacun à sa façon, n'est pas vraiment là. Pendant qu'il y en a qui tente de se raccrocher aux branches, de se rassurer, de tenter d'expliquer l'impossible aussi. Il y en a qui semble se perdre dans la folie. Dans un espace qui n'appartient qu'à eux et où personne ne peut rentrer. Où personne n'a, peut-être, envie d'entrer. Lui non plus, il est pas sûr là. Parce que la réalité elle lui semble tordue. Parce qu'on l'a tous ressentie cette disparition, sûrement plus que celle du mercenaire dont, au final, on ne connait qu'un faux nom. C'est presque instinctif, le fait que ses mains retournent dans ses poches quand Emily quitte ses bras. Un peu comme si c'était sa barrière à lui alors qu'Oriana tord le tissu pour le déchirer. Il aura baissé les yeux, bien entendu, pour observer cette peau sur laquelle seule une griffure est finement tracée. Ils ont hallucinés ? Non... Bien sûr que non. Quelque part en lui, il y a cette vérité qui semble vouloir s'insinuer. Même si il reste toujours incapable de parler et qu'il ne fait qu'observer. Observer cette réaction quand elle croise les bras sur sa poitrine ; observer celle d'Oriana aussi, pour laquelle il clignera juste lentement des yeux, parce qu'il n'a rien d'autre à lui donner là. Il n'a pas d'explication et peut-être pas de quoi la rassurer non plus. Puis y'a ce regard qui se tourne encore, vers Lily puis Emily encore. Emily qui rejoint son amie dans un endroit où il ne pourra pas suivre non plus.
Où il n'a pas envie d'aller ? Oui, il y a sûrement de ça aussi. Parce que c'est très lourd, toute cette ambiance. Comme une veillée funèbre sans fin alors que tous les corps qu'on pleure sont présents. Alors il va juste les garder là, ses mains. Enfoncées dans ses poches quand Oriana repart. Quand dans l'embrasure de cette porte on peut observer une étreinte. Qu'il ne quittera pas des yeux d'abord, avant de les détourner finalement. Jusqu'à sentir ses mains autour de sa taille, sur le tissus de sa chemise. Jusqu'à baissé la tête vers elle pour croiser son regard et finalement, sourire. « On va aller te chercher des vêtements avant. Et ton sac aussi. » C'est avec presque trop de délicatesse qu'il viendra poser une main sur ses épaule. Parce qu'il aurait souhaité le faire sur sa tête mais qu'un petit animal s'y trouve déjà. Parce que le baisé à la racine de ses cheveux, se retenu comme ça. Parce que c'est bien aussi de juste l'observer. De voir ses traits, ses réactions, la moindre chose qui parcourt sa peau. Et puis c'est cette même façon de la retenir quand ils se dirigent d'abord vers le salon. Où il ira prendre ce sac pour en enrouler la hanse autour de son poignet, de ses doigts aussi.
Il la gardera aussi près de lui que possible, en repartant dans ce couloir ; en ayant un sourire pour deux de ses amis. Qu'ils ne verront peut-être pas, parce qu'il n'est pas là pour ça. Il est là pour lui-même. Pour replacer les choses au bon endroit alors que c'est vers les étages qu'il l'emporte. Jusqu'à la chambre de Lily, dont il va pousser la porte. Jusqu'à son armoire aussi, qui va laisser apparaître trop de boules de vêtements. Des petits tas dans lesquels Emily pourra piocher même si tout sera trop grand. Et puis il va continuer de monter, il va passer devant la salle de bain de Lily et continuer d'avaler ces escaliers ; jusqu'à une autre salle de douche au seuil de laquelle il va s'arrêter.
Il aura un sourire, toujours. En laissant son bras quitter les épaules de la jeune femme pour venir chercher le demiguise toujours trop bien accroché. Il aura un sourire pour lui quand enfin, enfin, il pourra poser cette main sur sa tête et laisser ses doigts se perdre dans ses cheveux. Quelques petites secondes avant qu'il ne se baisse enfin, y dépose ses lèvres jusqu'à en fermer les yeux. Dans un sourire, dans un soupire aussi. Dans quelque chose qu'on ne connaît pas trop chez lui, sûrement parce qu'il n'a jamais vécu ça, non plus, pour ses amies.
Laueee
I ate it up and spit it out, I faced it all and I stood tall and did it my way
For what is a man, what has he got ? If not himself then he has naught.
PrettyGirl
James S. Potter
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Jacob Elordi Niveau : 63/100 Points d'Exp : 17889 Health Point : 4 150 PC (compétences) : 07/37 PC (caractéristiques) : 10/37 Scolarité et Métier : J'ai étudié à Poudlard, j'était d'ailleurs du côté des Gryffondor. A Grimardent cependant je réside chez les Crodefer et je suis en section Sport.
Lun 24 Avr - 12:03
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
Date : le 05 décembre 2024 - Lieux :Square Grimmaurd, Londres
Niveau : 43/100 Health Point : 2 650/2 650 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Nimbus 3 000 - très bon balais, donne 2 fois plus de chance de réussir ses actions au Quidditch. Peut transporter jusqu'à deux personnes en même temps, sur des trajet moyen. • Boite de mouchoir - boite de 10 mouchoir très doux pour le nez. Vraiment pratique quand vous avez besoin de pleuré devant un film, un livre, après une rupture ou devant l'échec d'un dé... • Boite à flemme - contiens 1 pastille de gerbe, 1 nougat nez-sang, 1 berlingot de fièvre chacun utilisable 1 fois en rp avant que la boite ne disparaisse ! Attention cependant à ne pas perdre la partie "guérison" du bonbon... ça serait ballot !
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Poudre d'Aneth - redonne de la force physique (restaure tout vos hp) - utilisable une fois pas mois rp. (vous devez le préciser au pnj quand vous l'utilisez en intrigue ou en combat/duel), vous fera perdre 1 tour de jeu. • Remontant Pomfresh - Le remontant de Pomfresh est un tonique magique pour tonifier l'organisme après des dommages physiques mineurs. Vous rend +100HP. • Potion explosive - potion particulièrement instable et dangereuse, le moindre faux-pas et vous vous faites exploser vous-même ! Elle provoque des dégâts de zone sur tous les ennemis [-500HP + effet de brûlure jusqu'au soin -150HP par tours]. • Potion explosive - potion particulièrement instable et dangereuse, le moindre faux-pas et vous vous faites exploser vous-même ! Elle provoque des dégâts de zone sur tous les ennemis [-500HP + effet de brûlure jusqu'au soin -150HP par tours]. • Potion explosive - potion particulièrement instable et dangereuse, le moindre faux-pas et vous vous faites exploser vous-même ! Elle provoque des dégâts de zone sur tous les ennemis [-500HP + effet de brûlure jusqu'au soin -150HP par tours].
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu : :giffy:
Il aura presque l’impression, au bout d’un moment, d’être un voyeur. Parce que quand Emily avait détaché ses doigts de Lily pour rejoindre le couloir : ses yeux à lui était rester fixé encore un peu sur le dos de sa sœur. Il n’avait pas vraiment eu de geste pour Oriana sur le moment. Il avait juste sentis sa présence, blanc comme un linge, avec l’image du pire encore bien trop présent dans son esprit. Mais il aura fini par bouger, sans doute après avoir vu Noah le dépasser pour s’engager dans les escaliers. Sans doute parce qu’il devait lui laisser de l’espace pour mieux la voir revenir quand elle serait prête.
On peu qualifier de James de beaucoup de choses, qualité et défauts. Mais il y en a une qu’on ne peut habituellement pas lui prêter : le fait d’être attentif aux besoins des autres, même quand ils ne sont pas encore nés. Pourtant, dans cet instant, c’est sans doute ce qui va naître. Car si Oriana lui propose d’aller lui servir un verre et qu’il acquiesce, il ne la suivra pas de suite dans le salon. Non, il avalera la distance entre ici et sa chambre pour aller dans son placard à lui. Il sortira des vêtements, sans grand soin pour redescendre. Il n’est pas vraiment rapide, le Potter. Forcément, tout le monde ici est encore sous le choc. Alors on sait pas combien de temps il prendra cet aller-retour avant qu’il ne se retrouve à nouveau devant cette porte, cette chambre qui n’est pas souvent utiliser -sauf contexte de soirée qu’on a pas besoin d’évoquer- le tout pour les voir toujours dans cette même position. C’est le regard de l’autre homme qu’il croisera, c’est à lui aussi qu’il tendra la boule de fringue préparer à l’arrache. Mais bon, c’est l’intention qui compte non ?
SI Lily à bouger, il aura déposer un baisé sur son front. Si non, il aura simplement couler un regard sur son dos avant d’avoir un signe de tête pour Je-Ha. Dans les deux cas, il ne sera rester ni dans cette pièce, ni dans ce couloir. A la place de quoi ses pas l’aurons trainé, mains dans les poches à présent, dans le salon où Oriana le visage encore grave lui tendra un verre qu’il accueillera en regardant le canapé. Canapé que Kreattur aura bien du mal à nettoyer le lendemain. Et sur lequel il y à des traces encore trop marquante pour qu’il s’y installe. Alors dans un autre signe de tête pour invité la rouge et or à le suivre, c’est dans la cuisine qu’il ira s’installer. Chacun sur une chaise, pas coller mais pas loin non plus. Parce que la brûlure ressentis à chaque gorgée elle fait du bien. Et sans trop de mots, parce que présentement il n’y a pas la places pour ça.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Park Hyung-sik Niveau : 57/100 Points d'Exp : 15474 Health Point : 2 950 PC (compétences) : 10/31 PC (caractéristiques) : 21/31 Scolarité et Métier : Il ne sait pas d'où il viens, si il a une famille. Il ne sait pas si il à un jour étudier. Il n'y a pas si longtemps il ne savait même plus qu'il était un sorcier. Tout ce qu'il sait, c'est qu'aujourd'hui il travail comme mercenaire pour gagner des gallions.
• Sur lui - 1 Couteau de lancer Basique, Lot de 5 Shurikens Basiques, Lot de 0 Kunai Basiques • Dans le sac d'Emily - Katana Basique, Naginata Basique
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Aucune, il n'en a pas.
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu :
Elle dure l’étreinte. Elle dure et l’un comme l’autre se refusera à la rompre. Parce qu’elle est nécessaire. Pour l’un comme pour l’autre. Pour assimilé cette nuit. Pour comprendre aussi. Et pour laisser les gestes remplacer les mots. Parce qu’ils sont entré dans un monde où il n’y à qu’eux à présent. Alors se serait peut-être de longue minutes pour certain, mais pour lui, ce n’est que quelques battements de cœur à l’unissons. Et ses battements de cœur il avait besoin de les sentis, de les entendre raisonner en lui. Les siens à lui. Les siens à elle. Les leurs. Ceux que la mort n’aura pas su emporter ce soir.
Alors excuse le, Sephora, mais il n’y pensera pas à cette oreillette. Pas maintenant et pas plus tard. Demain peut-être, tu aura tout l’occasion de lui hurlé dessus. Mais pas là. Parce que là, il n’est qu’avec elle en réalité et le reste ça ne compte pas. Il y aura, bien sûr, ce court échange avec James Potter quand il enroule ses doigts sur les vêtements. Quand il y aura aussi de sa part une sorte de signe de tête. Mais se bras tendu viendra retrouver sa place presque aussi vite qu’il l’avait quitté. Elle est devenu silencieuse la maison, mais pour lui c’est le silence du soulagement.
Encore quelques minutes comme ça. Parce que c’est une nécessité, presque vitale. Encore un peu avant que doucement ses lèvres n’aillent déposer un baisé à la racine de ses cheveux. Que doucement il se détache, de quelques centimètre à peine pour voir son visage, pour laisser la place à une ses mains de remonter sur son visage. Le caresser du bout des doigts. Tant pour faire disparaitre quelques larmes que pour la sentir un peu plus et d’une autre façon. Comme ce baisée, doux, voluptueux qu’il ira déposer sur ses lèvres. Une réalité qu’on pourra scellé, ensemble.
Son autre bras va chercher une de ses mains, pour croiser leurs paumes et initié le mouvement, celui vers une salle de bain. Pas la sienne, pas à l’étage parce qu’il n’ira pas jusque-là. Mais l’avantage de ses vielles maison et de tant de chambre c’est qu’ils en aurons surement trouver une rattaché à celle-ci aussi. Et que très franchement, le lieu importe peu dans que le résultat est le même. Avant de quitter l’endroit, il y avait eu quelque chose de similaire. Pour accompagner d’autres nouvelles, d’autre émotions, d’autre sentiment. Cette fois, ce sera simplement parce qu’il est impensable d’être ailleurs qu’avec elle. De la quitté des yeux, même une fraction de seconde. Ou de ne plus sentir sa peau, sa présence. Sous ses doigts ou dans ses bras. Au bout des lèvres ou par des battements de cœur rapprochés.
Il posera la boule de fringue sur le rebord du lavabo. Des sous vêtement, deux. Des t-shirt, deux. Pas plus, parce que faudrait pas non plus prêter trop d’attention à James, celle-ci était déjà bien. Il fera glissé son manteau dans une grimace le long de ses bras. Il se penchera aussi pour allumé l’eau. Avant d’aller de nouveau retracer son visage du bout des doigts. Avant d’en faire de même avec sa veste à elle. Avant d’aller chercher, peut-être, d’autre tissus pour les faire glisser sur le sol. Avant aussi, de l’installer dans la baignoire, de l’y asseoir en vérifiant la température de l’eau. Il n’y sera pas aller dans cette douche, pas encore. Il aura simplement pris le pommeau pour venir effacer avec douceur les traces de la nuit sur sa peau. Comme on le ferait avec un enfant certain dirait. Mais ce n’est pas tant ça, que simplement autant de tendresse que d’amour que renferme le cœur. :!: Justayne
In my eyes,humansare thesame. They are all the same.
But, amongst all the similar humans, she’s somewhatdifferent. How isshedifferent ?
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 100/100 Points d'Exp : 34717 Particularité : doppelganger palier 1/7 | magie antique palier 3/7 Health Point : 5 700 PC (compétences) : 17/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : J'étudie actuellement à Poudlard au sein de la maison Gryffondor et je suis en 7è année.
Lun 24 Avr - 13:03
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
Niveau : 74/100 Health Point : 3 700/3 700 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Pochette magique - avec tout mon inventaire dedans
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Potion Wiggenweld x3, • Philtre revigorant, • Tout dans la pochette magique
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information HJ : ...
Elle souris Emily, en extérieur au moins. Parce qu’elle est comme ça. Parce que ses sentiments à elle, ce qu’elle ne laisse pas remonter à la surface, c’est toujours caché derrière des sourires ou des petites moues. Et plus le sourire est éclatant sans ses moments… Mais ne nous attardons pas une fois de plus sur ce sujet. Parce qu’on mentirais si on disais que présentement, elle est pas heureuse de le retrouver, quelque part. D’avoir retrouver Lily aussi. D’avoir vu aussi Je-Ha et Lily en faire de même. Parce qu’ils sont tous là. Et que ça, c’est le plus important. Elle à vu la mort d’un peu trop près ce soir, Emily. Et ça a laisser une tâche d’ombre tout de même dans son esprit. Quelque chose en plein duel avec d’autre conséquences de la nuit qu’elle repousse. Ou à quoi elle essai de ne pas penser. Parce qu’elle est comme ça aussi. Et que quand ça fait mal, il ne faut pas regarder. Parce que ce qu’on ne vois pas, n’existe pas. Pas vrai ?
C’est un croisement Emily. Un croisement entre une Autruche et un Demiguise.
Comme celui perché sur sa tête qui s’enroule dans ses cheveux pour rester au plus près d’elle. Même si le sang sécher qui s’y trouve lui fera froncé les sourcils. Même si elle est perturbante cette couleur au milieu du blond. Elle aura acquiescé aussi, Emily, quand Noah lui aura donner l’itinéraire. Et quelque part, elle restera accroché à sa façon. Même si elle est molle sa main, même si ses muscles lui donnent l’impression de n’être que du papier de verre. Un bout de tissus, un bout de peau, une main. N’importe quoi en fait. Même dans cette chambre et devant cette armoire, elle à beaucoup de mal à laisser ses mains aller fouiller dans les boules de fringues. Alors il n’y en aura qu’une qui ira. Une qui choisira sans l’accompagnement de son regard. Ironique quand on sait que ses doigts se seront refermer sur des vêtements dans l’armoire de Lily, mais emprunté surement à quelqu’un d’autre comme beaucoup de chose qui s’y trouve. Mais ça sera largement l’affaire. Parce que cette chemise deviendra presque une tunique, voir carrément une robe une fois passer sur ses épaules.
Elle le suivra dans les étages une fois de plus. Et si lui veut la garder au plus près qu’il le pourra, elle n’est pas bien différente. Et se regard, sur cette salle de douche, son sourire aussi, il serait presque amer avant de se tourner de nouveau vers Noah et de sentir le poids de Boo disparaitre de sur son crâne. Elle aura fermé les yeux, quand cette main sera passer dans ses cheveux ou que ses lèvres aurons trouver sa peau. Avec un peu de force peut-être avant de les rouvrir. Restant accrocher, encore, à quelque chose de lui ; n’importe quoi quand elle va faire face au miroir. Elle va le regarder son reflet, mais pas tout de suite, dans l’instant elle va complètement ignoré sa présence. Parce que se qu’on y vois c’est un sourire qui disparait et des yeux qui se vide. Ce qu’on ne voie pas n’existe pas ?
C’est quelques pas en avant, assez pour laisser entrevoir l’ouverture dans son dos qu’on aura pas vu avant, sans doute à cause des mouvements du tissus ou parce qu’il y aura eu d’autre chose sur quoi déporter les yeux. Et si devant ce n’était qu’une griffure, ici, quand elle laisse couler l’eau pour se pencher et en passer un peu sur son visage, voyant de son côté l’eau qui se teinte de rouge quand elle frotte ses joues. Dans son dos on ne verra pas qu’une griffure. On verra une longue cicatrice. Une cicatrice si droite et si net qu’elle ne laisse aucun doute à l’œil aguerrit de sa provenance. Une cicatrice qui n’était pas là avant. Un mauvais souvenir qu’elle devra porter. Mais elle, ne le vois pas. Alors ça va ?
Ça ira moins quand ses yeux se porterons sur son propre reflet. Quand il se déporterons sur ses propres yeux. Avant qu’elle ne regard ce bleu. Ce bleu électrique. Et là c’est comme une claque, un coup de poing dans le ventre. La résolution qui s’envole et toute sa force de caractère ou bien ses barrière avec. Parce que se sont ses yeux qui se remplissent de buée, une buée qui se changera en larme silencieuse, des larmes qui coulent et qui roulent. Elle ne sont pas solitaire et elle s’accompagne de beaucoup trop de chose qui viennent se dessinée dans son esprit. Elle aura un mouvement de recul, comme pour se fuir elle-même. Un pas puis deux avant qu’elle ne se retourne pour le chercher lui. Le chercher et aller se cacher quelque part ? Sans forcément regarder son visage non plus. Parce qu’elle est stratosphérique la dose d’hormone d’Eruptif qu’elle c’est prise, mais que là c’est pas vraiment ce qui prime.
(c) princessecapricieuse
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Cole Sprouse Niveau : 76/100 Points d'Exp : 22501 Health Point : 3 800 PC (compétences) : 20/50 PC (caractéristiques) : 13/50 Scolarité et Métier : J'ai fais mes études à Poudlard, dans la maison Serpentard. Aujourd'hui, je suis en première année à Grimardent dans la résidence des Magilignes.
Lun 24 Avr - 18:31
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
« 04.12.2024 - Cité d'Elis »
Niveau : 52/100 Health Point : 2.600/2.600 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Appareil photo magique (autour du cou) - Briquet magique basique (dans une poche) - Petit sac extensible (+5 objets + 7 potions) : Anneau de protection, nimbus 3000, Pierre soleil, boîte à flemme, pellicule photo magique
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : //
On ne sait pas trop ce qu'il se passe dans l'esprit de Noah. Lui-même, n'est pas certain de le savoir. Il n'essaye pas non plus. Tout comme il ne va pas chercher à comprendre toutes ces sensations. C'est à croire qu'il se contente d'observer depuis qu'ils sont entrés dans cette salle de bain, qu'il sera resté pas trop loin de l'encadrement de cette porte. Pour lui laisser de l'espace peut-être, où le temps de se retrouver ? C'est qu'ils ne sont pas les seuls à l'avoir perdue ce soir, elle s'était perdue elle-même, en même temps que cette vie qu'on lui avait retiré d'un seul coup d'épée. Mais ça là, il n'allait pas analyser, il n'allait pas chercher non plus. Pas tout de suite. Il allait se contenter de l'observer du coin de l'oeil quand il sera venu appuyer son dos contre le mur, fermant la porte d'un geste de la main. Un geste lent dans le silence qui semble s'être installé dans la résidence. Et il va la laisser faire, prendre des secondes pour elle, de petites minutes pendant lesquelles il va juste être là, quelque part. Derrière toujours, en retrait. Avec ses mains qui seront retournées dans ses poches dés qu'il aura laissé glisser le sac de la jeune femme part terre. Quand Boo aura sûrement quitté l'endroit où il l'avait installé. Pour retourner vers sa maitresse qu'il doit observer. A qui il doit poser des questions silencieuse. Pendant que lui, la tête légèrement baissée, il se contente d'observer.
Rentrer dans cet espace, ça avait été presque normal pour lui. Il ne s'était même pas posé la question de savoir si elle avait besoin de ça, ou pas. C'était peut-être un besoin qu'il avait chez lui, de juste s'assurer qu'elle était bien là même si il ne la touchait pas. Pas de ses doigts en tout cas. Parce que de son regard, il retraçait ce qu'il voyait. Son dos, ses cheveux et cette blondeur entachée, cette coupure dans le tissu. Qui laissait voir autre chose quand c'était de l'eau rougie qui tombait presque trop lentement dans ce lavabo. Il en aura fermé les yeux sûrement, détourné le regard peut-être aussi, pour fixer un autre point quelque part. C'est pas tant qu'il ne veut pas être là, c'est plutôt qu'il ne sait pas tout à fait, pourquoi il y est. Et ça se voit peut-être sur ses traits quand il tourne une nouvelle fois la tête. Vers ce dos, vers ce reflet dans le miroir. Vers ce petit bout de femme dont les larmes commencent à couler. Peut-être que c'était pour ça qu'il était là, finalement. Qu'il était entré sans y penser. Juste pour l'accompagner, pour être une présence en cas de nécessité. Parce qu'être seul ça pouvait faire du bien parfois, où faire encore plus de mal ; ça dépendait des cas. Mais on ne va pas le torturer à y penser alors, qu'une nouvelle fois, il l'aura accueilli entre ses bras. Dans une étreinte un peu trop forte peut-être mais pas moins tendre. Le temps de la bercer sûrement, de laisser glisser ses mains dans son dos non loin de cette cicatrice qu'il aura trop bien vue jusqu'à ce qu'elle aille se perdre dans sa nuque, dans ses cheveux abimés par les épreuves de cette soirée. Une étreinte qui le fera se détacher lentement du mur, même si pas totalement. Juste le nécessaire pour qu'il puisse l'accueillir. Même si son visage, si son regard, retournera se perdre plus loin. Sur un point invisible qui lui convient.
Il ne se rendra pas compte sûrement qu'il compterait presque les respirations, les battements de son cœur et presque le nombre de larme qu'il sent glisser sur le tissu. Il ne se rend pas compte, non plus, que cette main s'est perdue dans ses boucles blondes et bleus. Qu'elle est en train de redessiner les contour de son cou, de sa clavicule, son omoplate aussi. Il se rend sûrement pas compte non plus, que son autre main, elle serre plus fort. Comme pour la rapprocher de lui un peu plus encore si c'était possible. En fait, il ne se rend sûrement compte de rien, pas même du temps qui passe dans l'étroitesse de cette salle de bain. Il sait juste qu'il est là, entre ici et ailleurs et que c'est pas pour lui qu'il le fait finalement. C'est pour elle, juste pour elle en ce moment. Parce qu'elle en a besoin et qu'il n'a rien d'autre pour l'accompagner que ces simples gestes.
Laueee
I ate it up and spit it out, I faced it all and I stood tall and did it my way
For what is a man, what has he got ? If not himself then he has naught.
PrettyGirl
Lily L. Potter
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Barbara Palvin Niveau : 91/100 Points d'Exp : 29324 Particularité : magie ancienne palier 1/7 Health Point : 4 800 PC (compétences) : 31/78 PC (caractéristiques) : 30/78 Scolarité et Métier : J'étudie à Poudlard, j'ai été répartie dans la maison Gryffondor. Je suis membre de l'équipe de quidditch au poste de batteuse.
Niveau : 67/100 Health Point : 3.550/3.550 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Anneau de protection (au doigt) - Basket Magiques (aux pieds) - Besace Magique (petite tente magique, sphère magique basique, catapulte ailée, bolide 340, batte de quidditch, skate magique, dodorico) - Couteau de lancé x3 (planqués sur @Je-Ha Kim) - Nid de luxe, Bièraubeurre x6, Cape d'invisibilité, coup de tonnerre, poupée vaudoo, couteau suisse (dans le sac sans fond de @Emily Skeeter)
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- 1 Poudre d'Aneth - Bézoard - Kit pour faire pousser les verrues - Polynectar - Potion contre la toux - Antidote aux poisons courants - Potion d'Hilarité - Potion de restitution - Baume d'asclépiade tubéreuse - Potion de ratatinage
Sort utilisé à ce tour : - Potion utilisée à ce tour : - Objet utilisé à ce tour : - Information(s) Hors-jeu : -
Elle n'aura pas bougé Lily. Tout comme elle avait à peine bouger quand la main de son amie avait quitté la sienne, si ce n'est pour venir encadrer la taille de l'homme contre lequel elle avait envie de se perdre. Peut-être que quelque part, tout au fond, elle sera aussi désolée pour son grand-frère à qui elle n'arrive pas à donner la moindre attention. Sûrement parce que ce n'est pas lui qu'elle a eu la sensation de perdre aujourd'hui. Pas lui qu'elle avait cru mort, abandonné sur un toit dont l'aspect et les formes étaient si floues maintenant que son esprit voulait l'effacer. Ce n'était pas lui, ce grand-frère qu'elle aimait tant, qu'elle avait cru disparu pour de bon. Ce n'était pas, non plus sur lui sur qui, depuis des jours, elle traçait les contours d'un avenir. Un avenir qui avait faillit disparaître en même temps que le mercenaire. Pas totalement, bien sûr, parce qu'elle le portait dans son ventre cet avenir si proche et encore trop lointain mais il aurait été différent, tellement différent. Et peut-être plus triste aussi.
Parce que si elle avait été très claire par le passé, qu'elle le voulait vraiment ce bébé. Qu'elle avait sûrement été prête à l'avoir toute seule aussi. Parce qu'on ne sait jamais ce qu'il pourrait bien se passer. Elle avait imaginé qu'au pire, en cas d'absence, ça se serait fait d'un commun accord. Avec le temps, pas comme ça. Pas alors qu'ils n'étaient même pas arrivés au début de tout ça. Pas alors qu'ils étaient encore deux, au final. Ça, elle l'avait pas vraiment envisagé. Malgré ses paroles, malgré son métier. Malgré ces jours et ces nuits à vivre au rythme de coups tous plus rudes les uns que les autres. Elle ne l'avait pas envisagé. Elle avait eu peur, bien sûr, plein de fois. Pour lui, pour son frère, pour l'enfant qu'elle portait et pour ses amies mais ça... Ne plus les revoir, elle n'était pas allée jusque là. Pas clairement en tout cas. Pas même quand elle se mettait devant eux, pour faire barrière malgré son état. Donc non, elle n'avait pas bougé si ce n'est pour s'accrocher presque autant que ses doigts restaient accrochés à cette paire de lunettes. Tout un symbole en soit, parce qu'elles faisaient parties de lui aussi.
C'est sûrement pour ça que ça lui ferait presque mal quand il se détache doucement. Même si c'est pour passer sa main sur son visage. Même si c'est pour caresser sa joue, même si c'est pour aider leurs lèvres à se rencontrer. C'est juste trop loin alors que d'habitude, c'est toujours trop près. Alors la prise sur les lunettes, elle se resserre un peu plus encore et ce même si elle n'en arrive pas au point de les casser. Cette prise elle reste pendant qu'ils font ces pas ; tellement de pas que ça lui paraît être une éternité, qu'elle cherche un peu plus le contact en venant poser sa tête sur son épaule. Pour continuer à sentir son odeur, même si elle est mélangée à d'autres qui sont beaucoup moins agréables. Elle se sent devenir marionnette en cet instant. Une silhouette dont on tire les fils parce qu'il est incapable de bouger par lui-même. Tout ce qu'elle sait, c'est que cette distance, elle fait juste mal quelque part. Même lorsqu'elle entend l'eau qui commence à couler, même quand elle observe son visage quand il commence à retirer sa veste, qu'il fait de même avec la sienne, avec toutes ces fines couches de tissus qui sont marquées par les événements. Ça fait mal aussi, quand elle rentre seule dans cette baignoire, qu'elle sent l'eau commencer à couler sur sa peau, qu'elle prend une couleur qu'on ne voudrait pas voir à mesure que les fines gouttelettes continuent de rouler.
Elle y tendra la main, vers cette eau trop rouge, posant un doigt dessus pour en observer les dessins. Juste avant de relever les yeux, de l'observer tout en remontant lentement son regard. Un regard qui s'attarde sûrement trop sur ses abdominaux, là où avant, il y avait ce trou dans un t-shirt. Un regard qui remonte lentement, presque perdu jusqu'à son visage dont elle va redessiner les traits sans même en avoir conscience. Les lunettes... Elle n'a toujours pas réussi à les lâcher -et Sephora dit qu'au point ou on en est, elle les auras juste coupées pour qu'elles redeviennent des lunettes de vue et, qu'en plus, on sait déjà qu'elles sont waterproof!- Et c'est sûrement avec lenteur qu'elle va les lever ses mans, même celle qui reste sur cet outil de travail. C'est avec lenteur qu'elle va venir détacher le bouton de ce pantalon, pour le faire glisser lentement en même temps que le sous-vêtements. C'est toujours aussi lentement qu'elle va venir chercher sa main pour l'inviter à y entrer, dans cette baignoire trop grande pour elle toute seule. Qu'elle ira ensuite prendre le pommeau de la douche pour l'accrocher en hauteur. Jusqu'à ce qu'ils puissent être sous ce jet presque trop chaud et pourtant si irréel. Juste pour pouvoir profiter un instant encore de sa peau, de ses bras qu'elle cherche à sentir autour d'elle, tout comme elle vient l'encadrer des siens. Parce qu'il n'y a pas que sur elle que les traces doivent disparaître. Parce que si elles ne sont plus là, alors demain, peut-être que ça ira.
:copyright:️️ Belzébuth
We’re all a little weird. And life is a little weird. And when we find someone whose weirdness is compatible with ours, we join up with them and fall into mutually satisfying weirdness -and call it love- true love.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 100/100 Points d'Exp : 34717 Particularité : doppelganger palier 1/7 | magie antique palier 3/7 Health Point : 5 700 PC (compétences) : 17/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : J'étudie actuellement à Poudlard au sein de la maison Gryffondor et je suis en 7è année.
Lun 24 Avr - 19:44
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Ça ne faisait pas si longtemps qu’il faisait parti de sa vie, Noah. Ça ne faisait pas si longtemps non plus qu’ils avaient appris à se connaitre non plus. Finalement, ça faisait… cinq jours réellement. Car peut-on compter cette première soirée ? Celle qui avait suivis une épreuve au Wizarding World Parc qui, aujourd’hui semble si facile. Peut-on vraiment compter ce lendemain de soirée ? A la sorti de Sainte Mangouste quand ils c’étaient tous retrouver chez les Potter ? Peut-être un peu, pas beaucoup plus non plus. Pas autant que ses cinq derniers jours. Parce qu’aussi riche en émotions qu’ils avaient été, ils avaient aussi rapprocher le petit groupe, pas seulement eux deux. Non. Alors oui, elle était déjà proche de Lily. Un peu moins d’Oriana. Un peu plus de Noah que des deux autres hommes. Cinq jours, pour créer un lien fort. Elle l’avait déjà dit, qu’elle s’attachait vite. Elle donne aussi sa confiance facilement, naïve qu’elle est. Mais aujourd’hui, quand au lieu de choisir de s’isolé pour se cacher, elle choisi de trouver refuge au creux de ses bras, ça veut dire beaucoup. Qu’on s’en rende compte ou pas, c’est plus fort que les mots. Et ça apaise les maux.
Elle serre fort elle aussi, ses bras qui encadre la taille du jeune homme et dont les mains froisse un peu le tissus dans son dos. Son visage, enfouis dans le tissus respire autant ses vêtements que sa peau. Et si les larmes roule et qu’elle se laisse aller un peu plus à la vulnérabilité ce n’est qu’une preuve supplémentaire de la confiance qu’elle lui accorde. Elle qui ne montre pas, ou peu, ce genre de moment. Un peu comme un chat aura toujours du mal à exposer son ventre ou bien à dormir dans un endroit où il ne se sentira pas en toute sécurité. Elle, elle ne peut pas ce mettre à nue devant les autres. Elle l’a fait parfois, avec Prim’. Parfois.
Cette main qui retrace les boucles de ses cheveux. Cette mains qui redessine la ligne de son dos, de sa nuque ou de ses omoplates. Ses bras qui la serre fort. Son cœur qui est presque sur le point d’éclatée. Et ses putain d’hormones d’éruptif qui viendraient presque tout gâché.
Presque, dans ce moment, après quelques minutes quand les larmes n’ont pas fini de roulé mais qu’elle relève quand même les yeux Emily pour chercher les siens. Quand elle monte doucement sur la pointe des pieds aussi, quand elle cherche ses lèvres à lui. Quand ses mains passe doucement de se dos à ses côtes, rejoigne l’avant pour lentement remonter la ligne de ses pectoraux et trouver le chemin de ses épaule, de son cou et de sa nuque où elle ira se perdre comme pour l’attirer un peu plus à elle. Elle qui irait presque s’approcher un peu trop ou un peu trop fort. Elle qui laisse trainé en longueur se baisée avant de rouvrir les yeux pour plonger ses iris verte dans le gris des siens. Une fois encore, aussi transparente qu’un livre quand ouvert tant dans ses moues que son regard. Y’a un soupire là, ou une respiration un peu trop chaude dans cette situation, dans ce contexte. Qui l’aura fait reculer pendant que son regard se fait un peut plus triste, ou du moins que c’est cette émotions-là qui se dessine.
- Je… jme suis pris une dose de phéromone d’Eruptif assez stratosphérique.
Y’a un autre soupire, elle passe la main dans ses cheveux pour les ramener en arrière. Elle tournera les talons aussi sans que l’emprunte de l’émotions ne change dans son regard. Elle n’aura pas dit plus, parce que parler c’est toujours compliqué, que ça s’entend à sa voix. Que ça commence surement à se voir aussi. Sa main elle passera distraitement sur la tête de Boo, qui c’est roulé en boule dans un petit coin du lavabo. Là sans être là, yeux clos tant qu’il sent sa présence à elle. Et elle retombera cette mains pour aller trouver les basket à faire glisser de ses pieds en gardant l’équilibre -relatif qu’on soit clair- parce qu’évidement qu’elle aura pas l’idée de s’appuyer sur le lavabo.
(c) princessecapricieuse
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Park Hyung-sik Niveau : 57/100 Points d'Exp : 15474 Health Point : 2 950 PC (compétences) : 10/31 PC (caractéristiques) : 21/31 Scolarité et Métier : Il ne sait pas d'où il viens, si il a une famille. Il ne sait pas si il à un jour étudier. Il n'y a pas si longtemps il ne savait même plus qu'il était un sorcier. Tout ce qu'il sait, c'est qu'aujourd'hui il travail comme mercenaire pour gagner des gallions.
• Sur lui - 1 Couteau de lancer Basique, Lot de 5 Shurikens Basiques, Lot de 0 Kunai Basiques • Dans le sac d'Emily - Katana Basique, Naginata Basique
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Aucune, il n'en a pas.
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu :
Il aurait presque l’ai distrait en laissant roulé l’eau sur les courbes de la jeune femme, accompagnant le rouge qui teintais le liquide du bout de ses doigts en l’effleurant doucement comme pour aider les souvenirs de cette soirée à s’effacer. Comme pour marqué sa présence à ses côtés aussi. Scrutant son visage, se corps si fort et si fragile à la fois. Cette mains qui par effleurer la surface des quelques gouttelettes rougis. Et ses yeux, cet azure dans lequel il pourrais ce perdre comme on se perd à la contemplation d’un océan. Ses yeux qui se tournerons vers lui, ses mains qui remonterons vers son pantalon on en faire disparaitre l’attache. Glisser le tissus le long de ses jambes avec ceux de son sous vêtement. Il est si intense le regard de Je-Ha qui ne peut pas ce détacher d’’elle.
Il s’y glissera dans cette baignoire, sous ce jet. Il laissera le rideau de cette pluie artificielle recouvrir sa peau également. Parce que c’est au cœur de ses bras qu’il l’aura de nouveau accueillit. Au plus près de lui. Au plus près de ses battements dans sa poitrine. Au plus près de sa peau pour mieux sentir la sienne. Parce que c’est là, comme ça, presque fusionnel qu’ils sont le mieux. Parce que quelque part il en a besoin autant qu’elle. Parce que ce moment, celui où il c’était détourner de cet ange de la mort pour voir une ombre la frapper ça avait été la fin d’une vie. La fin d’un espoir, la fin de tout. La fin du sens même de l’existence à ne pas en douter. Parce que lui-même l’avait vu d’un peu trop près, la faucheuse. Parce qu’ils avaient besoin de ce retrouver, de se rassurer. De ce découvrir et de s’approprier l’autre. D’être certain que la réalité sera celle du moment présent et pas de l’avant, de l’horreur.
Ses bras formerons comme un écrin autours de son corps, ses doigts caresserons doucement sa peau et son visage ira trouver son cou, repoussant quelques mèche de cheveux pour mieux en dégager la douceur de cet épiderme. Ses lèvres s’y poserons, sur cette peau de pêche. Pas par gourmandise, mais par simple besoin de douceur, de mots qui ne seront pas dit cette fois ou par les actes. Il la serre fort, si fort au creux de ses bras pendant que cette douche petit à petit, laisse s’effacer les traces de la peur. Les traces de l’effroi. :!: Justayne
In my eyes,humansare thesame. They are all the same.
But, amongst all the similar humans, she’s somewhatdifferent. How isshedifferent ?
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Cole Sprouse Niveau : 76/100 Points d'Exp : 22501 Health Point : 3 800 PC (compétences) : 20/50 PC (caractéristiques) : 13/50 Scolarité et Métier : J'ai fais mes études à Poudlard, dans la maison Serpentard. Aujourd'hui, je suis en première année à Grimardent dans la résidence des Magilignes.
Lun 24 Avr - 20:52
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
« 04.12.2024 - Cité d'Elis »
Niveau : 52/100 Health Point : 2.600/2.600 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Appareil photo magique (autour du cou) - Briquet magique basique (dans une poche) - Petit sac extensible (+5 objets + 7 potions) : Anneau de protection, nimbus 3000, Pierre soleil, boîte à flemme, pellicule photo magique
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : //
Il ne sait pas vraiment il s'est perdu dans cette contemplation du vide. De ce point près de la douche, sur ce mur presque trop blanc. Tout ça pendant que sa main glisse lentement sur elle, trace des arabesques dans ce silence qui n'est bercé que par les larmes de la jeune femme. Une jeune femme si vulnérable maintenant que ça lui serrerait presque trop le cœur que de la voir comme ça. De la sentir comme ça. D'entendre ses respirations une peu trop saccadées par des larmes qui continuent de rouler. Il ne sait pas, combien de temps ils sont restés comme ça, avant qu'elle n'initie le mouvement, qu'il la sente bouger au creux de ses bras et qu'il baisse la tête lentement. Pour l'observer, pour voir ses yeux, ses lèvres, ses expressions qui viennent se dessiner dans son regard un peu trop embué. On sait tous ce que l'aura des succubes provoque, à quel point il peut s'insinuer en eux, sous les peaux, jusqu'à faire perdre les sens et la raison parfois. Ces hormones d'éruptif que le corps connaissait avant, ou apprenait à connaître. Mais maintenant, maintenant si l'esprit le reconnaît, maintenant que la purge à eu lieu ; qu'ils sont comme des nouveaux nés face à ce nouvel enjeu... Il l'aura embrassé, lui aussi. Aura laissé courir ses lèvres contre les siennes et peut-être, bien malgré lui. Parce que ce n'était pas l'idée première de cet échange. Ce n'était pas pour ça qu'il était réellement entré dans cette salle de bain. Mais, quelque part, ça faisait du bien. De se retrouver comme ça, de se perdre un peu comme ça. D'arrêter d'y penser aussi, quand elle se détache et que son souffle à lui est sûrement devenu un peu plus court.
Parce qu'on ne le sentait pas avant, perdus qu'ils étaient dans les méandres de leurs esprits. Mais là, pourtant, c'était pas non plus complètement ça. Ce n'était pas, que ça. Il y avait autre chose qui se cachait derrière, qu'il ne viendrait pas analyser ni découvrir maintenant qu'il la laissait s'échapper sans que son regard ne la quitte pourtant. Il va les observer, ses mouvements, ses pas mal assurés quand elle s'attache à retirer ses chaussures sans tomber. Il aura un sourire là, quelque chose qu'elle ne verra pas. Il sera presque amusé celui-là, même si dans ses yeux c'est un peu trop de douceur qui se dessine. Des yeux qu'il va fermer quelques instants, le temps d'une inspiration silencieuse ; comme une résolution qui se trace lentement derrière ses paupières closes. Des paupières qui vont s'ouvrir une nouvelle fois, pour que ses iris se repose sur la jeune femme, toujours dans cette même position.
Il ne lui en faudra pas beaucoup, de pas. Pour venir se placer dans son dos, la redresser et la faire pivoter. Sa main se perdra un instant sur sa joue, dans un sourire toujours, qui se veut rassurant. Qui assure, dans le fond, qu'il est toujours présent. Qu'il y ait des hormones ou non, c'est un fait qui ne changera pas. Et c'est avec douceur qu'il va se baisser, pour défaire les lacets de ces baskets, les retirer aussi. De même que ces autres bandes de tissus sur ses jambes. C'est avec délicatesse qu'il va se redresser, passer ses doigts sous la robe, ou ce qu'il en reste et venir la soulever. C'est presque tout aussi lentement qu'il va la faire pivoter à nouveau, poussant de quelques pas jusqu'à atteindre le robinet qu'il tourne et qui laissera couler l'eau. C'est une nouvelle étreinte qu'il va lui offrir quand il écarte quelques mèches de cheveux de sa nuque, qu'il vient y déposer ses lèvres non sans cesser de l'enlacer. Parce que c'est pas un drame ces hormones, qu'ils y sont habitués. Que c'est aussi comme ça, avec ça, que tout a commencé. Et qu'il sait, aussi, qu'ils sont capables de lutter si ce n'est pas cette envie qui prime, si ce n'est pas ce besoin qui naît. Et c'est peut-être ça, l'autre preuve aussi, qu'ils sont en vie. Elle surtout. Elle dont il viendra retracer le contour de cette cicatrice si blanche du bout des doigts et du bout des lèvres aussi, finalement. Quand il se sera penché un peu plus ; quelques instants seulement avant de remonter et de passer une main sous ce jet, comme pour s'assurer que même sous lui, tout irait.
« Froide tu as dis ? » On l'entendrait presque là, le sourire en coin. Presque, ou trop peut-être aussi.
Laueee
I ate it up and spit it out, I faced it all and I stood tall and did it my way
For what is a man, what has he got ? If not himself then he has naught.
PrettyGirl
Lily L. Potter
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Barbara Palvin Niveau : 91/100 Points d'Exp : 29324 Particularité : magie ancienne palier 1/7 Health Point : 4 800 PC (compétences) : 31/78 PC (caractéristiques) : 30/78 Scolarité et Métier : J'étudie à Poudlard, j'ai été répartie dans la maison Gryffondor. Je suis membre de l'équipe de quidditch au poste de batteuse.
Niveau : 67/100 Health Point : 3.550/3.550 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Anneau de protection (au doigt) - Basket Magiques (aux pieds) - Besace Magique (petite tente magique, sphère magique basique, catapulte ailée, bolide 340, batte de quidditch, skate magique, dodorico) - Couteau de lancé x3 (planqués sur @Je-Ha Kim) - Nid de luxe, Bièraubeurre x6, Cape d'invisibilité, coup de tonnerre, poupée vaudoo, couteau suisse (dans le sac sans fond de @Emily Skeeter)
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- 1 Poudre d'Aneth - Bézoard - Kit pour faire pousser les verrues - Polynectar - Potion contre la toux - Antidote aux poisons courants - Potion d'Hilarité - Potion de restitution - Baume d'asclépiade tubéreuse - Potion de ratatinage
Sort utilisé à ce tour : - Potion utilisée à ce tour : - Objet utilisé à ce tour : - Information(s) Hors-jeu : -
Ce serait presque comme un second souffle là. Quand ils sont si près, quand cette eau commence lentement à effacer toutes les traces de ce passé encore trop récent. Comme si les gouttes devenait la pureté qui effaçait les souillures sur les corps. Comme si ça aidait, aussi, à ranger des souvenirs malheureux. Des souvenirs douloureux. Des choses qu'on pas forcément besoin de vivre dans sa vie. Une fois, c'est déjà bien trop. Elle ne le cachera sans doute pas, cette fois, qu'elle en avait besoin de cette sensation. De le sentir sous ses doigts quand elle parcours la fine musculature de son dos. Qu'elle laisse filer son index pour y tracer de fines volutes. Et ça, même quand elle pose sa tête contre son torse. Son front d'abord, en inspirant lentement entre ces gouttes qui les recouvrent lentement. Sa joue ensuite, comme si la distance était encore trop grande. Ses lèvres enfin quand celles du jeune homme viendront se perdre dans son cou. L'étreinte sera sûrement un peu plus forte à ce moment là, quand les sentiments commenceront à filer sans les mots, qu'ils commenceront ou recommencerons à être transmis ; pour trouver une accroche cette fois. Chez elle au moins qui semblait reprendre, en partie, la possession de ses moyens.
On ne va pas mentir, il y aura sûrement eu une larme supplémentaire, qui sera partie avec l'eau de cette douche qui continue de rouler sur les peaux. Qui finira par disparaître à mesure que le sang ne deviendra plus qu'un mauvais souvenir. « komawoyo » d'être là, d'être toi. D'être la pour moi aussi. Il pourrait regrouper tellement de choses ce simples mot. Il en cache sûrement bien d'autres aussi. Des mots qu'on dit rarement, qu'on entend rarement aussi. Qu'on ressent plus qu'on ne les exprime parce que ça a quelque chose de plus charmant, de plus doux aussi. Et pourtant là, là au creux de ses bras, elle aimerait les prononcer encore une fois. Comme sur cette plage, dans cette eau. Dans cet instant où il n'y avait eu qu'eux dans une petite bulle.
Cette pensée, si subtile autant qu'elle est futile la fera se rapprocher un peu plus encore. Jusqu'à ce que plus aucune gouttellette ne puisse s'imiscer entre eux. Jusqu'à sentir jusqu'au moindre de ses mouvements. Sentir ses propres frissons aussi qui viennent s'imprimer doucement sur sa peau. Comme autant de réponses à un sentiment si puissant. « Nuh eupsshi motsarah » Elle est allé le cherché loin celui-là -putain sa joueuse aussi- et elle sait que ce ne sera pas parfait, que ce n'est peut-être pas la bonne prononciation non plus. Qu'elle n'a pas dû parcourir assez de livres dans tout mahoutokoro pour savoir si c'est le bon lieu pour l'utiliser maintenant. Si ça transmet seulement son sentiment, cette vérité qui va peut-être au-delà de l'amour. Et, ça non plus, elle ne pourra pas le cacher. Quand elle relèvera son visage vers lui, que le rose lui montera légèrement aux joues alors qu'elle doit se décaler lentement. Pour éviter toutes ces gouttes qui viennent brouiller sa vue, son visage à lui. Parce qu'elle a juste besoin de l'imprimer dans sa rétine un instant encore.
C'est là, juste à cet instant, qu'elle se penchera lentement pour venir lâcher ses lunettes au-dessus d'un pantalon abandonné plus loin. C'est à ce moment qu'elle le rejoindra à nouveau, qu'elle passera ses doigts sur son torse jusqu'à les glisser sur son cou. Là qu'elle viendra chercher un baisé qui en dit encore plus. Qui semble vouloir hurler aussi, a l'abandon et à bien d'autres sentiments également. Elle le ferait presque trop durer celui là alors que le bout de sa langue vient doucement jouer avec la pulpe de ses lèvres. Ca fera monter un peu plus cette couleur rosée, bien moins que d'habitude cependant. Bien moins que cet autre moment où elle va laisser leurs lèvres se détacher, laissant ses iris partir à la recherche de ses yeux. Des mots, d'autres mots. Des murmures à nouveau même si on les entendra distinctement : « Saranghaeyo » d'autres syllabes toujours dans cette langue qui lui est étrangère mais qui lui ressemble, à lui. Un autre choix de mot qui, au fond, veut dire la même chose que précédemment. Une vérité qui va se graver là, pendant quelques instants. Avant qu'elle ne cherche à reposer son visage contre lui. Quelque part, c'est une autre forme de soulagement. De pouvoir le dire encore une fois, une nouvelle fois. Juste cette fois.
:copyright:️️ Belzébuth
We’re all a little weird. And life is a little weird. And when we find someone whose weirdness is compatible with ours, we join up with them and fall into mutually satisfying weirdness -and call it love- true love.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 100/100 Points d'Exp : 34717 Particularité : doppelganger palier 1/7 | magie antique palier 3/7 Health Point : 5 700 PC (compétences) : 17/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : J'étudie actuellement à Poudlard au sein de la maison Gryffondor et je suis en 7è année.
Mar 25 Avr - 2:34
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
Niveau : 74/100 Health Point : 3 700/3 700 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Pochette magique - avec tout mon inventaire dedans
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Potion Wiggenweld x3, • Philtre revigorant, • Tout dans la pochette magique
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information HJ : ...
C’est fou comme c’est chiant à retirer des chaussures, des baskets. Ou bien c’est parce qu’elle a le pas, les gestes mal assurée. Parce que c’est pas tout à fait dans cette tâche qu’est son cerveau et qu’on sait qu’elle à la capacité de devenir un peu gauche parfois -souvent- quitte à s’emmêler les pieds toute seule, ou se prendre des murs au réveil avec les yeux pas encore tout à fait ouvert. C’est qu’elle en aurais rougis, de ses derniers mots. Parce que c’était en quelque sorte un aveux un poil trop osée pour elle. Mais aussi une vérité. Et on sait aussi que chez Emily, la vérité dans les mots à tendance à sortir toute seule.
Elle ne l’a plus regarder son reflet, elle aura juste replacer une mèche de ses cheveux derrière son oreille avant de sentir les main de Noah de nouveau sur ses épaules pour la redresser. Quand elle pivotera pour mieux le voir, se laissant complètement porter par les mouvements de l’anciens Serpentard. Elle aura une forme de « o » sur les lèvres, cette main toujours suspendu entre une mèche blonde et cette oreille qui était censé l’accueillir. Elle aura suivis les mouvements du regard. Sans vraiment bouger en réalité. C’est une autre façon de perdre pied, ou son cerveau. Quand elle fini par être déchausser. Encore plus quand elle sent ses chaussettes si grande qu’on pourrais les appeler « bas » glisser le long de ses jambes. Et encore plus quand son regard suis la remontrer de Noah et que la robe passe par-dessus sa tête. Avec cependant beaucoup plus de facilité que si elle l’avait fait d’elle-même, il faudra le reconnaitre.
C’est sa lèvre inférieur qu’elle viendra mordre quand elle sent cette chaleur de plus en plus familière venir éclairée ses joues et irradiée bien vite tout son visage. Quand elle suivra, une fois de plus, le mouvement pour voir se refléter dans le miroir ses sous-vêtements, tâché par endroit mais dont on peut encore devinée les dessins enfantins. C’est un frisson quand l’étreinte se ressert et qu’elle sentira ses lèvres se poser sur sa nuque. Qu’il y à comme un switch, une nouvelle lueur qui s’allume dans son regard ou bien qui brille un peu plus fort. Qu’elle à un soupire bien malgré elle et se sentirais presque comme du chewing-gum là, dans ses bras. Sa première main remonte pour venir doucement ce poser sur un des bras du jeune homme. Quand la seconde attendra encore un peu alors qu’il dépose quelques baisée un peu plus bas, là où se trouve une cicatrice qu’elle ne vois pas, qu’elle n’a pas vu. C’est une nouvelle nuée de… colombe qui bas des ailes, ou leurs retour. Ou bien c’est les paillettes ? On les connais maintenant, pourtant à chaque fois c’est comme une redécouverte, à chaque fois ça reste cette même senssation et ça garde cette part de surprise.
La voilà, sa seconde main qui remonte un peu plus pour trouver le chemin de sa nuque dans la tête de la jeune femme se laisser porter, poser sur le torse du jeune homme. C’est un sourire à travers le miroir. C’est une moue juste après. Froide ? ça existe encore le froid ? C’est quoi ? ça se mange ? Elle visualise vraiment pas, là. Et ça doit se voir à son expression, d’abord devant cette glace puis quand elle tourne légèrement pivote pour que ses yeux trouve les siens. Non mais là, Emily elle capte plus rien en réalité. Parce que c’est pas juste un peu d’aura qu’elle c’est manger dans les dents c’est carrément un bon gros shoot d’un véritable As(s). Donc effectivement entre la purge et… et le chat ? Il suffisait d’une allumette pour que la joueuse perde complètement les commande.
Elle se sera de nouveau mordu la lèvre inférieur. Même si y’a aucun mot qui s’échappe, mais est-ce qu’il y en a vraiment besoin quand on peut lire en elle comme dans un livre ouvert ? Ou quand elle se dresse un peu plus, se penche un peu plus vers l’arrière pour aller retrouver ses lèvres et en capturer l’essence. Froid ? Quel froid ? De la buée plutôt non ? Enfin quoi que… C’est pas non plus Rose et Jack à bord du Titanic.
(c) princessecapricieuse
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Elle est douce cette étreinte. Aussi doux qu’elle laissera filé bien des idées, des sentiments. Des mots qui ne seront pas dit. Des actes. Celui ce la garder tout contre lui, celui de l’envelopper dans une forme d’apaisement, ou d’essayer en tout cas de l’y accompagner. De se rassurer, l’un et l’autre. Qu’ils sont rentrés, qu’ils sont ensemble. Que tout ira. Que tout va ? C’est le corps de la jeune femme qui bouge, qui se rapproche un peu plus. Quand il peu gouté un peu à sa peau, y déposer d’autre mots à travers quelques baisées doux, tout doux. Si doux.
Et puis un mot. Un mot qui le fera sourire. Un mot qui l’attendrira. Un mot qu’il comprendra au-delà de sa définition propre. Un mot.
Trois mots, trois autre mot qui l’auront surpris quand il ira poser son regard sur elle, reculant légèrement la tête pour mieux resserrer l’emprise autour de son corps. Trois mots qui irons s’imprimer quelque part en lui. Peu importe l’accent, peu importe les fautes de langue. Peu importe se genre de futilité face à la force de cette essai, de cette tentative ou de ses trois mots.
Elle s’échappe, pas longtemps, mais pourtant ça lui aura causer comme un manque, une forme de violence. Avant que ce que toute son âme ne réclame il ne le retrouve. Son corps, son cœur, son âme. Et ses lèvres, ses lèvres si douce contre lesquels il presse les siennes. Cette pulpe si douce qu’il veut s’approprier encore et encore sans jamais pouvoir imaginé un instant en être séparer ou bien pouvoir s’en lasser. Un baisée pour remplacer les mots, ou tous les dires autrement. Les mots.
Un mot.
Un mot, un autre pour venir compléter les autres ? Pour élargir un sourire sur le visage de Je-Ha. Pour lui donner cette force soudaine, cette ardeur. Celle de remonter une main sur son visage, celle d’en glisser une au creux de ses reins. Celle de la faire reculer peut être un peu, ou un peu trop quand le dos de la demoiselle rencontrera surement le froid d’une surface. Mais que lui, se donnera pour mission de diffuser toute la chaleur et la puissance de ses sentiments comme une réponse par les gestes, une fois encore. Elle est sexy, Lily, quand elle parle sa langue. Et raisonnablement la joueuse peut dire que Je-Ha ça lui aura fait perdre son cerveau tellement c’était mignon, tellement c’était… C’était beaucoup.
Il est passionnée ce baisée, ardent même j’oserais ajouté. Il vient scellée les cœurs pour les faires battre à l’unisson. Il viens déposer toute la force de cet amour. Les promesses de ce futurs. Tout, tout un monde. Tout son monde, tout leurs monde. Celui qu’ils construirons. A deux. C’est tout ça qu’il viendra imprimé contre ses lèvres, à leurs commissure. Sur ses joues, les traits délicat de son visage et les contours de sa mâchoire. Et ses lèvres, encore. Parce qu’il ne faudrait pas en rester trop loin trop longtemps pendant qu'il continue de la serrer fort, si fort au creux de ses bras. :!: Justayne
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On les négliges souvent, les mots. Leur force, leur faiblesse, leur importance par moment. Et leur dangerosité égalemment. Parce qu'ils peuvent être durs, les mots. Ils peuvent être violents égalemment, blessants aussi. Et parfois, ils sont simplement justifiés, ils sont justes aussi. Ils sont puissants. Ils véhicules des idées, des sentiments, des perceptions. Un ressenti. Quelque chose qu'on a besoin de dire sur l'instant, parce que c'est parfois trop lourd à porter. Ou juste parce qu'on en a envie. Ca avait été le cas, ici. Dans cet instant où elle en avait laissé couler tellement. Des petits mots tout doux, qui viennent se poser comme des plumes sur un cœur. Des petites plumes aussi douces que la pensée mais pas moins fortes cependant. On ne va pas le nier, c'était sûrement l'effet escompté lorsqu'elle les avaient prononcé. Sûrement parce qu'elle avait voulu donner une forme à tout ces mouvements, tout cet échange, tout ces échanges. C'était une manière pour elle de l'atteindre autrement, plus profondément peut-être aussi. Pour avoir cette impression qu'elle pourrait le garder égoïstement toute une vie. Et c'était bon aussi.
Si bon de le sentir y répondre, même si il empruntait une chemin qui était différent. Si bon de le sentir vibrer tout contre elle également. De voir ce sourire attendri qui s'élargit. De capter ce regard dans lequel elle vient se perdre, cette couleur que prennent ses iris quand il la regarde si intensément. C'est une autre façon qu'il a de s'exprimer, une qu'elle arrive à comprendre, une qui semble l'emporter. Surtout quand il la serre un peu plus fort, que ses doigts viennent carresser sa peau pour remonter lentement sur son visage. Une paume si chaude dans laquelle elle laissera reposer sa joue. Une autre, aussi passionnée quand c'est au creux de ses reins qu'elle vient se poser. Elle a du mal à s'en détâcher, de ce regard. De tout ce qu'elle y voit passer en quelques instants seulement. Elle a l'impression qu'elle pourrait s'y perdre, jusqu'à en perdre le souffle et chacun des fils de sa pensée. Puis c'est cette sensation de froid dans son dos, ce court instant qui viendrait presque la cueillir par surprise.
Mais pour elle, maintenant, il n'en est pas moins éclatant cet instant. Il fait naître une myriades de couleurs, comme autant de sensations qui surgissent pour électriser son cœur. Sous ses lèvres qui viennent parcourir les moindres fragments de son épiderme. Elle a ce frisson qui longe son épine dorsale, y imprimant un peu plus la ferveur de ses sentiments à lui. Quelque chose qu'elle accueille à bras ouverts quand ses paumes glissent lentement sur sa taille pour entâmer l'ascension de son admonen. De ses muscles si fins et si puissants en même temps. Elle va les laisser glisser, ses mains, sûrement trop rapidement et dans une forme d'empressement, de hâte. D'envie de le sentir toujours un peu plus et un peu plus fort quand elle vient encadrer son visage de ses mains, comme pour l'accompagner un peu plus dans son exploration. C'est un soupir qui vient se perdre contre la barrière de ses lèvres quand elle à l'impression de le ressentir enfin pleinement. Que ses gestes font disparaître tous les doutes, toutes les peurs aussi pour faire naître et grandir quelque chose de nouveau. Quelque chose de plus beau et non moins différent. C'est un peu comme une page qui se tourne pour en laisser découvrir une nouvelle. Le chapitre d'un livre qui s'ouvre et qu'on souhaite parcourir avec avidités. Autant pour en découvrir chaque ligne et chaque contours que toutes les péripéties qu'il pourrait réserver.
C'est sa cuisse qui remonte lentement contre la sienne, comme un appel ardent au rapprochement. A ce besoin de toujours plus, toujours plus fort et avec toute cette ferveur qui les caractérisent tant. C'est la simple envie de le laisser prendre possession de tout son être, de tout son corps pour continuer à le ressentir encore, lui, tellement proche, toujours plus proche et un peu plus encore également. Ce sont ses doigts qui redescendent lentement entre ses omoplates pour y laisser de fines traces. Une nouvelle forme de souvenirs qui viendront effacer les anciens. C'est son visage aussi, qui vient se cacher dans le creux de son cou quand elle laisse ses lèvres courir le long de son épiderme, de cette peau si douce au parfum si suave, presque enivrant. C'est une forme d'abdication, d'abjuration, d'abandon pur et simple quand elle repart finalement à la recherche de ses lèvres, d'une profondeur nouvelle qu'elle pourrait trouver lovée au cœur de cette pulpe alors que l'une de ses mains vient se glisser contre sa nuque, dans ses cheveux humides alors qu'elle l'enlace un peu plus, le serre un peu plus. Jusqu'à avoir cette envie de se perdre contre lui. Dans un endroit qui n'est qu'à eux, une place qui n'est que pour eux. Tout un monde qui ne se dévoilera qu'à eux.
:copyright:️️ Belzébuth
We’re all a little weird. And life is a little weird. And when we find someone whose weirdness is compatible with ours, we join up with them and fall into mutually satisfying weirdness -and call it love- true love.
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Cole Sprouse Niveau : 76/100 Points d'Exp : 22501 Health Point : 3 800 PC (compétences) : 20/50 PC (caractéristiques) : 13/50 Scolarité et Métier : J'ai fais mes études à Poudlard, dans la maison Serpentard. Aujourd'hui, je suis en première année à Grimardent dans la résidence des Magilignes.
Mar 25 Avr - 22:38
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
« 04.12.2024 - Cité d'Elis »
Niveau : 52/100 Health Point : 2.600/2.600 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Appareil photo magique (autour du cou) - Briquet magique basique (dans une poche) - Petit sac extensible (+5 objets + 7 potions) : Anneau de protection, nimbus 3000, Pierre soleil, boîte à flemme, pellicule photo magique
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : //
Effectivement, c'est peut-être froide qu'elle devrait être prise, cette douche. Histoire de leurs faire retrouver un peu de leurs sens, un peu de cette réalité de laquelle ils semblent bien trop vite s'être évadés. Elle, comme lui en réalité. Lui dont les mains redécouvre les formes de la jeune femme, ses hanches, son ventre ; des tracés presque trop précis. Comme si chaque touché était prémédité. Qu'il était étudié pour faire naître en elle des sensations qu'ils ont déjà partagés mais avec une nouvelle intensité. Oui bien c'est autre chose encore et il est juste en train de devenir fou, de redevenir lui peut-être. C'est qu'il n'est pas encore tout à fait là, Noah. Où que, plutôt que de revenir, il a choisi de se perdre dans un autre endroit qu'il connaît. Un lieu où il peut se retrouver avec elle.
Sûrement que, quelque part au fond de lui, il souhaite simplement qu'elle se sente bien. Qu'elle se sente importante comme souvent mais surtout en vie. Et si c'est sous ses mains que ça peut naître, sous ses douces carresses qui peignent une nouvelle fresque sur sa peau, alors pourquoi pas. C'est qu'il n'ira pas jusqu'à analyser ça alors qu'il prend simplement le temps d'en profiter, lui aussi. De se laisser glisser dans cet instant comme si il était un peu perdu dans une forme de contemplation. Parce qu'il la regarde, Emily. Sûrement plus que ce qu'elle imagine et presque tout le temps quand elle est à proximité. Des coups d'oeil qu'elle voit ou non, qu'elle choisi d'ignorer peut-être également. Mais, au cours de ces cinq jours, peut-on encore les comtper ? Toutes ces fois où il s'est retourné, s'est inquiété, à laisser ses yeux trainer. Pour s'assurer qu'elle allait bien quelque part, qu'elle gérait comme elle voulait toujours le faire croire. Elle donnaait le change Emily, elle souriait souvent même dans des moments où l'on n'en attendait pas tant.
Et là encore, dans cette salle de bain. Il prend le temps de l'observation entre deux contacts, deux passages de ses lèvres sur sa peau, deux caresses aussi. Il est attentif, Noah. Presque autant qu'il sait prendre le temps d'observer, d'analyser ou de comprendre. Et cette fois ci ne fait pas exception à la règle. Parce que, comme souvent, l'important c'est elle plus que lui. Parce qu'il le sait aussi, au fond, qu'il se laissera emporter quelque soit la route qui sera empruntée -puis c'est comme ça qu'il prend son pied c'est pas de ma faute!- C'est peut-être pour ça qu'il laissera cette recherche de ses lèvres en suspens quelques secondes. Le temps de sonder son regard et les traits de son visage avant de faire l'autre moitié du chemin. De venir resserrer sa prise sur sa taille jusqu'à retracer la cambrure de son dos pour retirer le sous-vêtement qui redessine sa poitrine. C'est sûrement pour ça que le baisé sera peut-être plus doux que ce qu'on pourrait attendre également. Comme si il cherchait à maintenir au loin n'importe quelle forme d'empressement. Parce que c'est important aussi de prendre le temps. Même si c'est parfois suffoquant, même si ça appel à plus également.
Le sous-vêtement finira par disparaître entre ses doigts, rejoignant le sol comme le reste des vêtements de la jeune femme avant que ses main ne rejoigne son dos une nouvelle fois. Ses lèvres elles, auront certainement refusées de quitter les siennes et le refusent encore alors qu'il remonte une main à la naissance de sa nuque, inclinant un peu plus son visage pour intensifier cet échange. Un échange qui lui couperait presque ce souffle presque trop erratique alors que l'eau, plus loin, continue de couler dans le vide.
Laueee
I ate it up and spit it out, I faced it all and I stood tall and did it my way
For what is a man, what has he got ? If not himself then he has naught.
PrettyGirl
Emily Skeeter
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Dove Cameron Niveau : 100/100 Points d'Exp : 34717 Particularité : doppelganger palier 1/7 | magie antique palier 3/7 Health Point : 5 700 PC (compétences) : 17/103 PC (caractéristiques) : 00/103 Scolarité et Métier : J'étudie actuellement à Poudlard au sein de la maison Gryffondor et je suis en 7è année.
Mer 26 Avr - 4:25
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
Niveau : 74/100 Health Point : 3 700/3 700 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Pochette magique - avec tout mon inventaire dedans
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Potion Wiggenweld x3, • Philtre revigorant, • Tout dans la pochette magique
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information HJ : ...
Elle était douce Emily, elle était toujours douce ou très souvent. C’était une part intégrante de sa candeur, de se qu’elle était. Parce que Emily c’était quelqu’un d’affectueux et qui quelque part ne demandais rien d’autre non plus. Privée de tendresse, c’est sans doute ce qui lui avait le plus manqué. Alors bien sur elle pouvait le trouver depuis quelques mois avec Boo. Mais c’était quand même pas la même chose que le contact d’un autre être humain. Il y avait Prim aussi, forcément. Et avec le temps il y avait eu Lily aussi. Parce que la douceur, la tendresse ou le besoin d’affection n’a pas forcément besoin d’être comblé par le touché en soit. Des fois c’est simplement une présence, un sourire, un rire. Le partage et la complicité. L’amitié. La confiance. Le partage.
Mais dans les bras de Noah ? Elle ne s’en lassais pas. Que ce soit doux, ou que ça le soit moins. Son cœur était souvent au bord de l’explosion dans les bras de son a.m.i. On parle souvent des envolées de colombes, des paillettes ou des feux d’artifice. Mais c’est encore peu de mots, un lexique pauvre pour décrire les milliers de frissons. Elle la sentais bien, la vie, quand elle était avec lui. Et quand on y pense, aux creux de ses bras la tendresse ne la quittais jamais. Pas plus que les gestes affectueux et les regards qui en disent tout autant. Elle oubliait tout, ou tout ce qui pouvais obstrué son esprit. Elle ne gardait que le moment présent. L’instant et ce qui l’accompagnait et ça faisait du bien. Ca ne réchauffais pas que le corps, mais le cœur aussi.
Mais c’était aussi un sentiments, des sensations qu’elle avait peur de voir disparaitre. Elle n’y pensais pas tout de suite. Ou peut être que si, dans ce moment suspendu quand elle était parti à la recherche de ses lèvres une nouvelle fois. Qu’il avait laisser le moment en suspens : inaccessible l’espace d’un instant. Un moment pour se mordre la lèvre inférieur, pour voir quelque part l’informulable naître au fond de son regard, bien caché derrière les étincelles qui brillais dans ses iris. Un nouveau regard de « chat poté ». Deux grands yeux qu’on décrit souvent qui ce fermerons quand enfin le contact arrivera, cette nouvelle forme de possession, d’abandon. Quand ses mains remonterons pour s’enrouler au plus près de lui qui enserre sa taille. Un touché qui à besoin de sentir le contact de sa peau sous ses doigts. Il n’y à pas que la fièvre causer par l’aura d’une succube dans l’échange, finalement il n’y a peut-être jamais eu « que ça ». Il ne peut pas y avoir « que ça ». Pas chez Emily.
Alors elle est douce Emily, elle est tendre dans cette échange. Elle prend le temps, celui de laisser s’envahir par les sensation, les émotions. Et les sentiments aussi. Celui de voir le tissus disparaitre petit à petit sans jamais vouloir rompre pour autant le contact. Parce que si sa poitrine viens à être mise à nue, ses mains à elle irons se perdre dans les boutons de cette chemise pour les défaire un a un tout en délicatesse et jusqu’à ce que le dernier ne soit plus, jusqu’à ce que ses mains remonte avec tout autant de volupté le long des lignes de ses abdominaux, de ses pectoraux et jusqu’à ses épaules pour faire glisser le tissus dans une certaine forme d’aménité. Laissant le bout de ses doigts s’attarder a frôlé la peau de l’ancien Serpentard quand elle aide le vêtement glisser petit à petit le long de ses bras.
Et tout exploratrice que seront ses lèvres, tout intense que deviendra cet échange quand son corps fini par retrouver la chaleur du sien jusqu’à ne plus vouloir laisser le moindre souffle d’air capable de s’insinuer entre eux. Son souffle sera sans doute plus court aussi, plus chaud sans doute. La langueur de l’échange laissant lentement monter une douce chaleurs qui se repend dans tout son corps quand elle glisse ses mains dans la nuque du jeune homme, quand elle irais presque se mettre sur la pointe des pieds pour s’assurer de rester au plus près de lui. Elle l’en aurais presque oublié, cette eau qui coule et qui roule et qui berce comme un bruit de fond.
Ce son ses mains qui descendrons avec tout autant de lascivité pour parcourir cette fois son dos, la le long de ses côtes et trouvera le chemin d’un autre bouton, celui d’un pantalon qu’elle fera sauter, lui aussi pour l’aider à quitter les jambes du jeunes homme et tomber en un petit tas de tissus à ses pieds. Là encore, sans jamais quitter ses lèvre, cette délectation. La sensualité de cet ivresse. Celle qui fait battre un peu plus son cœur. Elle se sent vivante Emily, plus que jamais. Au creux des bras de Noah.
(c) princessecapricieuse
Naïveté n'est pas stupidité.Dans son silence, se cache la force d'une lionne, la tendresse d'une fleur, et la poésie d'un roman inachevé.
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Photomaton : Feat. : Park Hyung-sik Niveau : 57/100 Points d'Exp : 15474 Health Point : 2 950 PC (compétences) : 10/31 PC (caractéristiques) : 21/31 Scolarité et Métier : Il ne sait pas d'où il viens, si il a une famille. Il ne sait pas si il à un jour étudier. Il n'y a pas si longtemps il ne savait même plus qu'il était un sorcier. Tout ce qu'il sait, c'est qu'aujourd'hui il travail comme mercenaire pour gagner des gallions.
• Sur lui - 1 Couteau de lancer Basique, Lot de 5 Shurikens Basiques, Lot de 0 Kunai Basiques • Dans le sac d'Emily - Katana Basique, Naginata Basique
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Aucune, il n'en a pas.
Sort utilisé à ce tour : ... Potion utilisée à ce tour : ... Objet utilisé à ce tour : ... Information(s) Hors-jeu :
Poser des mots, une façon de s’exprimer. La plus simple en un sens. La plus difficile aussi. Car finalement, l’usage des mots était une forme de mise à nue. Bien sûr, tout dépendais du contexte et de leurs utilisation. Les mots pouvais être mensonge. Ils pouvait être manipulation. Ils pouvaient exprimer la peur, la peine, la joie, la détermination, la tendresse. Mais aussi l’amour. L’amour, la naissance des sentiments ou bien leurs cimentation. La démonstration de ce que l’esprit cache et ne laisse entrevoir parfois qu’à travers les regards, les gestes aussi. D’autres formes de communication tout aussi parlant, tendre. Je-Ha, longtemps solitaire n’usait pas si bien que sa des mots. Ceux de chez lui peut-être, ou pas. Ceux d’ailleurs ? Il savait faire, sûrement. Mais lui, sa manière de parler et de s’exprimer ? C’était à travers les gestes, la présence. L’action. Car c’est dans cette dernière qu’il vivait, qu’il savait faire le mieux aussi. Il les avait eu ses mots, pour elle. Dans l’immensité de cet océan, le regard tourner vers l’horizon comme une métaphore de ce futur qu’il se laisser à rêver à ses côtés. Mais aujourd’hui, c’est au-delà des mots et des paroles qu’il aura choisi de lui répondre. D’exprimée la profondeur de ses sentiments et toute l’intensité de cet amour, flame dévorante mais qui ne consume pas. Ce n’est pas une météorite, une étoile filante. C’est un feu éternel, celui d’un marathon et non d’une course. Un qui ne vacille pas même face au vent, au orages et à la tempête. Un qui continuera de les éclairée même dans les plus sombres passage de leurs vies, de leurs épreuves.
C’est sans doute toute cette certitude qu’il exprime quand ses lèvres imprime un peu plus la saveur des siennes, redécouvre encore et encore, inlassablement chaque grain de sa peau comme pour y imprimée aussi toute la force de se qu’il ressent dans l’instant, dans ceux d’avant et à venir aussi. Pour elle, pour lui, pour ce bébé à naître et pour toute cette vie, cette promesse. Aussi effrayante et excitante soit-elle. Car peut importe les points d’interrogation, peut importe aussi les doutes et les craintes. Ils sont survivants. Tant dans leurs corps que dans leurs esprits. Tant individuellement qu’ensemble. Pour toujours mieux se retrouver sans cette bulle qui n’appartiens qu’à eux. Qui ne vois qu’eux. Ou finalement il n’y à qu’eux qui compte réellement.
Et c’est l’envie de toujours la sentir au plus près de lui, dans cette fusion qu’est leurs relations, que son souffle se sera raccourcit. C’est la force de leurs baisées, ceux qui exprime tant et tout. C’est dans le désir aussi, l’envie. La sienne à lui. Mais aussi celle de la jeune femme qui ce se montre presque avide elle aussi de gouter à nouveau les saveurs de sa peau, celle des sentiments, celle de l’amour, celle d’eux. Il ne détache ses lèvres des siennes que pour venir imprimer d’autre baisées, d’autres marques. D’autres mots qui ne sont pas dit mais qu’on pourrais presque lui entendre dire à travers le chemin des tentations de la communion des esprits, des corps mais des cœurs aussi.
Se son ses mains qui glisse le long de ses courbes, c’est sa bouche qui ne peut plus se passer de l’échange. C’est ce regard quand ils reprennent leurs souffle emprunt à tant d’intensité. C’est cette main qui glisse le long de la cuisse de la jeune femme comme pour l’aider à se rapprocher encore d’avantage. C’est la seconde qui ira au creux de ses reins comme un second point d’appuie quand son désir de la posséder, de sentir de nouveau leurs fusion s’approprier tout son être. Parce que si elle est sienne. Il est sien également. Parce que si son désir à elle se marque de l’envie brulante qu’elle montre et démontre, le sien y fait échos. Parce qu’ils ont besoin, ce soir, de s’appartenir encore une fois. Pour effacer les traces du pire qui ne sera pas arriver. Pour ne laisser plus que le souvenir de cet avenir vers lequel ils se tournent. Un lendemain, une vie. Une éternité aussi. Et c’est encore une fois toute la force de son amour, de tout ce qu’elle représente qui guiderons cette nouvelle valse des corps, valses des corps. Sous ce jet qui petit à petit remplit cette pièce de buée. Buée qui pourrais également être le produit de ses souffles court, brulant. De ses inspirations parfois saccadée et de se besoin de plus, toujours plus. Toujours plus près, toujours plus intensément. Toujours plus suave aussi. Toujours plus doux. Toujours plus langoureux, tendre, amoureux. Toujours plus eux. :!: Justayne
In my eyes,humansare thesame. They are all the same.
But, amongst all the similar humans, she’s somewhatdifferent. How isshedifferent ?
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Cole Sprouse Niveau : 76/100 Points d'Exp : 22501 Health Point : 3 800 PC (compétences) : 20/50 PC (caractéristiques) : 13/50 Scolarité et Métier : J'ai fais mes études à Poudlard, dans la maison Serpentard. Aujourd'hui, je suis en première année à Grimardent dans la résidence des Magilignes.
Jeu 27 Avr - 13:04
Un bon ami écoute vos aventures. Un meilleur ami les fait avec vous.
« 04.12.2024 - Cité d'Elis »
Niveau : 52/100 Health Point : 2.600/2.600 Objet(s) que vous avez sur vous :
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- Appareil photo magique (autour du cou) - Briquet magique basique (dans une poche) - Petit sac extensible (+5 objets + 7 potions) : Anneau de protection, nimbus 3000, Pierre soleil, boîte à flemme, pellicule photo magique
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : //
Il y a de belles choses en ce monde, des choses que l'on ne prend pas forcément la peine de noter. Des choses qu'on prend le soin d'ignorer. Et tout comme il y a de belles choses, il y a de belles personnes, des âmes trop pures sûrement pour la dureté que peut revêtir cette vie. Son égo, bien que puissant, n'ira pas jusqu'à dire qu'il fait partie de ces gens. Emily, en revanche... Elle est de ces âmes qu'on devrait souhaiter connaître un peu plus profondément. Que ce soit pour ce qu'elle apporte aux autres ou ce qu'elle véhicule simplement. Pour lui, c'est comme une bouffée d'air frais. Quelque chose de doux et qui peut pourtant disparaître à tout instant. C'est quelque chose dont il faut prendre soin, qu'on peut s'aimer à cultiver aussi, juste pour le plaisir de continuer à la voir fleurir. C'est beaucoup de choses Emily et d'autres sentiments qui ne seront jamais dis. Parce que le faire pourrait ruiner l'équilibre établit.
Alors avec elle, encore une fois, il va prendre le temps. Comme si c'était la première fois à nouveau et sûrement pour enlever toutes les images que pourraient avoir été cette nuit. Pour en profiter lui aussi, parce que la vie est fragile et qu'elle peut s'arrêter à tout moment. Si l'idée était présente avant, elle est devenue réalité cette nuit et sûrement pas que pour lui. Mais ça, ça restera loin de son esprit alors qu'il redécouvre une nouvelle fois la saveur de ses lèvres, de ses traits, du velouté de sa peau. Et ça, avec toute l'intensité dont il est capable. Même si ça restera doux, toujours plus doux quand il sentira les boutons de sa chemise disparaître les uns après les autres. Encore plus doux quand il aura ce frisson lascif en sentant les doigts de la jeune femme la faire rejoindre lentement le sol. Un peu plus doux encore quand elle s’attachera à faire disparaître un autre bouton et que ses doigts, à lui, irons retirer la dernière barrière de tissu qui la recouvre.
Il ne laissera ses lèvres quitter les siennes que pour venir diffuser des baisés au creux de son cou, à la naissance de sa clavicule ou près, si près de sa mâchoire qu'il peut remonter aisément jusqu'à la commissure de ses lèvres avant d'en reprendre possession. Ses mains qui dansent toujours contre son corps viendront se poser un peu plus fermement sur sa taille puis au creux de ses reins alors qu'il la soulève lentement du sol. Accompagnant le mouvement des cuisses de la jeune femme pour qu'elles viennent encadrer sa taille. Parce que la lenteur ne naît pas uniquement dans l'attente alors qu'il pose une main sur le rebord du lavabo pour y pendre appuie. La lenteur et la langueur naissent aussi dans le rapprochement des bassins en quête d'une fusion qu'ils connaissent déjà bien. De quoi sûrement faire grandir les paillettes chez les uns et chez les autres alors que ses lèvres jouent d'autant d'exploration sur sa peau.
Parce qu'il en a besoin aussi, de cet instant où les corps ne font plus qu'un. Même si la folie de l'empressement est, pendant un temps, maintenue à la porte. Parce que c'est plus profond que baiser simplement, parce qu'il y a sûrement un peu plus à dire aussi. Ou parce que c'est juste rassurant, d'une certaine façon. Il ne va pas épiloguer sur le sujet de tout son ressenti, sur cette façon qu'elle a d'accompagner ses mouvements au creux de ses reins, entre ses jambes. Il ne va pas pousser le vice jusqu'à ouvrir des portes qui sont sensées rester fermées pour le moment. Parce que c'est lui aussi que de savoir faire preuve d'un minimum de retenu dans ses sentiments. Dans ceux qui naissent ou ceux qui pourraient grandir avec le temps.
Laueee
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Lily L. Potter
Mes compétences magiques Maîtrises: Bonus/Malus: Coffre Gringotts: Sortilèges: Potion: Familiers: Classe principale: Classe secondaire:
Photomaton : Feat. : Barbara Palvin Niveau : 91/100 Points d'Exp : 29324 Particularité : magie ancienne palier 1/7 Health Point : 4 800 PC (compétences) : 31/78 PC (caractéristiques) : 30/78 Scolarité et Métier : J'étudie à Poudlard, j'ai été répartie dans la maison Gryffondor. Je suis membre de l'équipe de quidditch au poste de batteuse.
Niveau : 67/100 Health Point : 3.550/3.550 Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- Anneau de protection (au doigt) - Basket Magiques (aux pieds) - Besace Magique (petite tente magique, sphère magique basique, catapulte ailée, bolide 340, batte de quidditch, skate magique, dodorico) - Couteau de lancé x3 (planqués sur @Je-Ha Kim) - Nid de luxe, Bièraubeurre x6, Cape d'invisibilité, coup de tonnerre, poupée vaudoo, couteau suisse (dans le sac sans fond de @Emily Skeeter)
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
- 1 Poudre d'Aneth - Bézoard - Kit pour faire pousser les verrues - Polynectar - Potion contre la toux - Antidote aux poisons courants - Potion d'Hilarité - Potion de restitution - Baume d'asclépiade tubéreuse - Potion de ratatinage
Sort utilisé à ce tour : - Potion utilisée à ce tour : - Objet utilisé à ce tour : - Information(s) Hors-jeu : -
L'ivresse. On entend souvent ce mot, cette expression, quand on parle d'alcool. De ce besoin qu'on a de perdre l'esprit jusqu'à se mettre la tête à l'envers. Ou bien d'une mauvaise habitude, d'une addiction qui laisse des marques et qui ne fait du bien ni à l'âme, ni à l'entourage. L'ivresse pourtant, peut prendre bien d'autres aspect. Elle peut devenir beaucoup plus saine également lorsqu'elle est partagée. Elle naît ici aussi, dans cette salle de bain, sous ce jet d'eau brûlant qui entre en parfait contraste avec ce mur bien plus froid. Elle naît et elle grandit au creux de ses bras, dans cette attente d'un peu plus ou de toujours plus. Parce qu'elle a besoin de le sentir, Lily. Qu'elle est vivante, qu'il est vivant. Que rien n'est important finalement. Elle a besoin de les sentir, tout ces sentiments sur lesquels il ne met pas de mots, pas de ceux qu'on l'on prononce en tout les cas. Et sentir, ressentir ne sont peut-être même pas des termes suffisant. Parce que ce qui gronde en elle, bien caché sous ces salves de baisés, c'est autre chose de bien plus profond, de tellement simple aussi. Quelque chose qu'aucun mot ne saurait décrire parfaitement qu'ils soient formulés ou non.
Elle s'y abandonne donc, à cette étreinte. A toutes ces sensations qu'il fait naître en elle alors que leurs corps sont si proches. Elle s'y abandonne quand la main entre ses omoplates reprend sa course le long de ses épaules, qu'elle glisse avec lenteur sur son bras comme pour mieux s'y accrocher. Elle s'y abandonné un peu plus encore quand les lèvres aventureuses du jeune homme quittent doucement ses lèvres pour laisser d'autres marques sur son épiderme. Quand c'est un gémissement qu'elle ne peut pas retenir qui s'échappe lascivement, comme un soupir de bien être ou de contentement. C'est la mise en pause presque totale de son esprit tandis qu'elle glisse toujours cette main, retrace des contours en passant sur sa taille pour rejoindre le bas de son dos pour trouver la naissance de la courbe de ses fesses. C'est une empreinte douce qu'elle laisse quand elle appuie légèrement, comme pour le guider, lui assurer quelque part que ça doit avoir lieu maintenant. Et c'est le contrôle aussi, quand elle redresse la tête, ouvrant lentement les yeux alors que son front vient se poser sur celui du jeune homme. C'est le contrôle quand elle vient imprimer d'autres pressions de cette paume aventureuse, comme pour donner le tempo. Un rythme doux et lent qui n'en est pas moins puissant et enivrant.
On y revient, à l'ivresse. Quand c'est son regard aux couleurs des océans qu'elle plonge dans ses yeux si noirs et si profonds. Ce sont d'autres mots qui semblent vouloir s'échapper à travers ce contact visuel qu'elle ne rompt que dans de courts moments, quand le plaisir de ressentir ces premières étapes de la délivrances s’immisce en elle jusqu'à lui faire fermer ses paupières. Et ça, jusqu'à ce qu'elle en perde simplement les sens. Que les corps entremêlés et que les passions partagées se font plus intenses, avides aussi sûrement. Il n'y a que là, sûrement, qu'elle retournera jouer avec cette pulpe dans cette même ferveur qu'il lui aura transmise juste avant. Là que sa main remontera le long de son dos pour trouver un appui moins incertain alors que la danse des corps commence à déclencher un tumulte au creux de ses reins et vient y déposer toute la chaleur dont elle se retrouve bientôt entourée, comme submergées par tant de choses qu'elle serait bien incapable de décrire maintenant.
Parce que c'est beaucoup, parce que c'est trop. Parce que c'est tout en même temps qu'elle ressent. Comme une explosion qui naît à la fois en réponse à ce corps puissant et dont elle sent presque toutes les tensions ou bien à sont esprit à elle qui s'est simplement envolé pour se laisser cueillir par la simple plaisir de cet instant partagé.
:copyright:️️ Belzébuth
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Laueee
