Niveau : 100/100
Health Point : 3.975 /5 300
Objet(s) que vous avez sur vous :

Spoiler:

Potion(s) que vous avez sur vous :

Spoiler:

Sort utilisé à ce tour : //
Objet utilisé à ce tour : //
Potion utilisée à ce tour : //
Information(s) Hors-jeu :
au deuxième étage



Lybie ֍ Allez, et c'est parti pour le post du grand -dans ses rêves-, du magnifique -Kassie devrait être d'accord, Kaneko aussi sûrement?-, de l'irremplaçable -Une petite Ola pour parfaire la chose?- Eiji... Et ses amis. Parce qu'en fait, depuis le post d'Oriana, c'est un véritable danse dramatique qui a pris place dans ce cerveau commun et tout le monde veut en placer une avant le passage du MJ ! Ce qui est un comble puisque que Eiji passe précisément en dernier parce qu'il devait voir les actions du groupe -sa joueuse en tout les cas- pour savoir comment le faire bouger. On va donc voir un airpé avec la tête de Eiji qui risque de partir en sucette totale et ne pas ressembler à l'essence même du personnage. D'ailleurs, avec ces premières lignes, tout le monde est au courant maintenant. Alors on s'accroche à sa culotte parce que c'est moi qui pilote ! Et pas le ninja qui va aller où je lui dis d'aller ! -esquive-.
Bien, maintenant que c'est validé que c'est pas une bonne chose de commencer Eiji avec une musique de Stray Kids dans la tête et qu'on sait que les éléments essentiels de ce airpé ne vont faire que trois lignes pendant que le reste du blabla sera le craquage psychologique de la joueuse, on va pouvoir s'y mettre. En évitant de ripper sur les touches à force de bouger son fessier sur sa chaise en faisant des pas de danses... Yi-Min, sort de ce corps ! On va essayer de ne pas se mettre à chanter aussi, c'est que JJAM, c'est pas le bon mood. Du coup, j'en étais où ? Nulle part. Tout à fait. Le airpé n'a pas encore commencé en soit mais mon cerveau refuse de s'y mettre si bien que je m'en insulte moi-même -Eden, DEHORS ! T'es même pas là, sale petit.e con.ne-... I Know, You Know... Lee... Non, j'ai dis que je le ferais pas... Ahem... Eiji donc...

Ben Eiji il a pris l'ascenseur, ce qui est déjà un miracle en soit vu la vitesse du machin. Un poil de cul irait plus vite mais passons. Pour le faire arriver plus tôt, en compagnie de sa cousine et au bon étage ; on dira qu'il a lancé à regard de la mort à Pingu et ses copains pour qu'ils montent après parce que MERDE ! Ils doivent aller plus hauuuuuut -Tina Arena ? oo- et ils sont partis de plus bas ! Toujours est-il qu'ils vont -au moins Eiji- avoir le temps de poser les orteils à l'étage désiré et jeter un coup d’œil dans les environs. Alors non, Eiji ne va pas chercher son cousin sous un lit, ne s'abaisser à faire des fouilles dans cette pièce. Ou plutôt, il ne va pas y chercher son cousin parce que, bordel de cul de pompe à chiottes, il a autre chose à faire. Mais on a déjà dit -Meiwa, le retour?- que si il avait pu, il serait aller plus hauuuuuut, pour redescendre ensuite. Sauf qu'on veut pas qu'il arrive tout en haut tout de suite donc on va dire que c'est bien comme ça. Donc, la pièce... Une chambre... Genre LE TRUC, ou plutôt LE LIEU dont Eiji n'aura jamais besoin dans sa vie. Non parce qu'une chambre, c'est pour dormir ou pour Kassie et Kassie n'est pas là... Puis lui, il dort pas. Ou assis par terre. D'ailleurs on ne dit pas, il dort mais : il médite. Et on dira merci au maquillage du clan pour l'absence de valoches sous les yeux à ce rythme ! Ou bien aux sortilèges de mise en beauté ? Punaise, comment vous avez été captés les ninjas là ! Donc, la chambre... On vous raconte le regard que Eiji aura eu pour Kaneko là ? Le grand classique en vérité. Et en silence parce que sinon ce n'est absolument pas drôle. Et on va devoir vous passer tout ça en avance rapide parce que la joueuse n'a pas DU TOUT envie de perdre un tour en parlant, après, du airpé d'Oriana. D'ailleurs, ce n'est pas le but. Le but c'est de nous coller un ressort dans le cul du ninja qui va se transformer en un bulldozer de la taille d'une baguette de pain dans pas loin de trois secondes.

Parce que pour parfaire le tout, la joueuse à décidé que Eiji arriverait à destination, quelques secondes avant la vocifération d'Oriana. Histoire de faire voler ses cheveux et ses fripes au vent dans des mouvements stylés ! C'est qu'on aime l'image du coup de vent en vérité et que les vêtements, c'est important... Yi-Min, remet les tiens, t'auras pas le temps non plus bordel ! Ce qu'on verra donc dans ce airpé, c'est donc de l'air déplacé, des sorts lancés et si la plateforme est encore là... saloperie ! Un ninja qui va devoir la reprendre en serrant les dents -et les fesses-. Parce que oui... Il va avoir le temps. Juste après le regard en direction de Kaneko et l'analyse rapide de la chambre. Il va avoir le temps de sortir sa baguette, passablement agacé par l'endroit... Et c'est un magnifique revelio qui va en sortir, informulé toujours, et utilisé dans le seul but de mettre en lumière ce qui pourrait être intéressant dans cette pièce histoire de ne pas y passer la nuit. Et de se dire que, quand même, on n'est pas passé à côté d'Iwao pour rien. Les premiers mots d'Oriana tomberont à cet instant, lorsque le sortilège révélera une trappe sous le lit. Une trappe qu'il va observer en se baissant légèrement avant de jeter son second sortilèges... Un radieux alohomora pendant qu'Oriana à terminé sa première pause et lâche la seconde partie de sa phrase. Il va se crisper notre ninja en allant voir ce qu'il y a dans la trappe, que ce soit quelque chose ou bien un passage. Mais il n'aura peut-être pas le temps de plus. Disons que si c'est à prendre, il aura trouvé un moyen de le prendre mais si c'est à explorer, il faudra revenir plus tard. Parce que le mouvement de fripes, il va se faire maintenant en un magnifique volte-face pour retourner vers l'entrée-sortie de la pièce et reprendre la descente... On n'est pas certains qu'il fallait que le plateau soit encore là en réalité... Parce que c'est plus un ninja qu'on va trouver à l'arrivée, c'est une boule de nerfs proche de la fusion !

On va donc se retourner vers les autres étages, puisque tout le monde à joyeusement dû entendre Oriana. On notera plusieurs furets à cet instant précis. Yara d'abord, qui sous aura ou pas ne se fera pas défoncer par l'As de Pique tout de suite vu comment elle va vouloir retourner là où est Oriana. Peu importe où elle est en fait. Sous ses pieds, on a une Lily qui reste reine des contractions et qui va finir par nous accoucher de son gosse dans un laboratoire d'alchimie si on continue à faire naître des loopings émotionnels en elle. Assommez-là, elle devrait plus en avoir de contractions. On a Noah qui, tout de même, va arrêter ce qu'il faisait parce que bon, c'est Oriana qui gueule et il va vouloir remonter pour voir ce qu'il se passe. Plus que pour Iwao en réalité. Mais on est descendu plus bas un peu vite. Puisqu'on a coupé l'herbe sous le pied du chat qui ne va pas tarder à nous craquer quelque chose à force qu'on l'empêche de jouer. En somme, la prochaine vague d'aura elle va piquer et les culs risques de finir aligner. Mais bon, pour le moment, on fait genre et on continue de sourire. Plus haut... Ben plus haut et pas là où y'a Iwao, on a tout de même Yi-Min qui se prépare à nous faire des annonces magnifiques pour répondre à Min-Joon, elles seront peut-être audible plus tard mais, le bain va peut-être devoir attendre du coup ? Il a une petite tête de furet là, en regardant là où devrait être la plateforme... Et à l'étage du cercueil ? Celui où Eiji et Kaneko finiront sûrement par arriver ? Autant vous dire qu'on à Sutton qui regarde Oriana comme si elle avait vu la vierge elle aussi. Parce que non, elle ne va pas mettre ses bras et sa tête là-dedans, les fesses en l'air dans les vêtements d'Artémis pour sauver Iwao... Non mais pardon, elle a demandé l'aide d'Oriana, pas l'inverse ; faut pas pousser non plus. Elle a fait sa part ! Quoi ? C'est pas Samuel qui va le faire ? Ben non, vu qu'il est presque aussi baraqué que Liam ; ça va être compliqué de descendre dans le trou et... Non mais pourquoi elle à l'impression que des regards sont posés sur elle la petite blonde ? Parce qu'elle va aller leur filer un coup de main finalement ? Et ressembler à sa sœur quand elle a disparu dans la tombe au milieu du tombeau. Oui, voilà... Et bon... En réalité, il faudrait que soit Iwao soit sorti de ce cercueil quand Eiji va arriver, soit que personne n'ait encore posé ses mains dessus. Parce que clairement, y'a des phalanges qui risquent de disparaître si quelqu'un d'autre que lui ou sa cousine touche Iwao... Et on vous dira ce qu'il en est de la vibes des ninjas un peu plus tard. On va tout de même laisser une petite place au MJ -ça rime avec Eiji !-

Niveau : 100/100
Health Point : 5 700/5 700
Objet(s) que vous avez sur vous :

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Potion(s) que vous avez sur vous :

Spoiler:

Sort utilisé à ce tour : elasticus sur ceux qui reste
Potion utilisée à ce tour : //
Objet utilisé à ce tour : //
Information(s) Hors-jeu :  utilisation magie antique 2/4 post avant KO  

• ♡ • ♡ • ♡ •
Elle était là ? Elle n’est plus là. Ce airpé pourrait s’arrêter là. Mais non, on va donner un contexte. Et puis, Zoé, Je-Ha et James on peut-être leurs mots à dire aussi ? Elle n’a peut-être pas l’aura noir d’un Ninja la petit Emily, mais quand elle décide quelque chose, le cerveau commun a juste pas le choix parce qu’elle demande leur avis n’a personne ! Situation familière N.O.A.H ?

Contexte donc, on avait Emily penché sur Lily qui aura levé les yeux en entendant Oriana. Blêmie a la troisième partie de son message et c’était levé pour ensuite nous faire un petit cri de souris quand elle va regarder sa taille. Croc-top oblige, elle ne va pas pouvoir le cacher cette fois. On va donc bien la voir la trace de tentacule ignoble rouge et qui va laisser la chair a vif.

- Lily, remonte avec la plateforme. Je… Sutton.

Elle n’a pas le temps d’articulé une phrase mais, elle prend quand même celui de coulé un regard vers Noah et de lui déposé un baisé court sur la joue avant de filé par le trou d’où elle était arrivé. De quoi ce retrouvé devant la façade et ce lancer un elasticus. Prendre appuie sur ses deux jambes et sauté pour s’accroché devant une fenêtre du premier étage sans doute pas bien loin de Monsieur Shinoda. Appuie sur ses bras, et c’est le balcon du rez de chaussé qu’elle a rejoint pour détalée dans les couloirs et retrouvé sa sœur. Qu’on soit clair, sans personne entre elle et le trou, elle va nous plonger dedans comme dans une piscine. Regardez, elle amorce déjà son plongeon !

Mais revenons à la salle qu’elle a laissé derrière. A James et Je-Ha, livide comme pas possible qui regarde Lily comme s’ils craignaient qu’elle se brise. Des hommes devant un accouchement : la panique totale ! On a même Je-Ha qui balance en Coréen à son acolyte -qui d’autre- un genre de « je fais quoi ? On fait quoi ? ». Et un James qui regarde Noah avec l’air de pensée que son pote va savoir mieux quoi faire. Au final c’est les mains de Zoé qui vont partir au-dessus de sa tête dans un soupire exaspérée avant qu’elle n’arrive devant Lily.

- Tu peut marché ou les contractions sont trop forte ? Si tu ne peux pas marcher, James devrait te porté à l’étage. Toi le papa, respire,-on à trois médicomage. Et ça… – elle montre sa trouvaille – C’est une fiole de transplanage. Si tu ne te sens pas de continuer, je peux te renvoyer a Londres, à Sainte Mangouste. Je sais t’est forte, trop badass, une vraie Gryffondor. Mais délivré ton bébé ici et le trainé jusqu’à qu’on trouve une sortie ce n’est pas franchement l’idéal. Tu vois.

♡ ma couleur est le rosybrown / #bc8F8F ♡

Niveau : 89/100
Health Point : 5 450/5 450
Objet(s) que vous avez sur vous :

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Potion(s) que vous avez sur vous :

Spoiler:

Sort utilisé à ce tour : //
Potion utilisée à ce tour : //
Objet utilisé à ce tour : //
Information(s) Hors-jeu :  

Pour notre prochain passage, aux grands désarrois du cerveau commun qui se sera fait museler, nulle ne comptera d’autre que ce regard sombre, faisant bien trop écho à ceux de son cousin. Kaneko a flanché. Pas aux yeux de tous, bien sûr, mais cette micro seconde de doute, ou bien de stupeur, aura peut-être été perçue par son cousin. Bien que lui-même doit être en proie avec la complexité de la situation. La silhouette qui a émergé, cette lame qui pointe bien trop acérée, dont le regard va se languir de la garde a la pointe avec autant de lenteur que celui du chef de clan, jusqu’à ce tourné et disparaitre dans un mouvement de tissus aussi rapide qu’invisible. N’osant pas pour autant lever ses mèches de cheveux sombre, ni même froissé le tissu des vêtements. Au risque de perturbé ce qui semble, malgré le sang et les lambeaux, être un sommeil paisible. Un repos que pourtant ils, membre de ce clan, ne connaitrais qu’en le dernier. Et c’est cette idée qui fera quitter toute couleurs des traits de la Japonaise. Toute vie dans le fond de son regard qu’elle remonte vers Eiji avec lenteur, avant de le tourner vers celui qui l’a pourtant mise au monde. Ce sont des instants d’éternité, peu, très peu même a échelle humaine, mais qui dans son monde s’étire sur des heures entières au rythme de battement d’un cœur qui se veux pourtant mort. Mort pour les autres, certes, mais pas pour les siens. Ce ne sont pas ses mots qui briserons le silence, ce n’est pas non plus un de ses gorets d’occidentaux qui aurait la mauvaise idée d’intervenir quand là n’est pas leurs places. Même les aiguille battant le rythme des pas de la reine des femmes de joies ne se font pas assez sentir quand elle les rejoints pour perturbée le moment.

- Sa vie. Contre la leurs.

Ce dialecte ne sera compris que de trois personne ici, sur le papier du moins. Puisqu’il n’est parlé que sur une petite île que le Japon à emporter contre la Russie et qui abrite un petit clan d’assassin survivant des méandres de l’histoire. Ces mots sont pour eux et accompagne l’abaissement de l’arme et le dessin de ce qui semble être un rictus qui se dessine derrière le masque et naît dans les rides d’un regard qui lui fait écho. Et cet instant fugace qui point d’une œillade la descendante quand elle apparaitra, ou bien ce trou dernière tombe d’âme dont Kaneko n’a cure. Le duel moral en l’instant en est-il vraiment un ? Pour son frère, il n’est pas certain qu’elle ne fasse pas d’écart, ou bien qu’elle attende un ordre silencieux. Tout comme elle ne l’attendrait pas si c’était celle d’Eiji, de vie, qui gisait dans une boite de bois, suspendu à un fil rouge effritée par les épreuves d’un lieu emplit d’incertitude et d’illusion. Illusion pourrait être le mot d’ordre, justement, si tout n’avait pas l’air aussi réel. Il y a comme quelque chose en ses lieu qui empêche la Nippone d’être rationnelle : de questionné la présence d’Akihito en ses lieux. Et ce sont tout ses facteur, handicap d’un instant, qui raffermisse la poigne de Kaneko sur la garde de son arme et assombrisse son regard qui ne vois plus qu’une couleur rouge carmin, assombris par ses propres perspectives. Illusion ou pas, le clan passera toujours en premier.

[…]

C’est un mouvement dans l’air, une bourrasque. Une légère odeur qu’on connait ou qu’on reconnait comme un parfum familier qui vous fait tourner la tête en marchant dans les rues sombres de Londres. Un souvenir ou une emprunte qui va surgir après que l’ordre, aussi clair que de l’eau de roche même dans une langue étrangère, aura claqué dans l’air. Et que les auras seront suffisantes pour tendre une louve qui laissera malgré elle échappé un grognement en ayant un mouvement de recul, croisant le regard de ses amies si elle le peut, tel une alarme silencieuse : une mise en garde que partage de vampire, car les deux dans toutes leurs différences partagent quelques instincts qui n’appartienne qu’à eux.

C’est un voile fantomatique qui perturbera la scène apparaissant comme à travers un voile invisible, brouillant sa réalité. Deux grands yeux verts, des cheveux sombre tombant en cascade sur ses épaules recouverte de ce qui devait être un perfecto de cuir. Ce sont deux mains au doigt long et fin qui remonte pour encadrer un visage qui ne pourra pas sentir leurs présente même en reconnaissant ses traits. Et un murmure, une voix qu’on connait et qu’on imagine égarée.

- Regarde, regarde vraiment. C’est un mensonge.

Accompagnant la dernière syllabe, un dernier son là aussi dans un Japonais- plus moderne et approximatif cependant- qu’elle disparaitra dans l’air à nouveau, cette silhouette qui n’aura existé que l’espace d’un nouvel instant pour s’adressé uniquement à l’ancien champion du tournois des trois sorciers, sur qui maintenant, nos yeux sont tous braqué.

Niveau : 100/100
Health Point : 3.975 /5 300
Objet(s) que vous avez sur vous :

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Potion(s) que vous avez sur vous :

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au deuxième étage



Lybie ֍ Il semblerait qu'il soit temps de s'attacher à ce qu'il se trame derrière les masques impassibles. De décrire ces petites émotions qui n'ont pas la place de se développer d'ordinaires. Portions de vies étouffées par les règles et des fonctionnements strictes. Portions de vie qu'on garde cachées, à l'abri des regards ; autant que ces cœurs qu'on dit morts et qu'on croit, parfois, réellement morts. Pourtant, derrière les masques et l'apparente impassibilités, il y a autant de pensées et d'émotions qui sont capables de venir se dessiner, comme chez tout être vivant. On choisi juste de ne pas en tenir compte, parce qu'on a appris à faire sans. Parce que s'en encombrer, c'est laissé court à des impairs qui ne peuvent pas se produire dans cette vie qu'ils mènent tous. Eux, les membres et enfants d'un clan, d'une petite parcelle de mémoire qui ne doit sa subsistance qu'au silence qui les entourent, aux secrets qu'ils gardent et à une vie reculée. Des ombres dans le monde des vivants, dont peu vont profiter à chaque instant. Que certains vont fouler sans jamais s'y intégrer pleinement.
Derrière le masque revêtu en permanence, il y a parfois plus de doutes, de questions et de douleurs passées qu'il n'y en a dans d'autres esprits. Mais là encore, ils feront ce choix de ne pas le voir, de savoir l'ignorer et trouveront le moyen d'avancer une fois de plus, sur une voie dictée par ces règles ancestrales, par des décisions nées dans un temps ancien et qui font d'eux ce qu'ils sont. Vivre dans un monde où la mort est un clé n'est pas donné à tout le monde. Connaître autant de façon de tuer un être, magique ou non, n'est pas inné. C'est un apprentissage qui tue lentement la joie de vivre et les frivolités, ce sont des objectifs qui viennent se poser sur d'autres jusqu'à étouffer l'innocence dans le berceau. Briser les dernières lueurs de volontés pour bouger dans la conformité de ces traditions et continuer de les faire perdurer. Certains voudront y échapper, s'en libérer ; finiront rejetés et oubliés ; des reliques de ce même passé qui parfois, resteront au creux d'esprit par totalement étouffés. Subsister n'est pas vivre pourtant et les émotions, bien que présentes, ne sont pas forcément vivantes. Elles sont incomprises dans la plupart des cas, même pour le porteur.

Les mouvements d'Eiji, identiques à ceux de sa cousine, tel les reflets qu'ils se renvoient depuis des années ; seront cependant allés un peu plus loin. Jusqu'à approcher une main du corps lacéré, frôler les bandes de tissus avant que la voix de leur oncle ne s'élève à nouveau. Si cette dernière viendra toucher quelque chose en Kaneko, elle viendra toucher une autre corde chez Eiji. Une corde qui va le faire se retourner et détourner son regard du corps d'Iwao. La main qui avait quitter la garde de l'arme accrochée au bas de son dos, refera le chemin inverse ; glissant le long de cette dernière pour laisser ses doigts se refermer lentement dessus. Il y a comme une impression de déjà-vu, une impression que le temps vient de se suspendre et qu'il ne pourra reprendre qu'une fois les décisions prises. Dans le fond de ces yeux noirs, il n'y a pas de flammes, de désirs inassouvie ou d'envies étranges qui viennent se dessiner. Il y a une résolution étrange qui vient prendre forme lorsque, tout aussi lentement, son autre main vient remonte lentement pour aller chercher l'autre arme et commencer à la retirer de son fourreau dans un bruit métallique.
Bien caché dans le silence de cet instant, dans ce moment qui s'étire comme si il durait des heures, il y a autre chose qui se dessine. Peut-être invisible aux autres, inaudibles à tous puisque aucun mot ne saura prononcé et pourtant, dans ce regard mourant ; sous la résolution il y a une autre vérité.

Il y a une question, peut-être. Simple. Qui se compose d'un seul mot et qui veut dire tellement plus. Pardon ?. Il semblerait que même les mots les plus simples aient parfois du mal à se frayer un chemin jusqu'aux esprits les plus aguerris. Est-ce que c'est une sorte d'ordre ? Un compromis ? Il les as pourtant bien entendus, ces mots qu'il connaît tant. La vie d'Iwao contre celle des deux sœurs ? Il n'y aurait pas de question à se poser en temps normal. Le clan passerait en premier. Mais... Qu'est-ce qu'un clan et son honneur si une chose aussi futile vient nuire à la mission ? A un choix qu'un chef à fait, malgré tout ce qu'on pourrait en penser ? Malgré ce qu'il en pense lui-même par moment. Est-ce un ordre ? Une demande ? Une opportunité qu'on veut lui imposer et qui viendrait briser des années de luttes, de sacrifices et bien d'autres choses encore. Si l'homme au-dessus de la tombe est noir, le jeune chef de clan continue de l'être lui aussi. Bercer entre les eaux de l'honneur et de la famille. De cette douleur qu'imposerait le départ d'Iwao, de ce qu'il y aurait à affronter après et de la honte d'avoir céder. Malgré l'imposante présence d'Akihito, ça fait des années que le gamin n'en a plus peur, qu'il s'en est accommodé. Il fait parti du paysage et dans cette vie, à cause de choix précédents, il reste l'ancien et est pourtant, en-dessous de lui.

Cet échange de regard, qui se poursuit à mesure que la lame quitte le fourreau jusqu'à passé par dessus sa tête est peut-être le signe, également, que les eaux calmes viennent de s'éveiller ou qu'il vient de sombrer dans une sorte de folie silencieuse. Dans un débat qui vient agiter jusqu'à ses fondations, transporté dans un choix impossible entre la loyauté, la famille, l'honneur. Des choix qui entrent en conflits les uns avec les autres parce que le cœur n'est pas mort, ou pas totalement ; qu'il reprend vie bien trop souvent et qu'il est malmené par d'autres choix, d'autres décisions ; des choses qui viennent l'éveiller un peu plus à chaque fois. Si l'assassin à un cœur... Il ne fermera pas les yeux lorsque l'arme la plus courte commencera à être tirée également, que l'acier glissera du creux de son fourreau et qu'on croirait presque que le ninja a cessé de respirer. Sur l'immobilité des traits, il y a une sorte de défiance qui vient se poser, un pli qui vient se former à la commissure de ses lèvres, comme pour relever ce qu'il note comme un manque de respect, un affront... Et puis le vent... Le vent qui vient d'on ne sait où et qui va figer ses mouvements dans une temps qui semblera encore plus long. D'infimes secondes pour les autres, trois éternités déjà pour lui et presque autant de vie. Le monde autour lui donnera l'impression de se disloquer, de disparaître doucement pour ne laisser place qu'aux sensations. Aux parfums et à ces yeux verts si proches et pourtant si loin. Il y aura les paroles, prononcées dans ce japonais imparfait qu'il entendra sans mal. Des mots qui vont conforter ce qui était déjà né mais qui ne vont, peut-être pas, faire taire ce qui est né tout de suite. Ça fera peut-être trembler d'autres âmes dans la pièce, tout comme son sourire en coin devrait en faire trembler certaines. Il sait. Et si le sourire s'adoucit l'espace de quelques secondes, ce sera si fugace que seules certaines âmes pourront le reconnaître.

« Je sais » des mots en japonais toujours. Ancien ou nouveau, les deux en même temps, peut-être ; avant que l'image ne disparaisse doucement devant ses yeux, laissant un autre souvenir se marquer dans son esprit et faire naître un peu plus de ce cœur au bord du gouffre qu'on aurait dû jeter depuis longtemps. Il sait. Ou quelque chose comme ça ?

« Ce sera tous. » Tous. Les absentes qui sont tombées dans ce trous, ceux qui viennent d'arriver ou qui ne sont pas encore là. La moindre âme présente ici et qui entrera, d'une façon ou d'une autre dans cette mission qu'il a acceptée il y a longtemps maintenant. Dans ces liens qui sont nés bien avant qu'un pacte entre deux jeunes personnes ne soient passé. Et les mots d'Eiji, aussi faibles soient-ils, revèle pourtant une force cachée, comme si l'être devenait inébranlable ou qu'il n'arrivait plus à supporter qu'on se mette en travers de sa route et de ses choix de façon si ostentatoire. C'est comme si sa coupe de patience était arrivée à son maximum et que, même le calme qui pourrait renaître sous l'eau, n'arriverait pas à atténuer tout les remous qui sont nés. On ne s'étonnera pas alors, de sentir ce souffle de vent quand son arme la plus courte fend l'air en direction de la silhouette de son oncle et qu'il partira à sa poursuite quelques instants plus tard. Laissant le corps d'Iwao derrière lui. Parce que regarder veut parfois dire plonger, la tête la première, pour ressentir la réalité plus que pour la sentir.

Niveau : 100/100
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au deuxième étage



Lybie ֍ On sait, ou on ne sait pas. On sait une chose en revanche, c'est qu'il va falloir une tierce personne pour couper les trois ninjas dans leurs élans. Car la danse mortelle qui se dessine entre ces trois âmes semble ne pas avoir de fin. Ou bien n'en trouvera-t-elle jamais tant les esprits et les cœurs sont baignés dans la confusion. Une confusion emprunte de réalité, qui révèle des choses sur les désirs et les envies des uns, sur les capacités et ce qu'ils pourraient faire dans un avenir par si lointain. On n'aura plus de doute sur ce que le champion du tournois serait capable de faire à la prochaine personne qui se mettra en travers de son chemin. Surtout si l'on sait que celui qu'il voit est l'oncle qui l'a élevé et entraîné. Une voix si connue dans le clan et si bien implantée dans toutes les racines du monde qu'il est presque impensable de la faire disparaître sans risquer de tous les annihiler. C'est pourtant le choix qu'il à fait. Le troisième plutôt qu'un autre. Ou bien est-il né de rancœur du passé qu'on pensait étouffé ? Nul autre que celui dont les lames tracent des arabesques mortelles dans l'air ne pourrait répondre. Nul autre que celui qui sait sans savoir, voit sans voir ou choisi ce qu'il préfère sans écouter le reste. On le sait, pourtant, que le champion du tournois des trois sorciers est plus buté que la moyenne. Que son esprit est totalement fermé au monde extérieur et que lui faire voir les choses en face nécessite parfois plus que quelque mots, quelques phrases et des yeux verts. Parce qu'au final, il s'écoute plus qu'il n'écoute les autres sauf si il s'agit de sa cousine, dont l'esprit était ailleurs ou de son cousin dont le corps était par terre.

Ça prend du temps de percer les remparts, de réussir à insuffler autre chose que ce qu'il a décidé de voir ou de croire. Et ça demande une configuration qu'il a perdu depuis un moment maintenant, retrouver Kaneko ensanglantée c'était déjà trop. Tout le monde a une limite, n'est-ce pas ? Il est fort probable que celle d'Eiji ait été atteinte depuis bien longtemps maintenant sans même qu'il ne s'en rende compte vraiment ou que personne ne le soupçonne réellement. Mais la psychologie du Ninja devra certainement attendre, n'est-ce pas ? Assez longtemps, tout du moins, pour que Zoé puisse faire son entrée. On mentirait en disant qu'Asclépios ne l'a pas regardée, perchée sur son rocher. Ses yeux allant des trois qui se battaient avec acharnement à la Reine Rouge et sa manucure parfaite. Comme si elle était la solution à tout les problèmes du monde -elle l'est, n'en doutons pas-. Parce que, très clairement, dans ce cerveau commun, il n'y a personne capable d'intervenir où qui en a la moindre envie. Soit parce qu'ils ne sont pas en état, soit parce qu'on n'est pas bien certain que la méthode utilisée produise quelque chose de rentable avant que la mort ne frappe l'une des trois âmes. Et pourtant, dans le fond, une partie de ce cerveau commun souhaiterait que cela cesse rapidement. Que ce soit Lily qui se tient toujours à son frère en se testant à quelques méthodes de respirations histoire de se décontracter après les contractions, sûrement quelques mots susurrés à l'oreille de Je-Ha par une acolyte qui analyse le combat aussi bien qu'elle peut malgré les interférence ; qu'elles soient d'ordre magique ou parce que son partenaire est quelque peu distrait. Que ce soit Noah, dont la patience à elle aussi ses limites et qui aimerait bien qu'on puisse partir à la recherche d'Emily et de sa jumelle, ou qu'on les sortent de là où elles se trouvent avant qu'on ne les retrouvent en amas de chaires brûlées. Que ce soit Samuel dont la fatigue est réelle et dont le quota d'atrocités est dépassé depuis longtemps. Ou bien Yara qui n'a pas franchement envie de se retrouver à attacher tout ce petit monde au bout de son fouet, admoniteurs aux poignets.

Ne parlons pas de Kai qui continue de nous distiller son aura dans un calme olympien même si elle se dirige un peu vers tout le monde maintenant. Non, on va le laisser debout les mains dans les poches, une cigarette fumante aux lèvres dont le bout rougi menace de faire brûler la pointe de ses cheveux de jais. Quant à Yi-Min... Lui n'est pas loin d'aller tirer la manche de son frère pour lui réclamer son casse-tête histoire d'avoir autre chose à regarder que de la violence gratuite. Encore une fois, il n'aime pas les gens quand ils sont blessés et il n'aime pas forcément, non plus, que son meilleur ami assiste à ça. Après tout, ce n'est pas franchement le rêve qu'il lui a vendu et qui est, dans une certaine mesure, tout à fait réel cependant.
Le succube pourtant, n'aura eu le temps que de penser à rejoindre Hermès, car son regard n'aura pas quitté sa sœur lorsqu'elle se sera approchée du combat. Il en aura eu l'air totalement subjugué comme à chaque fois avant qu'une grimace ne se dessine sur son visage et qu'il vienne poser une main sur la plaie qui vient de naître sur son corps. Plus par habitude, peut-être, que par réel douleur vu l'enfance qu'il a passé à vivre sous la figure de l'ancien Valet de Cœur. Le sang finira aussi par s'échapper d'une autre plaie, née au creux de sa main et ce sera une nouvelle grimace qui viendra se poser sur son visage quand, cette fois, il tournera son regard vers Hermès l'espace d'un instant. Quelques secondes, sûrement, avant que le sort ne se dissipe aux yeux d'Eiji et qu'il reprenne une certaine forme de contenance en observant son cousin. On ne saura ce qui lui passera par l'esprit à ce moment là mais les flammes froides auront bien du mal à s'éteindre quand il viendra pousser Zoé sur le côté pour se rapprocher de celui que tout un clan avait perdu et qu'il aurait bien manqué de tuer une seconde fois.

L'autre seconde, celle juste avant, aura été un regard noir après la vision de Kaneko incapacité par un sort informulé. Et si personne ne voulait intervenir avant, personne n'a envie de le faire maintenant. Pas même pour lever le sort sur la jeune femme ; c'est donc Eiji qui va devoir le faire avant de pouvoir récupérer les siens, dans l'état où ils sont actuellement, l'odeur de mort rayonnant toujours autour de lui mais semblant se disperser vers d'autres contrées. Et est-ce ainsi que tout semblera être fini ? Peut-être, ou peut-être pas. Parce que le succube blessé finira bien par se déplacer pour aller retrouver la descendante un peu plus loin et s'agenouiller devant elle, un sourire aux lèvres quand ses yeux vont se poser sur Akane.

« Je peux regarder. » C'est une affirmation plus qu'une question. Mais c'est un choix que les hommes présents devront faire pour que la joueuse ne déclenche pas une scène dans son cerveau commun entre une gryffondor et un succube. Et puis, il faut que tout le monde soit sur pied pour récupérer celles qui sont tombées, ne ?