04.01.2025

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Theophilus Nott pénétra dans la salle de bain telle une silhouette incongrue, vêtue de vêtements aussi sombres qu’ils étaient sales, qui semblaient absorber la lumière environnante. Sans hésitation, il se tint sous la cascade d'eau chaude qui jaillissait du pommeau de douche sous laquelle se trouvait la jeune femme, ne montrant aucun signe de gêne pour sa tenue vestimentaire trempée à prime abord. L'eau chaude embrassa sa peau avec une tendresse déconcertante, créant une sensation délicieuse de chaleur qui s'infiltrait à travers ses vêtements. Les tissus sombres, autrefois rigide, semblaient se métamorphoser sous l'effet de l'eau tiède. Les fibres s'assouplissaient lentement, révélant des nuances de couleur jusqu'alors camouflées dans l'obscurité. Les plis disgracieux se mirent à s'effacer, transformant progressivement le tissu en une étoffe plus malléable, presque flexible sous les caresses de l'eau. La vapeur se mit à danser autour de lui, créant un halo qui semblait émaner de sa silhouette. Il c’était assis à ses côtés, passant son bras par-dessus son épaule pour la rapprocher quelque peu de lui. Et si elle eut au début un réflexe, celui de vouloir lui échapper, il fut rapidement ravalé par un échange de regard, ou quelque chose de différent juste pour cette fois. Des gouttelettes glissaient le long des traits de son visages, dessinant des chemins aléatoires et laissant derrière elles des traces brillante là où l'eau s'évaporait, comme des souvenirs fugaces d'une immersion incongrue. Malgré l'étrangeté de la scène, pas plus cependant que la précédente, le jeune homme restait imperturbable, comme si cet état de fait était aussi naturel que l'air qu'il respirait. L'eau chaude continuait son œuvre, transformant les vêtements trempés en une seconde peau, adhérant à son corps avec une étrange concordance, fusionnant l'eau et le tissu dans une symbiose éphémère. Tout comme cet instant de douceur, presque trop irréaliste pour être véritablement eux. Et pourtant ?

- On trouvera bien quelqu’un capable de produire un Episkey dans cette bande de bras cassés.

Le sourire qu’il lui offre, bien que moqueur envers ceux qu’il venait de nommer, restait doux : complice.

- Si non tu trouvera bien un moyen de justifier la nouvelle forme de mon nez avec un récit dont tu as le secret.

Il placera sa main, en douceur, à l’arrière de la tête de la jeune femme, glissant ses doigts dans les mèches blonde détrempé pour l’invité à venir le rejoindre un peu plus. De quoi lui offrir assez de proximité pour qu’il puise poser ses lèvres sur son front. Y déposer un baisé ? Il pourrait. Mais il restera en suspens cependant quand sa seconde mais ira trouver la clavicule de la jeune femme, la naissance de sa nuque pour y passer son pouce avec, encore une fois, beaucoup trop de volupté. Il ne posera pas de question, il ne dira rien et laissera simplement cette eau chaude les envelopper dans une petite brume apaisante bien qu’éphémère qui pourra les accompagner quelques minutes, ou plus. En toute simplicité.

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Il n’aura rien dit. Il y aura eu un léger sourire en coin, la potion de beauté ? Il n’en a as besoin. Même avec le nez péter. Il reste lui. Il n’y aura toujours pas de mot et uniquement du silence dans son observation des gestes de la jeune femme, de ses mots, de ses explorations. Mais s’il reste silencieux, ça ne veut pas dire que son esprit l’est aussi. Loin de là a vrai dire. On ne connait le silence de l’âme que quand on est en paix. Et la paix est un luxe qu’il n’a jamais su s’offrir, ou qu’on ne lui a jamais offert ? Un autre sourire sans doute, offert à ses paroles, celle qui relie l’envie, le désir et l’incompréhension peut-être aussi. Il n’est pas doux Theo, la plupart du temps. Il prend ce qu’il veut, sans daigner s’embarrasser des conséquences. Que ce soient des marques qu’il laisse ou des traces de son passage, invisible ou non. Et encore moins des sentiments. Les siens, ceux des autres. Et même ceux de la jeune Serpentard qu’il tiens dans ses bras. Il sait l’être pourtant, il l’était même. Enfant innocent, plein de vie de d’imagination. Naïf et les yeux brillant de découvrir le monde et la vie avant qu’il ne soit envelopper dans une brume ténébreuse de ceux qui ont le poids d’un héritage sur les épaules, sanglant, impitoyable. Et maintenant c’est tout ce qu’il voie. Du moins, la plupart du temps. Cette ambition, ce nom. Ce qu’il porte et ce qu’il mérite après tout, tout ce qui aura été arraché tant à son innocence qu’à son âme. Et à un cœur qui à ériger une barrière de glace impénétrable pour s’assurer de ne plus pouvoir être atteint. Ne plus être faible, jamais.

C’est pourtant avec douceur qu’il accompagnera ses gestes. Qu’il ira délier le tissu rugueux qui pourrais abîmer la peau de pêche de la jeune femme. Qu’il l’invitera en se penchant un peu plus, assez pour que ses mains trouvent le chemin de ses cuisses sous lesquels elles se glisserons pour l’inviter à se rapprocher un peu plus. A marquer la distance en la faisant disparaitre pour l’installer au-dessus de lui. Terminant par marquer sa taille de ses mains. Et si son visage, à elle, reste enfouis au creux de son épaule, lui ira chercher le réconfort du creux de son cou du bout des lèvres. Effleurant à peine sans y laisser trace pour autant de son passage par plus que quelques voluptés inexprimées. Et à travers cet échange il partira à la recherche de son visage jusqu’à pouvoir plonger ses iris à nouveau dans les siennes. N’être à plus que quelque millimètre à peine de ses lèvres charnues quand ses mains descendent jusqu’à l’arrondit de ses fesses est la soulève encore un peu plus pour la rapprocher encore d’avantage. Quand c’est en flirtant avec cette proximité, un souffle seulement, que son sourire en coin va renaitre.

- Si tu veux quelque chose, Sutton. Il faut savoir le prendre, agir pour assouvir tes ambitions.

Il laissera le moment suspendu, la proximité demeurée et son regard continuer de capturer le sien. Il laissera les gouttelettes d’eau disparaitre et se fondre sur leurs peaux. Proche, si proche qu’il effleure presque le grain de sa peau du bout des lèvres sans pour autant y toucher, sans aller y poser un baisé qui restera suspendu, lattent. Car là, dans cette étreinte suspendu dans le temps, lui aussi semble chercher réponses à quelques questions interne peut-être.

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C’est un sourire, de nouveau, qui naît sur le visage de l’ancien Serpentard qui sent la douceur des lèvres de Sutton touché les siennes. Oublier cette distance éphémère qui n’est plus. Elle le sentira surement, dans cet effleurement encore timide, ce rictus qui pourtant n’a rien de malveillant. Et si elle est encore hésitante, lui ne le sera pas quand, passé les premier instant, les mains qui était simplement poser sur les hanches de la jeune femme viendrons l’envelopper pour intensifier, approfondir l’échange dans un souffle brûlant. Une respiration qui n’a d’existence pas uniquement pour laisser entrer l’air dans les poumons du jeune homme. Mais habite également toute une symbolique sur laquelle on ne mettra pas de mot. C’est la passion qui naîtra ou bien qu’il fasse naître au cœur de la volupté d’un baisé dont il aura attendu que l’initiative vienne d’elle. Qu’il laissera durée et perdurée, se prolonger en goutant à la douceur sucrée de sa pulpe.

C’est le souffle raccourcit qu’il sera rompu, cet échange. Qu’il remontera ses lèvres pour déposer un baisé à la commissure de ses lèvres et remonter jusqu’à sa tempe.

- C’est pas moi de te promettre mont et merveille. C’est pas toi non plus.

Elle est douce sa voix, elle n’a rien de la rudesse serpentine qu’on lui connait. Peut-être parce que derrière ce cache un voile de vérité qui n’apparait que trop rarement.

- On ne verra jamais Sutton et Theo ce balader main dans la main sur le chemin de traverse. On ne nous verra jamais partager une glace chez Fantarôme.

Un nouveau baisé, tout en volupté sur sa tempe.

- Je pourrais jamais m’afficher pleinement avec toi. Et l’inverse est vrai aussi. C’est trop dangereux d’une part, parce que Morgane à déjà Theodorine et que je ne peut pas me permettre d’avoir une nouvelle faiblesse.

Il va remonter une main, doucement, le long de sa colonne vertébrale jusqu’à rejoindre sa nuque en détachant quelque peu son propre visage pour pouvoir de nouveau la regarder dans les yeux.

- J’ai aussi trop de chose à faire qui nécessite que je sois… moi.

Pervers, malsain. Et même cruel.

De sa nuque, la main du jeune homme passera à quelque mèche de ses cheveux avant d’aller redessiner de son index la douceur de sa peau de pèche en passant sur sa joue. Elle est belle Sutton, elle est lumineuse qu’elle le voit ou pas. Il n’y a qu’en elle qu’il trouve finalement à cure à la perversion qui a noircit son âme à mesure des années. Années pendant lesquels il était comme un chat en train de jouer avec un petit papillon, le torturant juste assez sans jamais vouloir lui arrachée les ailes pour ne pas perdre sa lumière. Et là-dedans, dans ce jeu tordu, lui aussi c’était perdu quelque part.

La main rejoindra la nuque de la jeune femme de nouveau, l’attirant à lui de nouveau. Avec un peu plus de ferveur, de fièvre que l’instant d’avant. Moi de douceur aussi peut-être quand il va de nouveau capturer ses lèvres et que la main qui restais sur les hanches de la jeune femme glissera pour libérer un peu plus de tissus, celui du sous vêtement qu’il avait gardé jusque là même si le pantalon avait glissé pour éviter d’abimer la peau de la jeune femme quand il l’avait accueilli. Tissus qu’il tordra avec l’ambition de le faire disparaitre. Et quand ce sera fait, cette main remontera pour effleurer les courbes de la jeune femme, redessiner du bout des doigt l’arrondit de sa poitrine avec laquelle il joue.

C’est presque comme vouloir s’étouffer avec le poids d’un cœur battant, que de refuser de rompre l’échange, le baisée qui pourra l’amener à manquer de souffle quand il se refuse tout simplement à la laisser s’échapper. Pris par l’envie, une fois encore, qu’elle ne soit qu’à lui.  

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Le désir peut être une force puissante, capable de faire vaciller les résolutions les plus solides et de perturber les ambitions d'un homme. C'est comme si chaque étreinte, chaque baiser éveillait en lui une tempête dévorante, un feu insatiable qui consumait les barrières qu'il avait érigées pour se protéger. La proximité de l'être convoité, la douceur de son contact, tout cela ébranlait les fondations de sa détermination. Malgré la conscience aigüe des risques, malgré les murmures de prudence, il se laissait emporter par cette passion interdite, plongeant tête la première dans un océan de désir. Les promesses faites à lui-même se dissolvaient dans le tourbillon de l'instant présent, chaque caresse, chaque baiser devenant une brèche dans sa volonté. Il savait pourtant les conséquences probables, les dangers qui guettaient dans l'ombre de cet attachement. Mais face à cette tentation, ses ambitions se troublaient, ses résolutions chancelaient, et le monde extérieur s'effaçait devant la flamme éblouissante de ce désir ardent. C'était un combat intérieur entre raison et passion, entre ses ambitions et l'attraction irrésistible de ces échanges interdit.

Dans l'apogée de la proximité charnelle, il sent la jeune femme manier leurs désirs avec une habileté troublante, comme une douce torture éveillant en lui une envie brûlante de rompre toute douceur pour la posséder à nouveau. Chaque instant avec la jeune femme semble une danse envoûtante, une douce torture qui éveille en lui un désir insatiable. Chaque frôlement, chaque échange, attise les flammes de cette passion interdite, défiant ses résolutions les plus fermes. C'est comme si elle avait le don de sonder ses désirs les plus profonds, de les élever à des hauteurs insoupçonnées. Chaque interaction est une montée en intensité, une pression croissante sur les limites de sa volonté. Malgré ses engagements antérieurs, malgré la conscience aiguë des conséquences, il est pris dans un tourbillon où la raison lutte contre l'impulsion dévorante du désir. Chaque seconde partagée avec elle semble ébranler un peu plus ses fondations, menaçant de faire vaciller ses résolutions. Cette tension, cette étreinte du désir, le pousse au bord de l'abîme, là où la lutte entre la maîtrise et le besoin de la posséder à nouveau atteint son apogée, menaçant de faire trébucher ses résolutions les plus solides.

Leurs lèvres se rencontre dans un ballet enflammé, une étreinte passionnée qui transcendait les mots. C'était comme si le temps s'arrêtait, enveloppé par la chaleur de leur désir, chaque sensation amplifiée dans cette union ardente. Le contact était électrique, chaque frôlement éveillant des frissons à travers leurs corps. Les mains se cherchent, s'entrelacent dans une étreinte fiévreuse, explorant chaque contour avec une voracité avide. Chaque souffle est un murmure de cette passion inextinguible, sentant le cœur battant de la jeune fille au rythme d'une symphonie envoûtante. Il est emporté dans cette étreinte, se perd dans un monde où seules leurs peaux en fusion comptent, où chaque mouvement était une caresse enflammée. Leur baiser est un mélange de douceur et de ferveur, une fusion d'âmes avide de se fondre en une seule entité. C'est une symphonie de sensations, un feu dévorant qui consumait toute résistance, les plongeant dans un océan d'émotions tourbillonnantes. Et dans cet instant, rien d'autre n'existe que cette passion débordante, cette fusion des êtres qui se désirent avec une intensité inouïe, une étreinte brûlante où le monde extérieur s'efface dans la danse enivrante de leurs lèvres unies.

Il y a un nouveau sourire pour accompagner les mots de la jeune femme, de ceux qu’il concède car il sait déjà qu’il sera amené à la blessée de nouveau, à la malmener plus d’une fois. Mais il n’aura pas menti, ni même caché les dangers de leurs petits jeux dangereux.

Douce torture que de sentir cette étreinte qui ne trouve pas sa conclusion. Que de sentir la distance dans cette proximité. Ses lèvres charnues qu’il dévore et son corps tout entier qui se tend à son contact. C’est presque une invitation à retomber dans les travers d’une rudesse qu’il n’avait pourtant pas emporter avec lui en la rejoignant sous cette douche.

- Pour quoi faire ? Tu es à moi.

Et elle prend sa potion non ? Pardon, ce n’est pas dit, c’est pensé. Il n’est pas aussi con que son frère. Il va très largement inviter les hanches de la demoiselle à lâché prise, cette torture à prendre fin. Même si les mouvements, de ceux qui celle une union, devrons être les sien. Quittant la douceur de ses lèvres, c’est la rondeur de sa poitrine qu’il ira chatouiller du bout de la langue quand son autre main ne délaissera pas pour autant le second. Quand sa main qui jusque là continuais à retracer quelques courbes de ses hanches trouverons à attiser le désir en ce frayant un chemin vers cette torture qu’elle se complait à lui imposer et sur laquelle il va jouer lui-même. Car dans l’ombre de cette douche, il n’est pas le seul à pouvoir atteindre le paroxysme de la folie quand l’appel de la chair se fait trop fort. Et c’est en jouant avec un petit bouton de rose qu’il va aller chercher toujours plus de son envie et l’éveillée.  

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Chaque contact avec la jeune femme allumait un brasier en lui, une tension palpable qui électrisait chaque fibre de son être. Chaque frôlement, même le plus subtil, provoquait une réaction instantanée, faisant naître des sensations électriques parcourant sa peau. Chaque instant de proximité était comme une étreinte brûlante, un jeu de séduction physique où chaque regard, chaque geste, était un écho de désir réciproque. Chaque conversation était un duel silencieux entre l'attraction physique et la volonté de retenue. Leurs corps semblaient s'accorder dans une danse silencieuse, une contraction grandissante entre l'envie irrépressible et les barrières qu'il tentait de maintenir. Chaque sensation partagée était comme une vague montante, intensifiant cette attraction physique qui menaçait de tout submerger sur son passage. Chaque effleurement déclenchait un frisson, chaque contact était une décharge électrique, un échange de chaleur qui embrasait ses sens. La moindre proximité, même fugace, était une épreuve pour sa maîtrise, érodant les remparts de sa volonté. C'était un jeu dangereux, une tension constante entre l'attraction magnétique et la prudence corporelle, où chaque seconde de contact était une démonstration de la puissance de ce désir brûlant qui menaçait de dépasser toute retenue.

Dans l'union de leurs corps, une libération explosive se manifestait en Theo. Chaque contact, chaque effleurement, résonnait comme une explosion de plaisir contenu, libérant des vagues d'intensité à travers chaque fibre de son être. Chaque caresse était une étreinte enflammée, une décharge électrique éveillant des frissons à chaque centimètre parcouru par leurs peaux entrelacées. Les sens en ébullition, chaque sensation était une révélation, une découverte exquise dans un tourbillon de plaisir. Leurs mouvements étaient une danse exaltante, un ballet harmonieux où le toucher devenait une symphonie de sensations. Chaque pression, chaque souffle, déclenchait une montée vertigineuse vers des sommets de plaisir jusqu'alors inexplorés. C'était comme plonger dans une cascade de délices, une fusion d'émotions physiques qui le transportait dans un état d'extase. Chaque instant était une immersion totale dans cet océan de désir, une échappée vers des territoires où seul le langage du corps régnait en maître. La libération de leurs corps était une fusion délicieuse, une communion entre l'envie et la délivrance, où le plaisir trouvait sa voix dans chaque soupir, chaque mouvement, chaque étreinte, écrivant ainsi une partition exaltante de sensualité.

L’observé ondulé, la beauté de ses courbes, la mélodie de chaque soupir, de chaque gémissement laisser veillée ce sourire alors que bon prince, il la laisserait mener la danse en profitant de ce moment, de cet instant pleinement. Généreux roi d’un royaume qui n’existe que dans quelques travers et qui, dans son bon plaisir, lui laisse la couronne de reine le temps au moins d’apporter le plaisir à son paroxysme. Lui laissant l’aperçue, le gout de posséder plus que d’être possédé. Au moins pour cette fois. Ce qui n’est pas moins exaltant alors que les mains sur ses hanches accompagnent les mouvements du bassin de la jeune femme. Mêlant cette forme de libération du désir à quelques soupir qui s’étirerons dans l’air pour rejoindre la buée ambiante.

Encore un peu, juste assez pour qu’il devienne impatient. Assez pour se redressée, approfondissant l’union des corps encore un peu plus alors qu’il l’aidera, sans doute, à encercler sa taille de ses jambes en passant une main sous sa cuisse pour l’y aider. Il pourra ainsi retrouver les chemins de sa peau, de son cou, de sa poitrine et de ses lèvres dont il semble ce délecter autant que de l’échange plus bas qui s’intensifie à mesure que le désir grandit jusqu’à atteindre les voluptés de l’infinis.